Bel Ami Et Le Miroir

de Lyon de fort bon goût ; le tout était accompagné d'une lettre à M. de La Jeannotière. Colin admira l'habit, et ne fut point jaloux ; mais Jeannot prit un air de supériorité qui affligea Colin. Dès ce moment Jeannot n'étudia plus, se regarda au miroir, et méprisa tout le monde. Quelque temps après un valet de chambre arrive en poste, et apporte une seconde lettre à monsieur le marquis de La Jeannotière ; c'était un ordre de monsieur son père de faire venir monsieur son fils à Paris. Jeannot monta

de Lyon de fort bon goût ; le tout était accompagné d'une lettre à M. de La Jeannotière. Colin admira l'habit, et ne fut point jaloux ; mais Jeannot prit un air de supériorité qui affligea Colin. Dès ce moment Jeannot n'étudia plus, se regarda au miroir, et méprisa tout le monde. Quelque temps après un valet de chambre arrive en poste, et apporte une seconde lettre à monsieur le marquis de La Jeannotière ; c'était un ordre de monsieur son père de faire venir monsieur son fils à Paris. Jeannot monta

qui pourraient valoriser le travail du candidat (la finesse et la pertinence des analyses et des interprétations ; un devoir qui mènerait progressivement à une démonstration aboutie). Vous commenterez le texte suivant : Louis ARAGON, « Elsa au miroir ». Pour Les yeux d’Elsa (1942), Aragon donne une préface essentielle, où il déclare que « L’art des vers est l’alchimie qui transforme en beautés les faiblesses ». Mais il ajoute que « L’histoire d’une poésie est celle de sa technique », et confie

troupe se jette, Le saisit au frein et l’arrête. Le mulet, en se défendant, Se sent percé de coups ; il gémit, il soupire. « Est-ce donc là, dit-il, ce qu’on m’avait promis ? Ce mulet qui me suit du danger se retire ; Et moi j’y tombe et je péris ! – Ami, lui dit son camarade, Il n’est pas toujours bon d’avoir un haut emploi : Si tu n’avais servi qu’un meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade. » - 14 - Le Loup et le Chien Un loup n’avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient

(1829) DE VICTOR HUGO : LECTURE ANALYTIQUE DE LA PRÉFACE (EXTRAIT)ALCOOLS (1913) DE GUILLAUME APOLLINAIRE : LE PORTRAIT PRÉMONITOIRE DE GUILLAUME APOLLINAIRE PAR CHIRICOBEL-AMI (1885) DE GUY DE MAUPASSANT : LECTURE ANALYTIQUE N° 1 : L'INCIPITBEL-AMI (1885) DE GUY DE MAUPASSANT : LECTURE ANALYTIQUE N° 3 : MME FORESTIER ET GEORGESBEL-AMI (1885) DE GUY DE MAUPASSANT : LE RÉALISME ET LE NATURALISMEMÉTHODE : LES FIGURES DE STYLEMÉTHODE : PRÉPARER UN EXPOSÉ SOUS LA FORME D'UN DIAPORAMAMÉTHODE : L'ENTRETIEN

Julius en passant devant lui. Son ami (=Berner) lui sourit avec compassion, en étant soulagé, parce qu'il devait uniquement jouer le rôle d'accompagnant indolore. « Juliane » s'écria l'oncle Julius. Je fermai la porte derrière moi et ensuite attachai la bavette de dentiste à Büffel. Page 9 L’oncle Julius se pencha vers lui et lui demande «Depuis quand avez-vous cette douleur? » « Depuis environ une semaine. Mais ce soir, c’est insupportable. Demandez à mon ami. » « Avec plaisir. » Je voulais

Lyon de fort bon goût ; le tout était accompagné d'une lettre à monsieur de La Jeannotière. Colin admira l'habit, et ne fut point jaloux ; mais Jeannot prit un air de supériorité qui affligea Colin. Dès ce moment Jeannot n'étudia plus, se regarda au miroir, et méprisa tout le monde. Quelque temps après un valet de chambre arrive en poste, et apporte une seconde lettre à monsieur le marquis de La Jeannotière : c'était un ordre de monsieur son père de faire venir monsieur son fils à Paris. Jeannot monta

esclave, il est rémunéré (de gages), mêmes si ceux-ci sont rarement perçus. En effet, le valet est logé, nourri, blanchi, et s'en contente * C'est une relation de familiarité (le valet sert de confident, pour le maître c'est une espèce de double, de miroir, avec qui la discussion n'aura pas de conséquence). * * Le maître rabroue le valet (de coups), du fait de la familiarité qui existe entre eux, et malgré celle-ci. * * Cette relation n'est pas ressentie comme un problème de classes

perruque, le bourgeois qui proteste, le marquis qui passe sa tête par la fente du rideau et envoie «quelques baisers aux loges ». Dorante dans le texte A fait également d'un spectateur un personnage que l'on regarde ; il s'agit d'un des «ces Messieurs du bel air » dont l'air méprisant et le « chagrin » devient « une seconde comédie ». Si le spectateur est bien le destinataire de la pièce, ce qui suppose une attitude récep¬tive, il n'est pas un simple consommateur passif et devient même partie prenante

mort-comme une punition. Chapitre 2 : Deux serviteurs, Miss Abbott et Bessie Lee, escortent Jane à la salle rouge, et Jane leur résiste avec l'ensemble de ses forces. Une fois enfermé dans la salle, Jane aperçoit sa silhouette sinistre dans le miroir, et, choqué par sa présence maigre, elle commence à réfléchir sur les événements qui l'ont conduit à un tel état. Elle se souvient de son oncle Reed type pour l'amener à Gateshead après la mort de ses parents, et elle rappelle sa commande de mourir