Beckett Répétition

les sens ou le son des mots (antiphrases, homonymie…), les déformations verbales et les effets de grossissements (hyperboles, répétitions…). * Le comique de situation consiste en quiproquo, travestissements, présence d’un témoin caché, vraies ou fausses reconnaissances, effets de surprise, répétitions d’une même situation (dans ce cas on parle de comique de répétition) * Le comique de caractère caricature les vices et les défauts des hommes ou des catégories sociales que les personnages incarnent

d'infos sur pièce avant début. On essaiera de voir que ce prologue, sérieux et polémique, s'inscrit peut-être davantage qu'on ne le pense dans une tradition comique : - en premier lieu, un comique de répétition car tous les prologues se ressemblent : formule qui marche, peut-être comique de répétition - ensuite variation par rapport à Plaute (càd au prédécesseur) – façon subtile de s'inscrire dans la tradition comique de la palliata : Plaute est d'ailleurs nommément cité * appel au public : aspect

C. Comique de langage C’est le comique le plus important de la scène. - le langage peu évolué des 2 paysannes s’oppose à celui de Dom Juan - Dom Juan utilise un langage qui paraît populaire, mais métaphorique, périphrasique. - comique de répétition dans les paroles de Dom Juan=> il garde la structure ou les mots « laissez la faire- laissez la dire », dire la même chose de deux façons différentes, répéter des mots, des structures… - attitude de lâche=> Arlequinade comme dans la « comédia

centime pour son fils et les arguments de scapin en utilisant l'amour filial comme moyen sentimentales et la proximité de l'heure de l'ultimatum comme moyen de pression. D'autres élément comique apparaissent dans cette scene comme le comique de répétition Géronte lui reviens constamment à des considérations terre à terre lorsqu'il parle de la galère et de la somme attendu par le turc ce qui accentue d'ailleur son coté avare . De plus Scapin continue a remuer le couteau dans la plaie en convertissant

ses deux serviteurs Alain et Georgette, ce qui rend cette scène comique. Nous allons donc expliciter sur quoi repose le comique de cette scène. Ainsi nous allons voir dans un premier temps le comique de gestes puis le comiques de mots, ensuite de répétitions avec des parallélismes, de situations et enfin de caractère. Le comique de geste commence au vers 213 avec la dispute d'Alain et Georgette pour ouvrir la porte. Le comique de geste se poursuit au vers 218 avec la didascalie destinée à Alain

caractère car l’Ingénu est totalement ignorant de la hiérarchie ; comique de gestes « il les traita de même, il les battit » (l.3) ; comique de mots (l.6), comique de situation par la persévérance du Huron sans qu’elle soit récompensée. Le comique de répétition est mis en avant par l’utilisation des mêmes mots de l’Ingénu et son interlocuteur comme « brave » (l.5-7), « Eh bien ! » (8/9-14), « monseigneur de Louvois » (l.8-9), « Sa Majesté » (l9-10), et par la réitération du nom « monsieur Alexandre » faite

Sosie qui renouvelle ses plaintes et conte sa mésaventure à son maître incrédule. De ce dialogue, j'étudierai les procédés comiques dont Molière a recours ainsi que l'étude de la versification. Cette lecture crée un comique de répétition dont Molière à recours. Répétition des mots qui permet aux acteurs des effets et suggère comiquement l'obsession dont un héros peut-être habité. On le retrouve dans les vers 811-820 où Sosie traduit l'impossibilité obsessionnel de se débarrasser de ce double mystérieux

ses vœux de toute-puissance. 16 Il n’est pas rare de voir l’enfant déçu dans sa recherche d’amitié à l’école se transformer, sur le modèle de l’arrosé-arroseur, en petit tourmenteur de son psychanalyste. C’est là une forme de la compulsion de répétition chez l’enfant qui endosse, ce faisant, le rôle du camarade admiré dont il envie tellement l’autorité. C’est bien l’exercice de cette autorité qu’en fait, il recherche. Aussi, la découverte des enjeux combatifs de l’amitié est-elle inhérente à leur

nous obtenons des informations sur le personnage de Tartuffe. Dorine nous permet tout d’abord de connaitre quelque caractéristique physique. 2°) Le comique de répétition : le langage de la folie - Le décalage qui existe entre la situation : Tartuffe mange et dort, et le commentaire qu’en fait Orgon (« le pauvre homme »). La répétition a un effet comique insisté ici sur le comique mais elle est aussi le signe inquiétant d’une confusion de valeurs. Orgon est ridicule, ce ridicule se traduit par

Tous deux trouvent des excuses pitoyables pour justifier leur inaction comme par exemple Alain qui veillait à ce que l'oiseau ne sorte pas de sa cage ou Georgette qui soufflait le feu. On peut également observer dans cette scène un comique de répétition lorsque Alain et Georgette se dispute tout d'abord pour ne pas ouvrir la porte et ensuite en utilisant à peu près les mêmes répliques en se battant pour ouvrir la porte et éviter ainsi du même coup la punition fixée par Arnolphe alias Monsieur de