Berlitz Salaire

études menées par l’Observatoire de la parité entre les hommes et les femmes, des différences que ce soit au niveau des statuts, des rémunérations ou des congés entre les hommes et les femmes. Les chiffres parlent d’eux même : Tout d’abord, le salaire moyen d’une femme est de 27% inférieur à celui de ses collègues de sexe masculin. Ensuite, les temps partiels sont majoritairement occupés par les femmes. Pour finir, les personnes de sexe féminin sont les plus touchées par le chômage (8,3%), malgré

engagement ouvre au syndiqué des droits : droit à la formation syndicale, droit de recevoir de l’information (tracts, bulletins fédéraux, infos locale ou départementale, publication confédérale). La cotisation syndicale est fixée statutairement à 1% du salaire net : c’est un principe d’égalité car chaque adhérent cotise proportionnellement à ses revenus. Elle sert à financer leur activité et leur fonctionnement, à animer, à développer et à renforcer toute l’action de la CGT.          

grand nombre de possibilités mais elle l'est surtout du côté des entreprises. En effet, les emplois atypiques, comme le temps partiel, que la flexibilité génère, sont une source de profit pour les entreprises car elles peuvent payer les salariés à un salaire plus bas, et donc les entreprises peuvent réutiliser cces ressources, en baissant les côuts, et par ce biais en augmentant sa compétitivité et sa rentabilité. Dans la même optique, l'entreprise peut délocaliser ou externaliser sa production. De plus

système de « flexisécurité », mis en œuvre par le Danemark. Ce système dépend à la fois de la flexibilité du marché du travail et de la sécurité des travailleurs. Trois éléments composent ce système : protection sociale notamment pour les plus bas salaires, politiques de l’emploi très développées et acceptation sociale. Ce système reconnu d’organisation du travail, s’il repose sur un échange « donnant donnant » doit être aussi accepté conventionnellement des partenaires sociaux. Il nécessite

d'affaires et de son profit). Ce surplus de revenu va être à son tour distribué, soit sous forme d'acquisition d'autres biens de production (un nouvel investissement qui se traduit par une augmentation du profit du fournisseur), soit sous forme de salaires distribués aux salariés (qui vont consommer). Ces revenus vont à leur être dépensés et constituer des revenus pour d'autres agents économiques. Au final, une augmentation de l'investissement se traduit par une augmentation plus que proportionnelle

2 : Les Revenus Fonciers Chapitre 3 : Les Traitements, Salaires, Pensions et Rentes Viagères Chapitre 4 : Les Bénéfices des Professions Non Commerciales (BNC) Chapitre 5 : Les Bénéfices des Professions Commerciales (BIC) Chapitre 6 : Les Revenus des Capitaux Mobiliers (RVM et RCDC) Chapitre 7 : Calcul de l’Impôt sur le Revenu Annexe 1 : Le Régime de la Retenue à la source I / Retenue à la source sur les pensions, salaires et rentes viagères II / Retenue sur sommes versées à des

contraintes de répercuter sur le prix de vente des biens et services la hausse des coûts de production qui peut provenir d’une hausse des prix des matières premières (chocs pétroliers de 1973 et 1979), d’une hausse des coûts du facteur travail (hausse des salaires), d’une hausse des taux d’intérêt (coût de l’argent) ou du prix de l’énergie. ← Le risque dans ce cas est de voir se mettre en place une spirale inflationniste. L’inflation par la demande : déséquilibre entre la quantité de monnaie

des autres emplois, à cause de la stabilité et de la duré du contrat de travail, comme les contrats à durée déterminé (CDD),l’intérim, les contrats aidés ou encore les stages divers. D’autres se distinguent, par rapport au temps de travail et au salaire mensuel, pour l’essentiel, du travail à temps partiel, parfois identifié par le sous emplois. Les employés qui sont dans cette situation travaillent en générale moins que ce qu’ils ne le souhaiteraient.En France, si l’on recense l’ensemble des emplois

forfait en jours pour les cadres, annualisation et modulation des horaires, régime du temps partiel, compte épargne-temps, SMIC etc.), pérennisé l’allègement de cotisations pour les entreprises à 35 heures et fixe une garantie de salaire pour les salariés au SMIC (salaire minimum) passées eux aussi aux 35 heures (Artus, Cahuc et Zylberberg 2007, 46). Cette seconde loi s’est d’ailleurs inspirée du contenu des négociations collectives qui étaient intervenues dans les entreprises depuis 1998 et qui visaient

devraient impérativement être en poste de travail ou en formation professionnelle. Bien sûr se posera la question des salaires ; celle-ci nécessite évidemment d’être analysée dans le détail . Les analyses et les expériences sont toutefois déjà nombreuses en la matière et on peut se risquer à quelques pistes . L’objectif serait naturellement que les masses globales –salaires nets +charges- n’augmentent pas dans le secteur public (cf les propositions pour le retour à l’équilibre du budget de l’Etat)