Beaucoup de bruit pour rien

était que je n’aimais pas les études. La seconde fût que j’avais mal vécu la mort de mon oncle. La tierce… Il n’y en avait pas, dans le fond. Chaque jour, c’était plus de vingt paires de pompes que je cirais, le plus souvent c’était ces chaussures beaucoup trop chères qui vous serrent les pieds au point que le petit orteil vire au mauve. Celles qui, lorsque vous les retirez, vous procurent un réel soulagement. Je me postais là, chaque jour, au coin de la 73e rue et de l’avenue Colombus. Je croisais

nous marier, nous étions un couple dans la norme, on se chamailler pour rien, mais j’étais fou d'elle. Elle travaillait dans le Bistrot du coin, mais ce soir là elle était en congé, nous avions alors décider de rester au chaud. Au moment même ou je décida de rentrer parce que je frissonnais, histoire de me réchauffer, j'entendis un bruit étrange, alors je me précipitas dans la chambre en priant pour qu'Anne-Laure n'est rien, hélas, je la trouva par terre, baignant dans le sang, et la, je paniqua

beaux qui soit avec la musique et la danse. Elle est présente partout autour de nous, mais seul quelques illustres peuvent la voir et la comprendre. C'est aussi le fruit d'un long travail basé sur l'expérience personnel et les rêves, qui nécessite beaucoup d'inspiration, et une maitrise parfaite de la langue. Et si j'aime tout particulièrement cet art, c'est sans doute pour sa beauté et sa capacité à faire voyager au plus profond des rêves. J'ai choisi le thème de la fuite du temps car j'aime le fait

les étoiles et soudain dans le ciel près d’un arbre, il vu une boule de feu rouge. Il s’interrogea. Qu’-est-ce-que-c’est ? Un Soukounyan ! Tommy était angoissé et transpirait beaucoup. Il s’enferma dans sa chambre et priait pour qu’il ne lui arrive rien. Et c’est là qu’il entendit des bruits de chaine dehors, puis sur le toit. C’était le diable. Tommy sortit de sa chambre éteignit la télé, et entendit la sonnette résonner. Ding Dong ! Il tremblait, ses dents

s'appelait Cassandre et justement elle recherchait l’homme de sa vie mais elle avait toutefois des préférences pour l’homme qu’elle recherchait depuis une éternité. Il faut qu’il est une bonne carrure, avec des yeux subtil, bref elle avait encore beaucoup de caractéristiques qu’elle demande pour un homme. Cette femme était aimée mais ce n’était pas réciproque … C’était son voisin ! Mais malheureusement pour lui elle s’en moqué totalement, et ne le prenait pas du tout au sérieux car pour elle c’était

endormi d’un sommeil de fatigue, troublé bientôt par un bruit extraordinaire dans cette solitude ; enfin, à mon réveil, je me trouvais sur le théâtre même de ces vols et de ces assassinats qui, depuis deux mois, désolaient la Normandie ; je m’y trouvais seul, sans armes, et, comme je te le dis, dans une de ces dispositions d’esprit où les antécédents physique empêchent le moral engourdi de reprendre toute son énergie. Tu ne trouveras donc rien d’étonnant à ce que tous ces récits du coin du feu me revinssent

au désert, et depuis le succès du théâtre de Koltès ne s’est pas démenti. Si cette première pièce respecte le plus souvent les impératifs du théâtre classique, en revanche elle surprend par d’autres aspects: ainsi les didascalies prennent beaucoup d’importance et constituent en elle-même une sorte de texte tout à la fois symbolique et poétique. Elles marquent l’entrée dans un monde dont le réalisme n’est qu’une apparence. De quelle manière Koltès joue-t-il avec son lecteur dans cette première

CHAPITRE XXI C'est alors qu'apparut le renard: - Bonjour, dit le renard. - Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien. - Je suis là, dit la voix, sous le pommier. - Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien joli... - Je suis un renard, dit le renard. - Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste... - Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé. - Ah! pardon, fit le petit prince. Mais

d'Ognissanti. Pour qu'on ne pût découvrir qui il était, il sema le bruit qu'il avait quitté l'Espagne tout jeune encore pour se rendre en Syrie, et que c'était à Alep qu'il avait gagné tout ce qu'il possédait ; qu'il était parti de ce pays pour venir en Italie, afin de se marier dans une contrée plus humaine, plus civilisée, et plus conforme à sa manière de penser. Roderigo était un très-bel homme, qui paraissait âgé d'une trentaine d'années ; le bruit de ses richesses se répandit en peu de jours. Toutes ses

tous les points communs sont mentionnés par l’auteur : le mur et cette descente sont raides (« abrupt ») et brouillés (« confus, mêlé à la vapeur »). Egalement, à la ligne 14, nous trouvons « chuchotement du flot » qui est une personnification. Le bruit de l’eau est, comme un humain, en train de murmurer alors que nous savons qu’un liquide ne peut pas parler. L’auteur introduit un son faible et continu au fleuve. Enfin, à la ligne 24, nous notons le mot « ténèbres » dans une métaphore. Le comparé