Beauté Mon Beau Souci Malherbe

Et la mer est amère, et l’amour est amer (Marbeuf) Polyptote Utilisation de plusieurs variantes flexionnelles du même mot « Je meurs, je suis mort » Figure dérivative Met en relation des mots appartenant à une même famille « Beauté, mon beau souci » (Malherbes) Figures de construction affectant la forme de la phrase : Aposiopèse Simple interruption dans le déroulement syntaxique, marqué par les points de suspension Cf. Agnès dans l’Ecole des Femmes : « il m’a pris le… »

de Cocteau. - Cours: L’évolution du lyrisme. - Cours: La voix poétique et l’inspiration. - Synthèse: La Pléiade et l’école lyonnaise. - Cours: L’hermétisme en poésie. - Dissertation et corrigé: sujet de Reverdy. - Synthèse: François de Malherbe (1555 -1628). - Cours: La connaissance poétique. - Cours: Les fonctions de la poésie. - Cours: Peinture et Poésie, Poésie et typographie, Le Blanc en poésie. - Dissertation et corrigé: sujet de Hugo.

figuré Et la mer est amère, et l’amour est amer (Marbeuf) Polyptote Utilisation de plusieurs variantes flexionnelles du même mot « Je meurs, je suis mort » Figure dérivative Met en relation des mots appartenant à une même famille « Beauté, mon beau souci » (Malherbes)       Figures de construction affectant la forme de la phrase : Aposiopèse Simple interruption dans le déroulement syntaxique, marqué par les points de suspension Cf. Agnès dans l’Ecole des Femmes : « il m’a pris le… » Anacoluthe Rupture

Et la mer est amère, et l’amour est amer (Marbeuf) Polyptote Utilisation de plusieurs variantes flexionnelles du même mot « Je meurs, je suis mort » Figure dérivative Met en relation des mots appartenant à une même famille « Beauté, mon beau souci » (Malherbes)       Figures de construction affectant la forme de la phrase : Aposiopèse Simple interruption dans le déroulement syntaxique, marqué par les points de suspension Cf. Agnès dans l’Ecole des Femmes : « il m’a pris le… » Anacoluthe

sentiments factices. L’amant est prisonnier (métaphore) et souffre plus que tout autre (hyperbole), car il est blessé d’une flèche meurtrière (flèche de l’amour ou le regard de la dame). Puisque dans la douleur, il éprouve la joie de son amour, que la beauté de la dame (qui est lumière) le retire de sa prison (où règnent les ténèbres), les antithèses prolifèrent de plus en plus. Lyon est le foyer culturel le plus vivant du pays car la ville est en contact direct avec l’Italie, pays de la première Renaissance

“or”( le beau) grâce à son langage poétique dont la spécificité est de faire des alliances inhabituelles. Son œuvre intégrale fera de lui le précurseur du symbolisme et inspirera les poètes qui lui succèderont, tel qu’Arthur Rimbaud. Comment l’alchimie des mots permet-elle de transformer un objet blâmé en un sujet d’admiration ? Nous nous pencherons d’abord sur l’aspect rejeté de la boue, puis nous nous concentrerons sur l’alchimiste pour enfin traiter de la transfiguration en or. « Beauté! Mon beau

(rondeau, ballades) Trouvères (chanson de Roland avec une vielle), troubadours et trouvères = poèmes lyriques (blason) Clément Marot : poète fin du moyen-âge à la cours de François premier. Epigramme : Le dizain de neige  * XVI La pléiade  Souci de fonder une poésie nationale qui rivalise avec le prestige de l’antiquité ou de l’Italie. Formes à l’honneur : ode, hymne, sonnet. Poésie où le poète exprime ses sentiments personnels : amour, nostalgie, fuite du temps. 2 créateurs de la pléiade 

œuvre originale. On peut créer un art poétique en passant son temps à critiquer les autres auteurs. Par exemple Malherbes (Fin du 16ème siècle –est mort en 1628) est un des prometteurs de l’esthétique classique et a engagé une REFORME (de la poésie et du langage français) sans pourtant écrire aucun ouvrage poétique. On possède seulement un ouvrage d’un de ses prédécesseurs que Malherbes a rigoureusement annoté. Pour lui l’héritage de la Pléiade n’est pas à prendre dans sa totalité

Explication de texte "Beaux et grands bâtiments...", 1608, Sonnets, MALHERBE Beaux et grands bâtiments d'éternelle structure, Superbes de matière et d’ouvrages divers Où le plus digne Roy qui soit en l’Univers Aux miracles de l’art fait céder la Nature; Beau parc, et beaux jardins, qui dans votre clôture Avez toujours des fleurs et des ombrages verts, Non sans quelque démon qui défend aux hivers D’en effacer jamais l’agréable peinture; Lieux qui donnez aux coeurs tant d’aimables désirs

« comme des chairs d’enfant », « comme les hautbois », « comme les prairies, comme l’ambre »… Le Thème de la Nature idéale et la description de cette beauté qui enchante les sens(« les transports de l’esprit et des sens ») apportent une dimension poétique relative au sens même du poème : beauté de la vision (les couleurs…), des odeurs (parfums frais, doux), des sons…Tout cela s’associe en une parfaite harmonie : « profonde unité », « les parfums, les couleurs et les sons