Balzac Le Médecin De Campagne

(septembre 1792), le droit égal à l'héritage (qui se faisait souvent au détriment des filles), l'abrogation de la puissance paternelle sur les majeures… 2) Un quotidien très dur pour les femmes Qu'ils soient hommes politiques, philosophes ou médecins, les hommes  réaffirment l’infériorité naturelle de la femme, mineure à vie, dont la place est naturellement au sein de la famille dominée par le mari. C'est la philosophie du Code napoléonien, aggravé par l'alliance entre l'Église et la Restauration

sensibilité plus prononcée à l’égard de la réalité sociale. Tout comme la pensée des lumière, c’est la France qui se fait en ce début de dix-neuvième siècle le précurseur d’une nouvelle façon de penser la société. On peut citer comme premier exemple H. de Balzac qui entreprend dès la fin du dix-huitième siècle une longue série de fictions qui introduisent le réalisme social dans la littérature et que l’auteur appellera en premier lieu « Etudes sociales » (avant de la nommée « la Comédie Humaine » pour ceux

justice,accusé « d’outrage à la morale publique et religeuse et aux bonnes moeurs ». A la fin il est innocenté parce que dans le roman il condamne la protagoniste avec sa mort. La protagoniste,Emma Bovary,est la jeune épouse de Charles Bovary,médecin de campagne. Elle a grandi dans un collège tenu par des religeuses où elle lisait les oeuvres romantiques et elle voulait vivre les mêmes aventures des romans qui l’avaient tant charmée. Mais elle se trouve à vivre dans la banalité de province de laquelle

Brunetière va reprendre le dogmatisme du XVIIème siècle. Il considère ce siècle comme le point de perfection atteint par la littérature dans un certain nombre de genre. Il attache de l’importance au plan moral de l’œuvre. Il va critiquer Zola, Balzac, Flaubert. Ce sont d’excellents peintres de la réalité palpable, des descriptions, des explorateurs de la réalité mais surtout, il va s’attaquer aux symbolistes : Rimbaud, Verlaine, Mallarmé qu’il qualifie d’héritiers corrompus, et Baudelaire de « mystificateur

une alphabétisation de la population. Il va également y avoir l’invention des romans feuilletons qui paraitront dans les journaux. Au XIX l’industrie du journal se développe, il va y avoir d’importantes diffusions de journaux en ville. Dans les campagnes, ce sont des colporteurs qui vendront des livres populaires. De 1789-1830 : époque du préromantisme. De 1830-1850 : monarchie bourgeoise. Romantisme De 1850-1870 : second empire. Réalisme De 1870-1914 : troisième république. Naturalisme, symbolisme

'' gars de la campagne ''. Il arrive d’un village aux confins du pays de Caux et de la Normandie où ses parents se sont retirés. Son père est un incapable qui n’a su qu’accumuler les échecs. Sa mère, aigrie, cherche à compenser ses déceptions par son amour pour son fils. Charles Bovary quitte le collège à la fin de la 3e pour étudier la médecine à Rouen. Très médiocre étudiant, il réussit cependant à passer l’examen d’officier de santé qui permettait à l’époque d’exercer la médecine sans avoir le

un " gars de la campagne ". Il arrive d'un village aux confins du pays de Caux et de la Normandie où ses parents se sont retirés. Son père est un incapable qui n'a su qu'accumuler les échecs. Sa mère, aigrie, cherche à compenser ses déceptions par son amour pour son fils. Charles Bovary quitte le collège à la fin de la 3e pour étudier la médecine à Rouen. Très médiocre étudiant, il réussit cependant à passer l'examen d'officier de santé qui permettait à l'époque d'exercer la médecine sans avoir le

diable au nom inintelligible ». Ce nouveau, Charles Bovary, était un « gars de la campagne ». Il arrivait d'un village aux confins du pays de Caux et de la Normandie où ses parents s’étaient retirés. Son père étaitt un incapable qui n'avait su qu'accumuler les échecs. Sa mère, aigrie, chercha à compenser ses déceptions par son amour pour son fils. Il quitta le collège à la fin de la troisième pour étudier la médecine à Rouen. Très médiocre étudiant, il échoua une première fois à l'examen et ne réussit

l’industrialisation, les conflits entre les grandes puissances européennes et la colonisation. Le XIXème siècle est l’âge d’or de la littérature française. Les écrivains célèbres se bousculent dans ce siècle tels que Hugo, Baudelaire, Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Musset pour ne citer qu’eux. Bien qu’ils fassent pas tous partie d’un courant littéraire, ce siècle en a vu plusieurs apparaître. On peut sortir quatre courant différents : Le romantisme, le réalisme, le naturalisme

produit, en une centaine d’années, la meilleure cuisine du monde occidental, « sténographiée » - autre exception culturelle, nous dit Dominique Jamet, ancien directeur de la Bibliothèque Nationale de France - par les meilleurs écrivains du 19è siècle : Balzac, Flaubert, Maupassant, Zola et les Goncourt. Ces deux derniers écrivains dits "réalistes" font également apparaître le phénomène capital de l'apparition de la banlieue ouvrière, et des lieux de plaisir d'une capitale de deux millions d'habitants,