Autrui Me Voit Comme Je Suis

La conscience comme condition de la liberté. 1) Qu’est-ce que la conscience ? Conscience : cum (accompagné) + scientia (savoir) Deux niveaux : conscience immédiate ou spontanée : simple présence de l’homme à lui même (instinct conscient) conscience réfléchie élaborée : faire un retour sur ses sentiments, ses actes et les juger => prévoir la portée de ses actes La conscience fait de l’homme un sujet à part entière, capable de penser le monde qui l’entoure. Elle est liée aux jugements d’une

|et si on admet que, lorsqu’on |disfonctionnement de la comm. |comment fonctionne-t-elle ? | |information ; code |existe des obstacles. |souffrent. (6) |entre en relation avec autrui, |Retour sur le passé : une femme |–différentes sortes de comm., | |non-verbal : sert à établir |Autrefois on n’éprouvait pas le |On a peur de celui qui souffre de troubles |notre comportement signifie |souffrant, et son mari

semblables malgré les différences culturelles. Par sa culture, l’homme devient une sorte de construction élaborée à partir de règles morales imprimées par l’extérieur. Tel un joueur, il affronte la situation avec plus ou moins d’honneur et de diplomatie : comme dans un jeu de cartes, la valeur d’une main vaut moins que l’habileté de celui qui la joue. Les scènes de la vie quotidienne sont ainsi analysées, les cultures occidentales, asiatiques sont comparées, les références scientifiques sont précisées.

préférable d'obéir à la nature. Par ailleurs, si le désir ne peut jamais être comblé, il n'y a aucun sens à essayer de combler l'impossible. Si raisonnable est conforme à la raison et qu'on le voit le désir comme un mouvement vers ce qui pourrait combler le vide vécu comme un manque à combler et l'homme comme un être de raison qui doit mener une vie en accord avec sa raison on peut donc penser que renoncer à ses désirs, c'est renoncer à l'insatisfaction et a la souffrance qui les accompagnent. Le désir

déterminant une seule des options comme choisie. Ainsi la sélection de l’une de ces options apporte une solution au problème du choix, c’est-à-dire à la difficulté de choisir. La décision se détermine donc comme la production active d’un choix lors de la confrontation à un problème dans le but de le résoudre. Par conséquent, la décision en supprimant l’indétermination, semble être l’aboutissement à une solution optimale : la préférence d’une seule option, considérée donc comme la plus satisfaisante. A ce

pas pour un accusé, encore moins pour un coupable. Il ne comprend pas de quoi on l’accuse, et avant même la visite de son avocat il ne se doute pas une seconde que la mort de sa mère pourrait jouer un si grand rôle durant son procès. Cette idée se voit renforcée par le refus net de Meursault d’exprimer sa psychologie intérieure, alors qu’il se révélera pour tout ce qui est concret et tangible d’une maniaquerie et d’une précision confondante : il procède par exemple au compte rendu méthodique de toutes

chose de nouveau, elle est souvent réservée au registre humain comme dans l’exemple de l’action politique. Cette dernière vise à abolir ou à modifier les rapports humains, à inverser les rapports de force, à en instaurer de nouveaux. La parole serait-elle à ce point passive qu’elle s’avèrerait incapable d’engendrer quoi que ce soit ? L’opposition semble aller de soi dans la mesure où l’élément principal de la parole, le mot, se définit comme un signe dont la vocation est de renvoyer à des idées préexistantes

Axe sur le jugement : I. Autour du mot: Le témoignage - Le témoignage rapporte ce qui a été vu, entendu, perçu: il est donc ordonné à l'image, au reflet du sensible et aux vicissitudes du corps. Le témoignage en appelle à autrui parce que l'intelligible doute du sensible toujours particulier, toujours partiel et le plus souvent partial. Voilà pourquoi le témoignage en appelle à la comparaison avec d'autres témoignages: en lui c'est le sensible qui se faufile. - Dans le jugement au contraire

nos efforts, la liberté ne paraît pas pouvoir s’incarner. L’homme semble condamné à la servitude. La liberté ne paraît pouvoir être pour lui qu’un rêve irréalisable. En effet, qu’est-ce que la liberté? Le fait de pouvoir faire ce que l’on veut, comme on le veut, quand on le veut. Voilà ce que dirait le bon sens. On pourrait aussi répondre : être libre, c’est ne rencontrer, ne subir aucune contrainte. Or, ne rencontrer aucune contrainte, est-ce possible ? Est-ce en notre pouvoir ? Certainement pas

est avant tout une fonction de communication. Echanger, c’est donner et recevoir, offrir, moyennant contrepartie, des biens, des personnes ou des signes (car la parole constitue également un échange). Les échanges nécéssitent des qualités morales comme l'honneteté de juste prix, l'équilibre afin de ne pas tomber dans un rapport de force ou encore la justice dans les échanges car chaque bien n'a pas la même équivalence. Or, pour bien comprendre l’échange, il est absolument nécessaire de l’intégrer