Beauté Promesse De Bonheur

Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté.ty Des meubles luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l'ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l'âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir

« parents »(l.4), « aïeux »(l.9).   c) Un bonheur raisonnable.  - Le premier mot du poème est « Heureux », indique le thème du sonnet : le bonheur, et la vision de l’auteur, un bonheur simple attaché à ses racines. - Le voyage est montré pour son qualité, pour son apprentissage humaniste qui rend meilleur : « Et puis retourné , plein d’usage et raison, »(v.3) - Bonheur humble : « petit village » (v.5), « pauvre maison »(v.7), « mon petit Liré »(v.12). C’est un bonheur fait de connaissances et de peu de

« Spleen et Idéal ». Il a été inspiré par Marie Daubrun, une actrice dont le poète s’est brièvement mais intensément épris. Baudelaire lui déclare ici un amour plus mystique que sensuel. Le voyage auquel le poète invite sa bien-aimée n’est qu’une promesse de voyage s’épanouissant dans le rêve. C’est une invitation à se rendre dans un lieu privilégié, un lieu idéal censé apporter un remède et un réconfort au poète qui lutte avec le spleen. La quête de ce pays lointain se confond un moment avec l’évocation

sensations et qui, conduisant le poète du corps de la femme aimée à une île idéale, lui permet d'associer bonheur sensuel et envolée spirituelle. → Invitation au voyage : Invitation au voyage est  est extrait de Spleen et Idéal, première partie des Fleurs du Mal de Baudelaire. Poème inspiré par Marie Daubrun : l'amour est ici spirituel et non sensuel.Il ne s'agit pas d'un voyage mais d'une promesse de voyage épanouissant le rêve. Nous sommes en présence d'un poème à rêver : Baudelaire utilise la femme

second lieu, le pouvoir de la femme et l’évasion vers l’idéal qu’elle suscite. I - Correspondance de la vue et de l’odorat Nous constatons la présence d’une correspondance à dominante urbaine, il s’agit du miroir où se reflète la beauté qui invite au voyage. Elle se situe dans le deuxième sizain des vers 7 à 12. « Dans les ciels brouillés », comme les yeux de Marie Daubrun, nous retrouvons les éléments authentiques comme le feu, l’eau, dans l’oxymore, « les soleils mouillés ». «

travers leurs larmes. 13. Là, tout n'est qu'ordre et beauté, 14. Luxe, calme et volupté. 15. Des meubles luisants, 16. Polis par les ans, 17. Décoreraient notre chambre ; 18. Les plus rares fleurs 19. Mêlant leurs odeurs 20. Aux vagues senteurs de l'ambre, 21. Les riches plafonds, 22. Les miroirs profonds, 23. La splendeur orientale, 24. Tout y parlerait 25. A l'âme en secret 26. Sa douce langue natale. 27. Là, tout n'est qu'ordre et beauté 28. Luxe, calme et volupté. 29. Vois sur ces canaux

choix de ces poèmes n’est pas hasardeux, il vient de ma volonté de vous transmettre les émotions que le poète fait naitre en nous. Alors, lecteurs, cette invitation ne saurait se décliner, elle n’est pas conventionnelle. Elle vous délivre secrets, beauté et mystères du monde, dans la plus belle des écritures. une répétition : touché, - peut-être pourrais-tu préciser les caractéristiques du lyrisme baudelairien, en particulier son ambivalence, je chercherais autre chose que le mélange des sentiments

La vie c'est quoi! La vie est une chance, Saisis-la vigoureusement La vie est une beauté, Admire-la harmonieusement La vie est une béatitude, Savoure-la passionnellement La vie est un rêve, Fuis-en une réalité La vie est un défi, Fais-lui face rigoureusement La vie est un devoir, Accomplis-le studieusement La vie est un jeu dangereux, Joue-le très prudemment La vie est très précieuse, Prends-en soin jalousement La vie est une richesse, Conserve-la soigneusement La vie est

jour Sur le sablon de cette rive : « Alcidon est mon seul amour. » Je ne devais pas m’assurer De voir sa promesse durer, Par ce qu’en chose plus légère Ni plus ressemblante à sa foi, L’ingrate et parjure bergère Ne pouvait se promettre à moi. Un petit vent qui s’élevait En même temps qu’elle écrivait Cette preuve si peu durable, Effaça sans plus de longueur Sa promesse dessus le sable Et son amour dedans son c?ur. Louise Labé Sonnets Je vis, je meurs : je me brûle et me noie

Intro : Le dossier met en avant la place de l’excès de consommation et du matérialisme de notre société. Le bonheur pour l’Homme moderne est-il synonyme de surconsommation ou de matérialisme effréné ? Ce corpus est composé de deux articles de presse, d’une campagne publicitaire et d’une chanson. La première partie amène à parler du besoin qui est devenu un véritable réflexe de surabondance dans la vie d’un bon nombre d’Hommes. Dans une seconde partie le corpus fait réfléchir sur, la qualité et