Bizarre ! Bizarre !

gestuelle permet de combattre la monotonie d'un monologue et d'intéresser le spectateur. Le spectateur partage la vie de Figaro. La partie de son monologue concernant sa vie s'achève lorsqu'il se rassied pour la deuxième fois : " (Il retombe assis) Ô bizarre suite d'événements… " Ensuite vient le discours philosophique où il tire des conclusions concernant sa vie. Il élargit sa vie à la destinée des hommes. On passe d'une situation particulière à une situation générale. γ Le spectateur est invité à

mesure environ un mètre quatre vingt pour quatre vingt dix kilogrammes, châtain aux yeux verts, pas de famille connue. Casier judiciaire vierge. Des témoins ? Non pas de témoins : c’est un SDF qui a découvert le cadavre et qui a appelé la police. Bizarre que personne n’ait entendu... Et on sait combien de temps va prendre l’analyse du cheveu ? On devrait avoir les résultats demain si tout se passe bien. Bon, en attendant les résultats je vais faire des recherches au poste. D’acc, appelle moi si

étudié est l´incipit de ce roman, on va se poser une question : Comment ce récit commence-t-il ? Premièrement, on va se concentrer sur la structure de texte. Ensuite, on montrera la réalité de cette histoire et finalement, on analysera le comportement bizarre de narrateur. I. LA STRUCTURE DE TEXTE 1. L´importance de la 1 ère phrase (l. 1) »Aujourd’hui, maman est morte« C’est un événement qui déclenche l’histoire  typique pour la majorité des romans Dans ce cas-là, c’est la mort de sa mère, ce qui

intense qui traduit le sommet de l'action. - «Il retombe assis» (l. 90-91) : se conclut par un geste de lassitude, comme si le fait d'avoir parcouru toute sa vie avait épuisé Figaro. Rôle des « ! », « ? », « . » - Lyrisme de l'apostrophe «Ô bizarre suite d'événements !» (l. 91) - Le doute marqué par les points d'interrogation : Comment ? Pourquoi ? Qui ? (l. 91-92) - Points de suspension très symboliques (l. 106 à 108) qui montrent que Figaro se sent trahit + détresse de «Suzon, Suzon, Suzon

d'apercevoir l'île. L'école est bizarre, elle ressemble à un mixte de bâtiments célèbres. CHAPITRE 5 M. Kilgraw David, Jill et Jeffrey on été accueilli par un femme prénommée M. Windergast. Celle-ci explique à David que le directeur adjoint M. Kilgraw veut les recevoir personnellement un à un. David est le premier, il entre dans la pièce qui a des miroirs d'un côté et de l'autre des tableaux. Il y a aussi un grand miroir. David remarqua quelque chose de bizarre à se miroir. Le miroir renvoyait

là sécheresse ou pauvreté. Ce laconisme s’accorde à ce personnage qui refuse les lieux communs, les idées toutes faites, les paroles convenues. Le monde et les croyances de Marie sont réduits à néant par Meursault. Elle ne le comprend pas, il est bizarre. L'incommunicabilité conduit au silence, omniprésent dans le texte : « elle s'est tue et m'a regardé en silence ». C'est lui qui l'emporte sur la parole frappée d'inanité. Au début et à la fin, la demande en mariage est présente : « voulais me marier

pierres sombres et glacées. J'entendis tout à coup un bruit bizarre derrière moi du côté de la porte. Je me retournai, plus un bruit. J'ouvris la porte qui menait au grand couloir pour voir s'il n'y avait rien. Mais non,rien ni personne ne s'y trouvait;lorsque tout à coup je vis quelque chose au fond du couloir,c'était à la fois blanc et translucide. Non, je ne rêvais pas,il y avait un fantôme devant moi. Je commençai à me sentir bizarre,comme si quelque chose s'était introduit en moi. Je me regardai

une réponse trouvable? Où veut-on pas savoir et profiter dans les histoires ridicules? Il y a des histoires racontées il y a des siècles qui parlent des monstres extraterrestres qui viennent terrorisé les villages. Les descriptions étaient des bizarres créatures dont leurs caractéristiques vont de l'une des extrémités du spectre à l'inverse. Ces créatures peuvent être dociles ou ils peuvent être de vicieux monstres sanguinaires. Même si c'est amusant de raconter leurs histoires autour d'un feu

trempée dans l'encre bleue noire, tu t’écris si vite ! Si trace n'en demeure… Sinon, dans la mémoire, le souvenir d'un élan fougueux, d'un poème bizarre, Avec retournements en virevoltes aiguës, épingles à cheveux, glissades rapides sur l'aile, accélérations, reprises, nage de requin. Ah ! Je le sais par cœur ce poème bizarre ! Mais ne lui laisserai pas, plus longtemps, le soin de s'exprimer. Voici les mots, il faut que je les dise. (Vite, avalant ses mots à mesure.)

rigole pour rien (Asma) •Qui est super bizarre (Richard) •Qui est plus petit que la moyenne (Sébastien) •Qui est intello (Stéphanie) •Qui est une vrai pipelette (Margaux) •Qui sont Inséparables (Blandine et Mégane P.) •Qui est toujours en retard ( excuse : c'est pas moi c'est le RER ) (Mégane V.) •Qui est soumis par tous les camarades de classe (Galoen) •Qui va toujours a l’infirmerie (Irina et Wafa) •Qui se tape des délires bizarres (Ny aina & Johayna) •Qui est trop timide