Benjamin Franklin Esprit Capitalisme

l’ailleurs qui caractérise l’éthique de la politique étrangère ; celle-ci est une politique qui vise le lointain. Bien évidemment, l’expansionnisme, la conquête procèdent d’un ethos de la 58 maîtrise, d’un esprit de la conquête comme le souligne Benjamin Constant en évoquant Napoléon. Un tel esprit renvoie à une éthique dont il faut nécessairement discuter les termes. Dans la politique étrangère, la relation éthique se mesure également à la distance entre le décideur et le monde. Entre ces deux instances

reconnaissance de la propriété privée : Exode, 20 : Les dix commandements : 15 : Tu ne voleras pas, 17 : Tu ne convoiteras pas la maison de ton voisin, ni sa femme, ni ses servants, ni son bétail, ni quoique ce soit qui lui appartienne. Dans le même esprit des sanctions sont prévues pour le vol (si on vole et tue un mouton il faut en restituer quatre). Mais un désir de protéger les pauvres : Par contre si l’on prête de l’argent surtout à un pauvre il ne faut pas exiger d’intérêt. Si l’on demande

d'Angleterre", exerçait une influence directe sur le Parlement britannique. Pendant ce temps, qu'en était-il des finances aux Etats-Unis ? Les présidents américains BENJAMIN FRANKLIN et THOMAS JEFFERSON étaient farouchement opposés à l'idée d'une banque centrale privée qui contrôlerait la monnaie américaine. Après la mort de B. Franklin en 1790, les agents de Rothschild promurent ALEXANDER HAMILTON au poste de ministre des finances. Celui-ci créa la " FIRST NATIONAL BANK OF THE UNITED STATES ", la

maître Le plus sage des Grecs ? Socrate reconnait qu’il ne sait rien, donc il pose des questions aux gens dans la rue. L’ironie socratique, il tourne son interlocuteur en bourrique, afin de pratiquer la maïeutique, c-à-d. qu’il veut accoucher les esprits. Il refuse de faire de la politique, est complètement désintéressé. Condamné à mort en 399, à l’issue d’un procès injuste où il était accusé de corrompre la jeunesse. La prosopopée des lois. Un discours éthique (gnôti séauton, connais-toi toi-même)

les droits a fait face à la nouvelle grande transformation déclenchée dans les années 1970 et aujourd’hui généralement appréhendée par le mot passe-partout de «mondialisation». 16 Il est de plus en plus reconnu que cette restructuration du capitalisme à l’échelle mondiale, touchant aux modalités du travail et de la production comme aux dynamiques de la consommation et des échanges, a renouvelé une tendance très marquée aux inégalités entre les pays et dans les pays mêmes. Bien que symptomatique

* Concernant la race Le facteur ethnique ne doit pas intervenir dans la reconnaissance des libertés fondamentales. Autrement dit il ne peut y avoir de discrimination raciale. Le docteur William, trinidadien a fait une thèse concernant le capitalisme et le racisme. A travers sa thèse, il montre l’infériorité du noir, d’où l’esclavage. Ce qu’il faut retenir, c’est l’esclavage. L’esclavage est un régime privatif de droits, niant les droits les plus élémentaires de ceux qui sont esclaves.

largement accepté la conception de la politique comme science du pouvoir (ou plutôt des pouvoirs). Recourir au critère du pouvoir ne permet, cependant, ni de délimiter exactement le champ d'extension de la science politique, ni de pénétrer son véritable esprit. Il y a, simultanément, débordement et rétrécissement de l'objet. L'idée d'une science comparative des phénomènes du pouvoir repose, de la part des Américains et de ceux qui s'en inspirent, sur une confusion initiale entre puissance et pouvoir, entre

un pays resté profondément catholique23. Maurice Halbwachs y voit un compromis entre l’Eglise et le capitalisme : l’Eglise oppose traditionnellement les riches et les pauvres, “il n’y a, dit-il, qu’un moyen de justifier sa richesse et les efforts qu’on a faits pour les acquérir : ce sont les bonnes oeuvres, l’aumône, la charité.” “L’Eglise, ajoute-t-il, s’accommode tant bien que mal du capitalisme qu’elle ne peut ignorer ; mais elle reste solidaire d’une société ancienne qui lui était foncièrement

20e siècle, page 57 15- De la Guerre Froide à la détente, 1953-1962, page 63 16- Un face à face planétaire, 1962-1975, page 68 17- L’Europe en construction, 1945-2011, page 73 18- La fin du monde bipolaire, 1975-1991, page 78 19- Communisme et capitalisme en Asie, page 84 20- Problèmes sociaux et politiques de l’Asie contemporaine, page 84 21- La recomposition du monde, un nouveau désordre mondial ? page 95 22- Les enjeux politiques du monde actuel, page 99 1er Cour : Penser historiquement les

qu’après des drames humanitaires, tremblements de terre ou tsunamis. Il a fallu deux guerres mondiales pour mettre l’ONU sur les fonts baptismaux. Il a fallu une crise financière majeure en 2008 pour que la question de la régulation et de l’éthique du capitalisme se trouve enfin posée. Les systèmes politiques nationaux n’ont pas su s’adapter au nouveau monde. Le politique aujourd’hui a un raisonnement construit sur du local, ou du national, et non sur du multinational ou du global. Il continue à parler aux