Intro :
Le dossier met en avant la place de l’excès de consommation et du matérialisme de notre société. Le bonheur pour l’Homme moderne est-il synonyme de surconsommation ou de matérialisme effréné ?
Ce corpus est composé de deux articles de presse, d’une campagne publicitaire et d’une chanson.
La première partie amène à parler du besoin qui est devenu un véritable réflexe de surabondance dans la vie d’un bon nombre d’Hommes. Dans une seconde partie le corpus fait réfléchir sur, la qualité et la quantité qui sont aujourd’hui deux choix distincts.

Développement :
1er partie : réflexe de surabondance…

Le journaliste nous fait part dans son article de presse, des différents sentiments successifs ressentis par les futurs clients tel que la curiosité, la désorientation, l’affolement, la déception dû à la monotonie du cadre l’énervement puis la docilité et la soumission.

D’après l’auteur de l’article, les deux principaux objectifs des enseignes sont d’attirer les clients et de provoquer des « achats d’impulsions ».

Le journaliste revendique les stratégies misent en place par les « mall », tel qu’une architecture original qui contraste avec les alentours sans harmonie ni beauté. Le but étant de libérer une fois à l’intérieur, une sensation agréable Grace à la chaleur et la lumière qui fait appel à l’exotisme, l’imaginaire et l’inattendue, qui libère une promesse de bonheur, d’une vie nouvelle.

L’artiste analyse dans ca chanson, que la société de consommation impose des modèles, des images comme celle d’un mannequin reconnue par tous, ou encore d’un romancier. Le chanteur insiste sur le fait que l’on nous impose des stéréotypes. Cette œuvre musical met l’accent sur la surconsommation et le matérialisme effréné qui nous emmène dans un mode de vie ou le bonheur passe par l’avoir et le paraître. L’idéal, qui lui est opposé, est celui d’un monde emprunt de sentimentalité, en quête de rêve ou l’être est plus important que l’avoir.

2ème partie :