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émissions de gaz à effet de serre. Si les gens sont réticents, ce n’est pas à cause de la pollution mais à cause de la peur engendrée par les très rares accidents nucléaires qui ont eu lieu au cours de l’histoire. Légal Pour les pays développés, le protocole de Kyoto exige une baisse des émissions de gaz à effet de serre de 5% pour l’année 2010. En effet grâce à l’énergie nucléaire, la France a baissé ses émissions de gaz polluants de 70%. Elle a moins mauvais impact sur l’atmosphère que d’autres pays

président des Etats Unis de 2000 à 2008. Cependant son programme ne s'est que peu préoccupé des problèmes environnementaux. En 2001, les dirigeants des Etats du monde se sont rassemblés a Kyoto pour parler de l'environnement, suite aux projets du protocole datant de 1992. George Bush ne s'est pas battu pour cette cause. Le président des Etats Unis n'a rien fait pour changer les émissions de Co2 que rejettent les entreprises nucléaires et industrielles. En 2001 également, G. Bush, en plus de ne pas

date de la signature du Protocole de Montréal en 1987, le 16 septembre a été déclaré « Journée internationale de la protection de la couche d’ozone » par les Nations Unies. A cette occasion, le Secrétaire général de l’OMM, M. G.O.P. Obasi, a engagé toutes les nations à poursuivre leurs efforts en faveur de la surveillance de la composition chimique de l’atmosphère et de l’application de la Convention de Vienne pour la protection de la couche d’ozone ainsi que du Protocole de Montréal relatif à des

examens périodiques de progrès sont prévus, c’est pour cela qu’on a crée la Commission sur le Développement Durable qui se réunit annuellement pour examiner les progrès sur des sujets déterminés. * Conférence de Kyoto en 1997, qui aboutie au Protocole de Kyoto (visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre) ratifié par le Canada mais pas par les Etats-Unis (principale producteur de CO2 de la planète). * Sommet mondial de 2002 sur le développement durable à Johannesburg qui définit

présente affaire. Les parties signataires du protocole de Kyoto du 11 décembre 1997 se sont engagées, à l'exception des pays en développement, à réduire ou limiter les émissions de gaz à effet de serre par rapport au niveau atteint en 1990 au cours de la période allant de 2008 à 2012. Pour les Etats membres de l'Union européenne, l'objectif est une réduction de 8 % par rapport au niveau de 1990. Si la Communauté européenne a approuvé le protocole par une décision du 25 mai 2002, il a été décidé

économique : rapport Stern de 2006. Le coût de l'action pour lutter contre le RC sera de toute façon inférieur au coût de l'inaction. Le coût de l'action est moins de 1% du PIB en 2050. Objectif principal : trouver ce qui va se substituer au protocole de Kyoto (2008-2012). On espère un engagement sur une période postérieure. Kyoto prévoir une réduction des émissions de l'ordre de -5%. Les États s'engagent à réduire leurs émissions de gaz, sanctions. Ce régime peut être considéré comme insuffisant

le cas de la Institut du développement durable et des relations internationales 5 La mise en œuvre du droit international de l’environnement Convention de Ramsar relative aux zones humides, parfois considérables, comme dans le cas du Protocole de Kyoto sur le changement climatique. Cet article souligne également la différence de conception qui existe entre les accords internationaux fondés sur la réciprocité (partage des bénéfices par exemple) et ceux qui nécessitent une dose de multilatéralisme

développement durable  Sommaire Le protocole de Kyoto, base de la coopération internationale contre le changement climatique, a été adopté, sous forme de négociations climatiques fortes, pour renforcer les règles et le cadre d’action des pays à la suite de la Convention Climat de Rio en 1992. Il s’agit du premier texte international ambitieux, contraignant et innovant en termes de lutte contre le changement climatique. Les différents points clés du protocole présentés ci-après ont fait l’objet de

environnemental de la planète et la pression d'une proportion croissante de l'opinion publique ont conduit les gouvernements à imposer aux acteurs économiques de nouvelles contraintes réglementaires. Ces mesures ont été prises soient à l'échelle mondiale (protocole de Kyoto en 1997), soit à l'échelle nationale (Grenelle de l'environnement par exemple en France). Ainsi les entreprises ont vu leurs droits à émettre des gaz à effet de serre (surtout le CO2) sévèrement limités ou pénalisés financièrement. Certains

l'exploitation commerciale a progressivement cessé, mais qui pourrait éventuellement aussi servir de réserve de bois-énergie en cas de crise majeure. Dans le cadre des outils de flexibilité et des mécanismes de mise en œuvre conjointe (MOC) du protocole de Kyoto concernant les « projets domestiques » de boisement-reboisement (portés par une personne morale), depuis la fin 2012, en France10, certains boisements ou reboisements volontaires peuvent bénéficier de crédits carbone correspondant aux unités