Bouddha

très différents selon les nombreux courants de cette religion : tibétain, indien, chinois, coréen ou japonais. Mais, d’une manière générale, le corps est toujours placé sur son côté droit, dans la position du « lion couché », imitant la posture de Bouddha lorsqu’il est mort. On place ensuite la main gauche sur la cuisse gauche et la main droite sous le menton (fermant la narine droite). Lorsque l’on doit ensuite bouger le corps, il faut d’abord toucher le sommet du crâne afin de permettre à la conscience

d’hommes-buffles et même caïmans. Hommes - animaux, animistes et quelques peu mystiques vivants en plein air sur la Terre au rythme de la musique des saisons de l’eau ,des saisons du feu. Air-Terre-Eau-Feu : Simple mais magique! Avant tous les Bouddha , Socrate ,Jésus, Mahomet et autres Descartes se dressait déjà noble, fier notre arbre aristocrate.(Allmighty tree) Les racines bien plantées dans le berceau de l’humanité, Il a regardé et écouté tout ce qui est, sera et a déjà été. La vie, la

grands principes de durabilité de toutes les formes de vie sont les priorités actuelles. D'une façon ou d'une autre la nature va se ré-équilibrer, avec ou sans nous.   Dieu, Allah, Braham et Yahvé; existent ils? Peu importe... Jésus, Mahomet, Bouddha n'existent plus et sont morts. Peu importe... La vie, elle, est là. L'ensemble de la planète et tout ce qui la compose en est l'un de ses vecteurs. Cela importe!   La seule véritable religion ne serait elle pas la protection et une saine gestion

calendrier grégorien fut crée par les chrétiens à la naissance de Jésus. Le calendrier hébreu a été crée par le peuple juif en 3761 av JC. C'est le calendrier le plus ancien de l'humanité. Le calendrier bouddhiste fut crée lors de l'Éveil du bouddha Gautama en – 543 av JC. Et enfin le calendrier musulman qui fut créer par Mahomet pendant l'Hégire de 622. Conclusion Le calendrier est lunaire ou solaire si il privilégie le mois ou l'année. Le calendrier montre bien le travail des hommes

faut'il donc pas éloigner de soi tout ce qui peut alimenter une telle passion afin d'y renoncer. L’extinction du désir, Bouddha (563-483 Avant J. -C.) Au VIe siècle avant notre ère, en Inde, le Bouddha fonde l’une des grandes religions de l’humanité, qui regroupe au- jourd’hui 320 millions de croyants dans le monde. Le Sermon de Bénarès constitue son enseignement majeur ; le Bouddha y indique la voie qui libère non seulement de la passion et de la souffrance qu’elle engendre, mais du désir qui en est

D’abord parce qu’il représente le grand mirage, la grande illusion des Hommes. Les Hommes veulent être heureux et ne s’aperçoivent pas qu’ils ne peuvent l’être dans ce monde. Pascal, dans Critique du Bouddha, explique qu’on ne peut mettre fin aux limites de la condition humaine. Celle-ci est, pour le Bouddha, marquée par la souffrance, la mort, la violence. L’Homme est un être mortel, un être de désir et il existe des violences et des conflits dans l’humanité qui le feront toujours souffrir, empêchant

tout en symbolisant la culture japonaise. Ces lieux cherchent à représenter la nature dans un espace restreint, en simplifiant des éléments naturels comme les montagnes ou les mers. Par exemple, le mont Shumisen est représenté par un rocher et le Bouddha et ses disciples par un groupe de rochers. Les jardins japonais respectent trois plans : le premier est composé d’éléments positionnés afin d’attirer le regard de l’un à l’autre ; le second plan est formé par les limites du jardin, masquant les environs

: que nous sommes séparés du bonheur par l’espérance même qui le poursuit. La sagesse serait au contraire de vivre pour de bon, au lieu d’espérer vivre. C’est où l’on rencontre les leçons d’Epicure, des stoïciens, de Spinoza, ou – en Orient – du Bouddha. Nous n’aurons de bonheur qu’à proportion du désespoir que nous serons capables de traverser. La sagesse est cela même : le bonheur, désespérément. » André Comte-Sponville Petit livre qui attend que je le lise… 1. Le bonheur manqué, ou les pièges

Chine, Japon, etc.), fondée par le Bouddha (Shakyamuni). La doctrine bouddhiste se veut une réponse à la douleur, identifiée avec l'existence elle-même. Pour sortir du cycle des naissances et des morts, c'est-à-dire atteindre le nirvana, il faut commencer par se libérer de la cause de la souffrance, le désir, lié intimement à la vie. Il existe deux grands courants bouddhistes : celui du petit véhicule (hinayana) et celui du grand véhicule (mahayana). Bouddha Nom par lequel on désigne le fondateur

Siddhârta Gautama rencontre un mendiant, un malade et un vieillard. Il se rend compte que la vie est souffrance et que son père lui a menti. Il veut trouver une solution pour échapper à la souffrance. Il devient le premier Bouddha (l'éveillé), ce n'est pas un nom mais un statut. Bouddha n'a rien écrit mais à enseigner. Nirvana signifie extinction. Dans le bouddhisme il n'y a pas de castes et on n’est pas obligé de vénéré des dieux. Pour un bouddhiste ce qui compte c'est la transcendance. Le bouddhisme