Bourgeois Gentilhomme La Lecon

Les genres théâtraux Tâche-problème finale Au terme de la séquence de leçons, les élèves seront capables : ▪ de définir les différents genres théâtraux, c’est-à-dire la tragédie, la comédie, la tragi-comédie et le drame ; ▪ d’opposer ou de rapprocher les différents genres ; ▪ d’identifier, dans un extrait de texte ou dans un texte complet, les caractéristiques propres à chaque genre ; ▪ de caractériser un extrait inconnu ou une pièce inconnue à partir des caractéristiques des

.…. P.38 1. contexte historique ………………………………..…………………………. P.38 2 2. Naissance de l’amateur ou l’ « amateur éclairé» … a. Une « société de cour » - les monarques et la noblesse……………………………………….……….………………………….………… b. Le complexe du « bourgeois gentilhomme »…………….… c. « Un art sans peuple pour un peuple sans art » : l’exemple de Wilhem…………………….…………………………………..….… P.41 P.41 P.45 P.46 3. Les pratiques amateurs aujourd’hui………….………….… P.48 a. Un peu de réflexion sémantique…….…………………………

rapidement caricaturé cette mode pleine d'artifices. Le style précieux : Il se caractérise par : • des exagérations avec l'emploi de superlatifs comme « furieusement », « effroyablement », « terriblement » ou d'expressions du type « cela est du dernier bourgeois ». • des métaphores et des périphrases parfois incompréhensibles. Ainsi pour éviter d'employer des mots bas comme « fauteuil » on parle de « commodités de la conversation », quand au miroir il devient le « conseiller de la beauté ». • des genres

langue quasiment parlée. 1532 : Pantagruel 1534 : Gargantua 1538 : Cymbalum Mundi, Bonaventure des Periers 1540 : Amadis de Gaule, Livre I (traduit par herberay des Essarts). Dans la tradition épique. Comme un code des belles manières pour gentilhommes. 1541 : Institution de la religion chrétienne, Calvin, (voir fiche) : « Le premier et le seul de son temps qui ait su rendre les idées graves dans une forme grave, sans une défaillance d’esprit ni de plume », Lanson Bible du protestantisme

pension de 2000 Ecus. Racine, qui depuis plusieurs années était l’intime du roi, se voit récompensé de sa fidélité et de son zèle. Sa carrière est faite: lui, le fils de bourgeois, orphelin provincial, atteint le sommet de son ambition. Il ne lui restera plus, quelques années plus tard, qu’à recevoir la distinction de gentilhomme ordinaire du roi, charge qui deviendra héréditaire. On pourrait être tenté de trouver, dans Athalie, quelques vers qui commentent cette métamorphose. C’est à la scène 3 de

6 Le repas terminé, ma tante retournait à son fauteuil, près de la fenêtre et feuilletait un livre de cuisine aux tranches hérissées de feuillets multicolores. Moi, je m’étendais à plat ventre, le menton dans les paumes. Je feignais de réviser mes leçons. Mais je la regardais. Bientôt, elle dodelinait de la tête, marmonnait quelques paroles incohérentes et s’endormait, le livre sur les genoux. Alors, cette immobilité, ce silence, me devenaient insupportables. De la rue, de la maison, ne venait aucun

aux lecteurs ; le cadre exotique est rendu par le lieu, l’Orient. L’image de l’Orient est fantasmée, à cette époque. On envie le contraste entre un grd enfermement (femmes voilées) et désir (harem, cérail). Cf. Bajazet de Racine et le Bourgeois gentilhomme de Molière pr l’image des Orientaux. Au XVIII ème Galland va proposer une traduction des Milles et une Nuit, remise au goût français, car on veut qqc de normé, de poli. Il a retiré l’exotisme des mots, le voc homosexuel et érotique. Le

famille et annonce en quelque sorte le conflit tragique qui opposera Camille à son frère lors du retour d’Horace. 2. Le texte est descriptif : il propose un portrait moral de Mme Mauperin. Ce personnage se caractérise par « un prodigieux orgueil bourgeois ». Le texte évoque ses paroles blessantes : « rabaisser ainsi, avec des expressions d’un mépris et d’un dégoût superbes ». Le discours descriptif a une intention critique, il vise à dénoncer l’orgueil et le mépris. Le texte offre aux lecteurs une

dans la maison d’Harpagon, un riche bourgeois veuf et père de deux enfants, Cléante et Élise . Les deux enfants d’Harpagon craignent chacun pour leurs amours respectifs car l’avarice de leur père risque de mettre en péril leurs projets de mariage : " Donner est un mot pour qui il a tant d’aversion , dit de lui La Flèche, le valet de Cléante, qu’il ne dit jamais : je vous donne , mais : je vous prête le bon jour ". Élise est secrètement fiancée à Valère, gentilhomme napolitain qui lui a sauvé la vie

Illustrations : Doré, Frontispice du chat botté : diagonale qui met en lumière le chat maître ds pénombre. Humanisation du chat par détails vestim (ceinturon cape panache bottes) + posture debout pattes levées, jambe élégamment avancée qui donne allure gentilhomme (+ moustache) et féminine. + comique souris à la ceinture qui rappelle sa vraie nat. - Les Fées  : mère dénaturée (contre morale) pr la distinguer de la marâtre de Cendrillon. Roses et diamants à chq parole