Bens Portrait

choix de son maitre en matière de relations amoureuses. Pour le convaincre qu’il a raison de mener une vie peu respectueuse des conventions, Don Juan, dans cette tirade, va faire l’éloge de l’infidélité. En quoi ce passage permet-il de dresser un portrait assez complet de Don Juan ? Dans un premier temps, nous verrons à quel point Don Juan maitrise l’Art Oratoire, puis nous analyserons quelle est sa conception de l’amour. Pour commencer, il est important de souligner que cette tirade révèle l’Art

________________________________________ Les Caractères, « De la société et de la conversation », 7. Pour le commentaire… Les Caractères sont des textes brefs sur la cour. La Bruyère y dénonce l’hypocrisie, les abus de pouvoir, la fausse dévotion. Il s’agit de portraits physiques et moraux où La Bruyère critique notamment l’attitude de l’homme face à la guerre, la corruption par l’argent, etc. À l’instar de Montaigne dans les Essais, La Bruyère écrivit au fil de ses idées, traitant des sujets très différents.

a un souci de réalité. Le Caravage, Bacchus malade, huile sur toile. L'épaule est redondante, et l'émotion est bien sentie. Le Caravage, Jeune Garçon mordu par un lézard, 1594, huile sur toile. La pose est très suggestive. Ce n'est plus des portraits strictes, mais on capte la spontanéité et en gros plans. Le Caravage a aussi peint Méduse, un personnage feminin qui est reconnu pour sa laideur. Son cou tranché dégoulinant de sang et son expression faciale suscitent l'émotion. Courbes et contre-courbes

Le portrait fixe Le narrateur peut effectuer une pause pour dans le récit pour effectuer le portrait d'un personnage. Dans un portrait statique, le personnage est présenté à l'arrêt (stare en latin signifie "être immobile"). I°/ L'organisation Le narrateur peut présenter un portrait physique auquel il ajoute ou non un portrait moral (traits de caractère), un portrait social (métier, argent, place dans la société), un retour sur l'enfance u le passé ... Différents modes d'organisation

connu pour ses nombreux portraits. Il se démarque très vite des autres portraitistes. Il aime prendre ses modèles sur fond neutre et les laisser s’exprimer. Et c'est dans le cadrage, dans cette capacité qu'il a, à nous renvoyer un regard, une sensation sans aucun artifice, un simple fond blanc sert de cadre, qui fait que ses portrait sont fascinants. Les critiques y voient une nouvelle vision de la photographie. En travaillant pour les plus grand, il réussit à faire les portrait des plus grande stars

l’expression d’un idéal classique ? Chapitre V, De la société et de la conversation, remarque 9 (ajout de la 8ème édition) Intro : A propos de la question du « portrait », éléments de réflexion sur la question du « genre » des « Caractères » à partir d’éléments de définition. Le caractère est un genre spécifique, au-delà du portrait b) Le mot « caractère » : * étymologie = signe gravé, empreinte, et de là type, voire marque en creux d’une médaille) * mœurs (d’une personne ou d’un groupe) ; leur

nombreux voyages en Italie, d’abord dans sa famille à Naples, puis à Rome et Florence, où il se lie d’amitié avec le peintre Gustave Moreau. Ses œuvres de jeunesse comptent quelques peintures d’inspiration néoclassique, mais surtout de nombreux portraits des membres de sa famille. De 1865 à 1870, il propose au Salon son œuvre en cours. De 1874 à 1886, Degas envoie des œuvres aux expositions impressionnistes à l’organisation desquelles il participe très activement. Il a alors de très nombreux

Allemagne et en Finlande à Helsinki. Hucleux commence cette année là à se consacrer aux portraits avec ses quatre premiers portraits donc le sien : Jean-Pierre Raynaud, Autoportrait, Étienne Martin, Jean Le Gac. En 1975, il entreprend, sur commande, le portrait du Professeur Peter Ludwig et de sa femme, suivi peu après des Jumelles. Il s'ensuit un certain nombre de commandes publiques parmi lesquelles le portrait peint des Présidents Georges Pompidou et François Mitterrand, ainsi que la commande

une certaine logique, menant de l’aspect général de La Rochefoucauld en passant par sa psychologie et sa manière de raisonner puis revenant à une description plus extérieure des rapports qu’il a avec la société. D’ailleurs la transition entre le portrait physique, très rapide, et intellectuel se fait via une tournure de phrase qui se veut modeste et ponctuée de verbes et adjectifs d’incertitude tels : « je pense ; l’on trouvera ; je croie ; n’est pas fort éloigné ; naïvement… » comme si il laissait

sa folie tout au long du chapitre jusqu'à ce qu'il se fasse chassé par le public ("le public vous demande quartier"). l'image du comédie montre le jeu mensonger auquel se livre les courtisans et qui permet à l'auteur d'exercer sa satire. dans ce portrait de Théodote, on note que ses attitudes et ses paroles correspondent à celle des courtisans milieux qui font des mystères d'un rien ("une affaire de rien"). Le courtisant sait s'appliquer sérieusement pour donner de la gravité démesurée à une petite