Berlioz

une alternative à l’antagonisme romantisme académisme | | |des sommets de sa première manière est : L’Assassinat de l’évêque de Liège |(tels Charles Baudelaire, Hector Berlioz… dont il a fait les portraits). | | |(1831) |Sous l’impulsion de Jules Champfleury, Courbet jette les

et qui ne cesse porter ses romans à l'écran, environ une centaine de films et téléfilms dans de nombreux pays. 2) « Ferragus » est paru en 1833 dans la Revue de Paris, édité en 1834 chez madame Charles-Béchet. Il a dédié cet ouvrage à Hector Berlioz, il est également connu sous le nom de « Ferragus, chef des Dévorants ». Ce roman constitue le premier volet d’une trilogie, suivie de « touchez pas la hache » rebaptisé « La Duchesse de Langeais » et « La Fille aux yeux d'or ». Le fil conducteur

toutes les contraintes de représentation (plasticité) LE ROMANTISME → large mouvement (un demi-siècle) à la fois littéraire, musicale et picturale. peintres : Delacroix, Géricault musiciens : Schubert, Chopin, Berlioz... écrivains : Hugo, Chateaubriand... → le Romantisme naît en Angleterre puis en Allemagne (18e) et arrive tardivement en France. (début 19e : les Lumières qui prônaient la raison, contraire du Romantisme). → le Romantisme abandonne les sources

très tôt défaillant, lui vaudra de longues années en maison de santé. De 1826 à 1837, il séjourne fréquemment au Château des Roches à Bièvres, propriété de Bertin l'Aîné, directeur du Journal des débats. Au cours de ces séjours, il y rencontre Berlioz, Chateaubriand, Liszt, Giacomo Meyerbeer et rédige des recueils de poésie dont le célèbre ouvrage des Feuilles d'automne. Il aura, jusqu'à un âge avancé, de nombreuses maîtresses. La plus célèbre sera Juliette Drouet, actrice rencontrée en 1833,

Venise une troupe qui joua devant Louis XIV : le succès fut immédiat. Mais il fallut attendre 1671 pour voir le premier opéra réellement « français ». Parmi les compositeurs français les plus connus, comptent notamment Jean-Philippe Rameau, Hector Berlioz et Georges Bizet. Il a fait représenter à l’Ambassade de France un opéra de son ami Ottaviano Castelli sur un livret dédié à Armand Jean du Plessis de Richelieu qui exaltait ses vertus ainsi que celles de Louis XIII. On voit donc qu’à travers la

soutiens qu'il y a beaucoup de fantastique dans Paris. (LAUTOUR-MEZERAY) ». Cette épigraphe est maintenue dans l'édition originale à deux petits ajouts près, mais elle disparaît des éditions subséquentes. En revanche y apparaît la dédicace « A HECTOR BERLIOZ ». – Aucune correction dans le Furne corrigé.   PERSONNAGES – Clémence DESMARETS : fille de Ferragus, appelée couramment Madame Jules (c'était une enfant naturelle). La plus belle au bal des Birotteau (César Birotteau). – Jules DESMARETS

Convention qui fait exécuter l'Hymne par l'Orchestre de l'Institut National de Musique... mais interdite sous l'Empire et la Restauration. Elle revient à l'honneur pendant les Cent-Jours, en 1815 avec Napoléon 1er. Lors des révolutions de 1830 (Berlioz en élabore une orchestration qu'il dédie à Rouget de Lisle. ) et de 1848, la Marseillaise est universellement reconnue et devient l'hymne national de la République Française le 14 mars 1879. A Paris, elle est symbolisée par un bas-relief du

peintre ou du poète maudit. Dans le domaine des arts, en France, à côté d'un néo-classicisme officiel et académique (allant parfois jusqu'à l'art pompier), on retrouve les grands courants esthétiques du siècle comme le romantisme avec Delacroix ou Berlioz et, plus tard, le réalisme avec Courbet et, à la même période, en musique Gounod et Bizet. Dans les dernières années du Second Empire s'impose peu à peu l'Impressionnisme auquel on peut rattacher Manet, Monet ou Renoir, pour ne citer que les plus

est resté très peu de temps à l’orchestre symphonique car vers la même époque en France, un changement dans l’idéal de la sonorité des trombones est arrivé, amené par les nouvelles idées de Berlioz.. “...from the former smooth mellow vocal sound to a brassier type with a sharper edge-the sound describe by Berlioz as [menacing and formidable]-and one which was perhaps better matched to that of the trumpet now so frequently associated with the trombone.”[41] Pour cette raison et pour quelques autres

tous les genres : Notre-Dame de Paris (1831), Ruy Blas (1838), Les Chants du crépuscule (1835)... Il épouse Adèle Foucher en 1822. Ils auront cinq enfants ensemble. De 1826 à 1837, Victor Hugo fréquente beaucoup d'intellectuels et d'artistes, dont Berlioz ou Chateaubriand. Il multiplie également les maîtresses, comme Juliette Drouet dès 1833. En 1840 paraît les Rayons et les Ombres. En 1841, Hugo rejoint l'Académie française après plusieurs échecs. En 1843, sa fille Léopoldine meurt noyée, d'où