Boulevard de la mort

Biographie d’Edmond de Goncourt : Edmond Huot de Goncourt, né à Nancy le 26 mai 1822 et mort à Champrosay (Essonne) le 16 juillet 1896 dans la maison d'Alphonse Daudet1, est un écrivain français, fondateur de l'Académie Goncourt qui décerne chaque année le prix du même nom. Une partie de son œuvre fut écrite en collaboration avec son frère, Jules de Goncourt. Les ouvrages des frères Goncourt appartiennent au courant du naturalisme. Issu d'une famille originaire de Goncourt en Haute-Marne, Edmond

fait que Sartre n'était pas réellement amoureux de Beauvoir. En Effet, Simone de Beauvoir est non seulement connue pour ses idées engagées et ses livres mais aussi pour avoir été l'amante puis « l'amie » du philosophe de l'existentialisme jusqu'à sa mort. Simone de Beauvoir fonda au lendemain de la guerre le journal Les Temps Modernes. Existentialistes donc, athéistes, communistes, Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir purent y développer leurs idées, invitant d'autres penseurs de gauche comme Raymond

Biographie Le Corbusier Charles-Édouard Jeanneret-Gris, né le 6 octobre 1887 à la Chaux-de Fonds, et mort le 27 août 1965 à Roquebrune-Cap-Martin, plus connu sous le pseudonyme Le Corbusier est un architecte, urbaniste, décorateur, peintre et homme de lettres de nationalité suisse, naturalisé français en 1930. Le Corbusier a également œuvré dans l'urbanisme et le design. Il est connu pour être l'inventeur de l'Unité d’habitation, sujet sur lequel il a commencé à travailler dans les années 1920

Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois de langue française. Il est l'un des plus illustres philosophes du siècle des Lumières, bien que son œuvre philosophique et son tempérament l'aient souvent opposé au rationalisme des Lumières ainsi qu'à quelques-uns de ses éminents représentants. Ses travaux ont influencé grandement l'esprit révolutionnaire français. Il est particulièrement célèbre pour ses

« miasmes » porteurs de maladies et de mort L'idée maîtresse de ces énormes travaux urbains était de permettre un meilleur écoulement des flux d'une part des hommes et des marchandises, de l'air et de l'eau, pour une meilleure hygiène de vie et éviter l'épidémie de choléra de 1832. Cette campagne fut intitulée « Paris embellie, Paris agrandie, Paris assainie (nettoyer) ». Le projet fut mené à bien au cœur de Paris et dans ses quartiers extérieurs : rues et boulevards, espaces verts, , égouts, monuments

la fois simple et sordide, des hommes face à leurs pulsions : pulsions de mort dans la première nouvelle, pulsions sexuelles dans la seconde. Ces personnages n’ont rien d’extraordinaire, ce sont des êtres saisis dans un épisode relativement banal de leur vie, même si dans « La Roche aux Guillemots », la chute met en exergue le caractère plus que singulier de cette chasse, si importante pour M. d’Arnelles, que même la mort de son gendre ne peut l’y faire renoncer. Comme dernier exemple de personnages

C’est à l’apogée du surréalisme que Robert Desnos publie dans Corps et Biens un recueil de 7 poèmes parmi d’autres, dont 5 d’entre eux commençant par ‘Non, l’amour n’est pas mort’. Ici, c’est bien à la quatrième revue que le poète, qui fut qualifié de ‘prophète’ par un des maitres fondateurs du surréalisme Breton, nous offre un éloge à l’amour. Et si l’auteur nous propose une toute autre forme de dévotion à travers ses œuvres que ses amis et collègues Aragon, Breton et Eluard, eux même pères fondateurs

de 1917. Il contient aussi des allusions au quotidien des tranchées: le moment crucial de la "relève" qui signifie la fin du danger pour les uns et le risque de mort pour ceux qui "vont chercher leur tombe", la permission qui permet de voir les "embusqués" (pour les combattants, les hommes échappant indûment au conflit) sur les "boulevards" parisiens; l'opposition souvent fortement ressentie (mais grossie pour les besoins de la chanson) entre civils protégés ("civelots") et fantassins exposés ("purotins")

et le présente à chacun dans le silence du dîner commençant. Il est bien séant de ne pas en parler. De l'extrémité nord du parc, les magnolias versent leur odeur qui va de dune en dune jusqu'à rien. Le vent, ce soir, est du sud. Un homme rôde, boulevard de la Mer. Une femme le sait. Le saumon passe de l'un à l'autre suivant un rituel que rien ne trouble, sinon la peur cachée de chacun que tant de perfection tout à coup ne se brise ou ne s'entache d'une trop évidente absurdité. Dehors, dans le

classique et aussi un homme politique, un intellectuel engagé. En 1851, Louis Napoléon Bonaparte a renversé la II République par un coup d’Etat. Un comité de résistance était établi, au premier rang desquels se trouvait Victor Hugo. Dans le massacre de boulevard du quatre décembre, il s’est rendu dans la rue Tiquetonne, chez la grand-mère de l’enfant qui venait d’être tué. Le lendemain, recherché par la police, il était contraint d’abandonner son espoir de résister à la tyrannie. Le 11 décembre, il a quitté