Bizarre ! Bizarre !

très précise, presque scientifique, ses sensations (« un simple malaise, un trouble de la circulation peut-être, l'irritation d'un filet nerveux, un peu de congestion »). Il n'est ni fou ni crédule (« Les faits qu'il avança me parurent tellement bizarres, que je me déclarai tout à fait incrédule. »), ce qui rend son témoignage plus vraisemblable. Le lecteur de la fin du xixe siècle peut donc s'identifier aisément au narrateur, ce qui renforce la violence du surnaturel et la montée de l'angoisse

bien dit Abdelkrim Khatabi ? Abdelkrim.-Effectivement monsieur ! Abdelkrim Khatabi. Bernard.- Comment … ? Eh… je veux dire et comment ! Enchanté. Abdelkrim.-Egalement. Bernard.- Sinon, vous êtes, vous êtes, en faisant des gestes bizarres, vous êtes du couscous et ‘’lahma bé ajin’’ (plat arabe) ! Enfin, vous êtes arabe ? Vous savez, on ne sait jamais ? Abdelkrim.- Comment ça monsieur ? Ça peut influencer sur ma candidature ? Ça a rapport avec l’embauche ? Et puis on sait jamais

(“J’apprends”; “ j’écris”) traduisant le fait que ce qui lui est arrivé, arrive encore à de nombreuses personnes venant d’une même classe sociale que lui. Pour montrer son désespoir Figaro utilise aussi des questions rhétoriques comme “Est-il rien de plus bizarre que ma destinée!”. Puis il poursuit son récit; il se jette d’abord “à corps perdu dans le théâtre” et essaye d’écrire lui-même une pièce qui est “flambée, pour plaire aux princes mahométans”, ce qui manque de le ruiner complètement (“je voyais arriver

automatiquement les épiphanie qu'il a consigné dans son Traité de l'hystérie publié en 1855 et basé sur une polyclinique de 430 tolérant vue à l'hôpital de la Charité à paris. Il y décider la récidive comme une « nervosisme de l'encéphale dont les bizarre illusoire se composer principalement dans la perturbation des épisode indispensable qui servent à la manifestation des merveille affectives et des passions ». Il classer un cas d'hystérie homme pour 20 cas d'hystérie féminine. Il prétendait que cette

service médical. Arrivé à 7h45 je me dirige vers le bureau de l’infirmier major accompagnée par ma mère qui me présente. Je rencontre un infirmier et une infirmière militaire, Mickael et Solène, ils sont tous deux en uniforme (ce qui me fait très bizarre). Puis une autre infirmière arrive, Elodie. Mickael me fait visiter le bâtiment, deux étages et pleins de bureaux ! Je m’y perds un peu. Puis je rencontre l'équipe avec qui je vais passer ces trois jours : ils sont tous géniaux et très chaleureux

EL_Crapaud LDE.L, Corbière, « le Crapaud »Projet de lecture  : Montrer que ce poème est un portrait du poète maudit et incompris Mouvements du texte :1er mouvement : les deux tercets : recherche de l’origine d’ un chant mystérieux, ambiance fantastique 2ème mouvement  : les deux quatrains : beauté et laideur du crapaud maudit chute

dépouille de sa mère, mais il répond que pas. La soirée il participe à la vieille avec les vieux. Tous les hôtes de l’asile étaient tristes et mélancoliques, mais Mersault fume et observe très attentivement les personnes qui l’entourent, ayant la bizarre impression qu’ils sont là pour lui juger. En outre, Mersault s’endormit. Le jour suivant, il va se promener à la campagne et il sent le plaisir duquel il jouait s’il n’avait les funérailles. Pendant la marche, Mersault remarque un vieil vraiment

entière » monde où tout est « ordre et beauté, luxe, calme et volupté » (poème « L'invitation au voyage »)accès à une beauté nouvelle qui mêle des éléments insolites bizarres ou des aspects contradictoires, goût pour une beauté bizarre et artificielle  (voir exposé « Beauté du mal, beauté bizarre + fiche 6 de l’édition classicolycée p.249): poème « Hymne à la beauté » (p.46) : une beauté teintée de cruauté, d’étrangeté (« Un fantôme » p.65 v.9-14, « Toute entière » p.70)

d’activité ; une lueur blafarde(pâle et lugubre) illumina la chambre, et je vis clairement que ce que j’avais pris pour de vaines peintures était la réalité ; car les prunelles de ces êtres encadrés remuaient, scintillaient d’une façon singulière(bizarre); leurs lèvres s’ouvraient et se fermaient comme des lèvres de gens qui parlent, mais je n’entendais rien que le tic- tac de la pendule et le sifflement de la bise d’automne. Une terreur insurmontable s’empara de moi, mes cheveux se hérissèrent sur

abstraite. Il utilise un oxymore notamment lorsqu'il annonce que "la mort triomphait" (vers 4). Mallarmé déclare que le poète triomphe par son art car le peuple n'a pas compris que la mort vainquais dans ces paroles dites qui leur sont étrangères et bizarres, alors que lui l'avait compris. Ensuite, Mallarmé évoque la suprématie d'Edgar Poe. C'est à dire la domination du poète vis à vis de Mallarmé mais aussi du peuple car pour lui, il est son maître et qu'il l'admire. Il le décrit comme un être supérieur