Balzac Enjeux Littéraires

la liberté imprégnée au mouvement des nouvelles écritures, engendre la création du roman nouveau. Avec ce renouvellement, il y a un foisonnement de courants littéraires notamment le romantisme, le réalisme, le naturalisme qui s’évertuent à exprimer le besoin de justice et d’égalité de la population. Les auteurs de ces courants littéraires fondent leur esthétique tant sur leur imagination débordante centrée sur le moi que sur une observation minutieuse de la réalité. A cette époque donc le roman

publiées dans Charlie Hebdo. Et c’est en France, où la liberté d’expression est bien plus encadrée par la loi que ne le croient les Français eux-mêmes, que l’hebdomadaire satirique déploie son style, et trouve au moins momentanément son public. Trois enjeux Il convient donc de cadrer cette problématique des limites par la réaffirmation préalable des vertus intrinsèques de la liberté d’expression. Il y a en premier lieu la dimension économique et scientifique, et son corollaire, l’idée même du progrès

intéressante bien au-delà, même lorsque l’on ne peut pas parler de création. Les brouillons des écrivains, par exemple sont des formes de réécritures mais ne correspondent pas réellement à de la création. Des auteurs tels que Montaigne au XVIe ou Balzac au XIXe peuvent continuer de réécrire leurs ouvrages une dizaine de fois sans en être définitivement satisfaits. Ou encore, certains réalistes ou naturalistes comme Zola travaillent au perfectionnement d’un roman à partir tout d’abord d’observations

d’un certain rythme de travail que commandait la pratique de la classe, et qui était déterminé par autre chose que la seule périodicité des entraînements : la progression dans le déchiffrement patient des textes, et la nécessité de mieux définir des enjeux, d’accompagner et de rectifier la mise en perspective des phénomènes. Ce qui est d’abord à lire en filigrane derrière ces exercices, c’est donc l’intimité conquise de haute lutte avec les œuvres au programme, et certainement pas l’application d’un

Todorov dans le corpus des romans du XVIIIe siècle, défi que personne n’avait jusque là « sérieusement relevé » (p. 231), il se présente également, plus fondamentalement, comme une tentative pour en ressaisir l’enjeu : la question de la mimesis littéraire. À la mimesis classique inspirée d’Aristote, qui repose sur l’imitation par le texte d’une réalité, le roman du XVIIIe siècle substitue une autre mimesis, uniquement textuelle : le texte se présente comme la reproduction d’un autre texte, qu’on

|Objets d’étude : |9 - « Mais de tout ce que renfermait cette enceinte [...] en vous |Œuvre intégrale : | |Un mouvement littéraire : les Lumières |exerçant aux bienfaits. » |Voltaire, Candide, 1759 | |Le roman et ses personnages : visions

compléter éventuellement) 3ème Séquence : Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, 1788 Lectures analytiques : Œuvre intégrale, édition au choix Lectures cursives Documents complémentaires Objets d’étude : Un mouvement littéraire : les Lumières Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde L’argumentation : convaincre, délibérer, persuader Problématique : L’utopie comme outil critique Etudes transversales et thématiques : - L’espace - Un roman

définissait dan Poisson soluble. Il n'est pas exagéré d'avancer que chaque discipline a le sien: imaginaire des littéraires, des historiens, des sociologues, des psychanalystes . . . Les comparatistes peuvent-ils prétendre avoir le leur? Formulée en ces termes, la question est oiseuse ou ridicule . Mais il semble bon de réfléchir sur ce que peuvent être la nature, les contours et les enjeux d'un imaginaire «comparatiste» . Celuici ne peut de prime abord procéder que de ces «images», de l'imagologie

peut faire l’économie de sa dimension argumentative. Sans doute, toute prise de parole n’est-elle pas destinée à entraîner l’adhésion de l’auditoire à une thèse (Perelman et Olbrechts-Tyteca 1970 [1958]). De la conversation courante aux textes littéraires, nombreux sont les discours qui n’ont pas de visée argumentative, dans le sens où ils ne véhiculent aucune intention de persuader et n’entendent pas rallier l’allocutaire à une position clairement définie par des stratégies programmées. Cependant

Etats-Unis, Walt Disney compose des films de dessins animés en utilisant comme scénario des contes, par exemple Cendrillon de Charles Perrault, Blanche-Neige et les sept nains de Grimm. De même, des metteurs en scène ont pu adapter d'autres œuvres littéraires qui existaient déjà, indépendamment du cinéma : la splendeur des tragédies de Shakespeare a tenté un Laurence Olivier, qui porta au cinéma Hamlet, Henri V, Richard III, tout comme elle tourmenta Orson Welles qui s'est emparé de Macbeth et à'Othello