Bourouda Moussa

Mali. Proche du premier président Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national : Pour l'Afrique et pour toi, Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le 17 septembre 1962[1] Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal.Militant de la première heure de l’Union soudanaise-Rassemblement démocratique africain, il en avait été radié en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait

Mali. Proche du premier président Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national, Pour l'Afrique et pour toi, Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le 17 septembre 19621. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. Militant de la première heure de l’Union soudanaise-Rassemblement démocratique africain, il en avait été exclu en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait

I Can (Je Peux) Je sais que je peux (Je sais que je peux) Etre ce que je veux être (Etre ce que je veux être) Si j'y travaille dur (Si j'y travaille dur) Je serai où je veux être (Je serais où je veux être) Les garçons et les filles, écoutez Vous pouvez être n'importe quoi dans le monde, en Dieu nous croyons Un architecte, docteur, peut-être une actrice Mais rien ne s'obtient facilement il faut beaucoup de pratique Comme, j'ai rencontré une fille qui était en train de devenir une star

au Mali. Proche du premier président Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national, Pour l'Afrique et pour toi, Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le17 septembre 19621. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. Militant de la première heure de l’Union soudanaise-Rassemblement démocratique africain, il en avait été exclu en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait

au Mali. Proche du premier président Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national, Pour l'Afrique et pour toi, Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le 17 septembre 1962. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. Militant de la première heure de l’Union soudanaise-Rassemblement démocratique africain, il en avait été exclu en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait

l'Économie rural et du Plan. Lors du remaniement du 17 septembre 1962, il devient ministre du Développement3. Il défend l'existence d'un parti unique dans l'Afrique post-coloniale, seul moyen selon lui de créer la Nation4. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. En 1997, il est candidat à l'Élection présidentielle5 mais décide, comme la plupart des autres candidats opposés au président sortant Alpha Oumar Konaré, de retirer sa candidature

au Mali. Proche du premier président Modibo Keïta, il écrit les paroles de l’hymne national, Pour l'Afrique et pour toi, Mali. Il est nommé ministre de la Coordination économique et financière et du Plan le 17 septembre 1962. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. Militant de la première heure de l’Union soudanaise-Rassemblement démocratique africain, il en avait été exclu en 1998 pour s’être opposé à une partie de la direction qui prônait

généraliste. Proche du président Modibo Keita, il écrit les paroles de l’hymne national, "Pour l'Afrique et pour toi, Mali". Il défend l'existence d'un parti unique dans l'Afrique postcolonial, seul moyen selon lui de créer la Nation. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal et ne sera libéré que le 2 Juin 1975 pour des raisons de santé. Après s'être soigné en France, Seydou Badian vécut en exil à Dakar au Sénégal. En 1997, il est candidat à l'élection présidentielle sous le nom

ministre de l'Économie rural et du Plan. Lors du remaniement du 17 septembre 1962, il devient ministre du Développement. Il défend l'existence d'un parti unique dans l'Afrique postcoloniale, seul moyen selon lui de créer la Nation. Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. En 1997, il est candidat à l'Élection présidentielle mais décide, comme la plupart des autres candidats opposés au président sortant Alpha Oumar Konaré, de retirer sa candidature

de l'Économie rural et du Plan. Lors du remaniement du 17 septembre 1962, il devient ministre du Développement[3]. Il défend l'existence d'un parti unique dans l'Afrique post-colonial, seul moyen selon lui de créer la Nation .Lors du coup d’État de Moussa Traoré en 1968, il est déporté à Kidal puis s’exile à Dakar au Sénégal. En 1997, il est candidat à l'Élection présidentielle[5] mais décide, comme la plupart des autres candidats opposés au président sortant Alpha Oumar Konaré, de retirer sa candidature