Bancarisation Caisse épargne

……………………………... 2- L’entreprise publique :………………………………………. 3- Le secteur public :………...………………………………. 4- L’intérêt général :……………………………………………. Chapitre 2 : secteur financier et d’investissements :……………. Section I : la caisse de dépôt et de caisse :……………………...... 1. Le cadre juridique et l’organisation de la CDG ……….. 2. Mission et mode de fonctionnement :…………………... Section II : le fond d’équipement communal :............................... Introduction…………………………………………………………

indicateurs de liquidité et de sécurité ................................................................ 40 III. Les indicateurs de rentabilité : Vecteur de la solidité financière ........................... 42 IV. La marge de progression du taux de bancarisation ................................................. 47 V. Le risque du taux ........................................................................................................ 48 VI. Les sociétés de financement .............................

18 novembre 1959, la création d'un ensemble d'institutions financières de grande envergure : Bank Al Maghrib, la Banque Marocaine du Commerce Extérieur, la Banque Nationale pour le Développement Économique, la Caisse d'Épargne Nationale, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale et la Caisse de Dépôt et de Gestion. Plusieurs options se sont imposées au lendemain de l’indépendance, et notre économie a connu une chute des investissements et une aggravation de la fuite des capitaux. Devant cette situation

l'arrivée en force des sociétés de capital-investis-sement, il souligne aussi que « les entreprises marocaines n'en ont pas encore l'habitude et [que] le crédit bancaire reste leur mode de financement préféré ». Le patronat travaille en outre avec la Caisse centrale de garantie, une institution publique, pour qu'elle couvre une partie des risques et permette ainsi aux banques de prêter aux PME. S.B. « Il y a un fort engouement du capital-investissement pour l'Afrique. Notre groupe a été approché par

trois années d’épargne, la BSIC consent à accorder au client un prêt d’un montant égal au plus au double du montant total brut épargné à un taux de 7% . LES ENGAGEMENTS PAR SIGNATURE La banque intervient dans le financement des marchés publics à divers stades et accorde plusieurs types de concours : Ce sont essentiellement les engagements par caisse ou crédit par caisse ou les engagements par signature que sont les cautions et avals. Le crédit par signature est un crédit accordé par la banque

Monétaire Ouest Africaine 6 LA VIABILITE FINANCIERE DES INSTITUTIONS DE MICROFINANCE INTRODUCTION GENERALE 7 LA VIABILITE FINANCIERE DES INSTITUTIONS DE MICROFINANCE D’après les chiffres du cabinet français Sia-conseil, le taux de bancarisation au Maroc, en 2010 était de 47% dont 6% en zone rurale. Dans la zone de l’union économique et monétaire ouest africain (UEMOA)1, ce taux se tient à un niveau très faible : entre 3% et 7%. Ces chiffres révèlent que dans les pays en développement

été dit précédemment par une autorité monétaire centrale d’un pays. Entre ces deux secteurs, s’est développe un troisième secteur, celui des structures formelles décentralisées (SFD), dénommée ensuite .Institution de Micro finance. Tel que, les caisses locales implantées dans des localités pour distribuer des crédits a faibles montants et les mutuelles d’épargne-crédit qui avaient pour rôle de collecter l’épargne et l’octroi de crédit. La politique de répression financière poursuivie par les PED

) Ancien régime = pays en otarcie, pas de monnaie. 5.1 Le dévelloppement des moyens de paiment - Fonctions de la monnaie - moyen de mesure des prix/unité de compte -intermédiaire dans les échanges / Moyen de paiment - réserve de valeur (épargne, trésor) - Formes de monnaie au 19è siècle "évolution de la masse monétaire en france" Il existait 3 principaux types de monnaie de 1789 à 1910 - monnaie mettalique ( or et argent --> valeur en fonction du poid du métal) diminution générale

comptable remise par le client. Si le mouvement confié est inférieur au chiffre réalisé, demander des explications et s'inquiéter de la destination de la part non confiée. Y aurait-il une autre banque ? Si le client bénéficiait déjà d'un crédit par caisse, vérifier l'adéquation entre les utilisations et l'autorisation de crédit. Si l'encours utilisé dépasse le montant de l'autorisation, la cause doit être identifiée : - s'agit-il d'une évaluation inutile des besoins de crédit ? - est ce dû à

français. Dans ce total, aucun acteur n’est véritablement dominant, sept groupes se partagent environ les trois quarts des activités : le Crédit agricole-LCL, BNP Paribas, la Société générale, le Crédit mutuel-CIC, La Banque postale ainsi que les caisses d’épargne et le groupe des Banques populaires en cours de rapprochement. À l’échelle nationale, ces sept grands réseaux gèrent 80 % des 69 millions de comptes courants et des 145 millions de comptes à terme ou sur livret que l’on peut recenser