Bernard Garrette Pierre Dussauge

des publics restreints que le grand public. Il s’agit à la fois des industries éditoriales traditionnelles (livre, disque, cinéma) ou nouvelles (édition multimédia en ligne ou hors ligne) que les « médias » radio, télévision, presse. 2. Par exemple Bernard GUILLOU, Les groupes de communication multi-media, Paris, La Documentation française, coll. «Notes et études documentaires», 1984. 3. Bernand BRAUDEL, La dynamique du capitalisme, Paris, Champs Flammarion, 1985. 11 LES GRANDS GROUPES DES INDUSTRIES

organisation RH sont les deux premiers atouts de ces puissants logiciels. « Les SIRH sont désormais au cœur du système, tout en tenant compte avant tout des besoins des entreprises – quelque soit leurs tailles et leurs organisations », explique Jean-Pierre Coulin, PDG d’Adequasys. Matthieu Laudereau, directeur associé de ConvictionsRH, ajoute que « la fonction première d’un SIRH est bien de faciliter la vie du RH, de répondre à des besoins simples, de lui offrir en seulement quelques clics un accès

phénomène récent qui s’est développé depuis les années 1980 ou bien est ce que c’est un phénomène plus ancien qui serait lié à l’histoire d’un système de production qu’on appelle le capitalisme. Pour certains auteurs et en particulier pour Pierre Dussauge et Bernard Garrette qui sont l’auteur du livre « stratégie d’alliances » pour ces derniers les alliances sont un phénomène nouveau qui se sont développé dans les années 1980 pour réponse au nouveau défit de l’économie, pour réponse au défit technologique

 performance   Présenté  par  Marie  Paques                 Quel business model pour la direction des contenus chez Orange ?           Sous  la  direction  de  Mr  Bernard  De  Montmorillon   Les opinions exprimées dans ce mémoire sont propres à leur auteur et n’engagent en rien l’Université Paris Dauphine.    Sommaire 1. A. a) b) c) B. a) b) c) 2. A. a) b) B. a) b) c) C. a) b) c) d) 3. A. a) b)

co-dirigeants o 5 dirigeants de Renault (Georges Douin, DGA8 Plan, Produits et Opérations internationales ; François Hinfray, DGA Directeur Commercial ; Shemaya Levy, DGA.; Michel de Virville, Secrétaire Général et Directeur des Ressources humaines; Pierre-Alain de Smet, DGA). o 5 dirigeants de Nissan (Carlos Ghosn, DG ; K. Anraku DGA et Directeur Administratif et Financier; N. Matsumura, DGA International ; N. Ohkubo, DGA Technologie et Développement de l’Ingénierie ; P. Pelata, DGA Produit, Design

2004 DVD ; • Le Monde de l’Economie 2003, version DVD ; • Encyclopédie Disney Junior, Edition 1997 ; • « Stratégie » - HARVARD L’EXPANSION LA REVUE DES RESPONSABLES – Edition : 1975 ; • « Les alliances stratégiques » de Bernard Garrette et Pierre Dussauge – Les Editions d’Organisation 1997 ; • Institut Fédératif de Recherche sur les Sociétés Industrielles (I.F.R.E.S.I) • Etude de Mme Hadjila Krifa, Maître de conférences à l’Université de Lille I • www.directetudiant.com •

Mesdames Marie-Pierre Bouvet et Solange Bardot, Messieurs Thierry Triomphe et Didier Zmiro du Service des Technologies et de la Société de l’Information (STSI). Les auteurs tiennent à remercier plus particulièrement M. Grégoire Postel-Vinay, Chef de l’Observatoire des Stratégies Industrielles (OSI). Ils remercient également les experts des industries du multimédia rencontrés lors de l’élaboration de cette étude et notamment M. Olivier Nguyen Van Tan, Consultant Senior à la société Pierre Audoin Consultants

2011 2012 Projet Mémoire Recherche Entreprise « Un Dimanche à Paris » Problématique : Dans quelles conditions un concept novateur français peut-il s’implanter aux Etats-Unis ? Master 1 Management de projet Tuteur Enseignant : Mr Pierre CHEVRIER Tuteur Entreprise : Mr Morgan PHILLIPE Projet Mémoire Recherche IUP Management et Gestion des Entreprises Année Universitaire 2011-2012 1 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier la maison Un Dimanche à Paris de nous avoir ouvert ses portes

Value Analysis, c’est-à-dire le bénéfice net moins le coût du capital) ; en d’autres termes, nous voulons ajouter de la valeur pour l’actionnaire. En 1997, nous allons utiliser la SVA comme critère pour la partie variable de la rémunération ». Jean-Pierre Tirouflet, Directeur financier de Rhône-Poulenc, cité dans le même rapport, indique : « nous avons dû apprendre à nos managers opérationnels à comprendre le concept de l’EVA et avec quelle structure il fonctionne. Cela a été bien reçu dès qu’ils l’ont

Value Analysis, c’est-à-dire le bénéfice net moins le coût du capital) ; en d’autres termes, nous voulons ajouter de la valeur pour l’actionnaire. En 1997, nous allons utiliser la SVA comme critère pour la partie variable de la rémunération ». Jean-Pierre Tirouflet, Directeur financier de Rhône-Poulenc, cité dans le même rapport, indique : « nous avons dû apprendre à nos managers opérationnels à comprendre le concept de l’EVA et avec quelle structure il fonctionne. Cela a été bien reçu dès qu’ils l’ont