Beauté Physique Beauté Morale

l’éclatante beauté d’Emma, beauté dont la source n’est autre que sa relation amoureuse avec son amant. Emma agit comme les héroïnes des romans qu’elle a dévorés, elle devient cette jeune femme dont le prince tombe amoureux. Emma vit un conte de fée, dont elle et son amant sont les protagonistes. Les groupes nominaux « de la joie, de l’enthousiasme, du succès » rappellent les raisons de cette éclatante beauté. « Elle n’a jamais été aussi belle » montre l’éloge fait à Emma. La beauté d’Emma prend

LES FLEURS DU MALCharles BaudelaireETUDE DU TITRE :Titre en forme d’oxymore.Les fleurs : stéréotype de la poésieLe mal fait référence à 4 types de malLe mal social (être déchu, paria), moral (gout du crime et du sadisme) , physique et métaphysique (sentiment d’abandon de Dieu)INTRO : les fleurs du mal retrace l’itinéraire de Baudelaire, le cheminement de son âme qui vit une véritable descente aux enfers.Le spleen désigne la rate en anglais qui est l’organe considérer comme l’organe responsable de

§ 17 — De l’idéal de la beauté Il ne peut y avoir nulle règle objective du goût qui détermine par concepts ce qui est beau. Car tout jugement dérivant de cette source est esthétique, autrement dit : c’est le sentiment du sujet, et non un concept de l’objet, qui est son principe

personnages  Situer la rencontre lors d’un bal permet de la mettre en valeur : moment de représentation, d’éclat particulier des personnages, où ils auront la liberté de se rencontrer intimement Premières lignes mettent en valeur la Princesse : « sa beauté et sa parure » qui provoquent l’admiration générale (« l’on admira »). Toute la fin du 1er paragraphe. est consacrée à mettre en valeur l’arrivée de Nemours. cf question 1. Il arrive après le début du bal. Passage de la focalisation externe au point

À commencer par Baudelaire, les « poètes maudits » considéraient le mal sous ses diverses formes comme l’objet artistique par excellence. N’est-ce pas le sens même des Fleurs du mal, dont les poèmes vénéneux illustrent la beauté de la laideur dans Une Charogne et du désespoir dans les Spleens, mettent en scène la mort dans La Mort des amants, des pauvres ou des artistes, et semblent exalter le vice dans les Femmes damnées ou les Litanies de Satan pour ne citer que quelques-uns

en décomposition  mort de l’animal Venus / Une vieille femme.  Beauté, sensualité,amour Un crapaud  le prince charmant ( double sens : un crapaud est également un défaut sur une pierre précieuse) Huître  objet enfermé ( parfois perle cachée) 2 Dégout-peur-rejet Laideur physique et émotionnelle Laideur physique, impudeur (“horrible”) et morale ( “bête”) laideur physique  beaut�morale Laideur physique basse 3 Laideur atténuée par la répétition ( x 2) de "j‘aime" Précision

 Anthologie Poétique de la Beauté Préface La beauté Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Éternel et muet ainsi que la matière. Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris ; J'unis un coeur de neige à

par cet échec et sombre dans la misère et dans la maladie. Le poids des dettes s’ajoutant aux souffrances morales, Baudelaire est frappé en 1866 d’un malaise qui le rendra paralysé. Il meurt en 1867. 3) II) Questionnaire de lecture 1) L’expression « Les Fleurs du Mal » contient la figure stylistique d’un oxymore, car il y a une opposition entre les deux termes : les fleurs connotent la beauté et n'ont rien à voir avec le monde du mal. Sur cette première figure se greffe une métaphore, le mal est

1. Je ne souhaite à personne de cohabiter, dès l'enfance, avec la beauté. Entrevue rarement, la beauté illumine le monde. Côtoyée au quotidien, elle blesse, brûle et crée des plaies qui ne cicatrisent jamais. (Lorsque j'étais une oeuvre d'art, p.23, Albin Michel, 2002) 2. La force de la beauté, c'est de faire croire à ceux qui la côtoient qu'ils sont eux-mêmes devenus beaux. (Lorsque j'étais une oeuvre d'art, p.24, Albin Michel, 2002) 3. La notoriété est un animal qui se nourrit de

M. de Nemours ». Cette scène de reconnaissance perçue par le regard de l’héroïne souligne l’impression forte produite par Nemours notamment avec la négation restrictive « ne…que ». On trouve ce même procédé chez Stendhal : « Bientôt, étonné de sa beauté, il oublia tout, même ce qu’il venait faire. » Le narrateur révèle avec l’hyperbole « il oublia tout » le trouble provoqué par la rencontre et la naissance du sentiment amoureux. Flaubert, quant à lui, recourt au discours indirect libre pour nous