Autrui Est Il Limite Ou Condition De Ma Liberté

regarde de l’extérieur, i.e. comme me regarde autrui. Or, le regard d’autrui me transforme en objet. Autrui me réduit à une détermination présente, car ignorant la dimension du projet, ignorant la globalité de ma personne, m’identifiant à un seul trait de caractère : ex de la honte. Pb de la stigmatisation. Autrui me fige dans le passé. Autrui est aussi celui qui me révèle à moi-même : qui me voit d’un autre point de vue, d’une autre perspective. Autrui peut m’aider à surmonter la mauvaise foi. Rôle

« La liberté des opinions ne peut être sans limites. Je vois qu'on la revendique comme un droit tantôt pour une propagande, tantôt pour une autre. Or, on comprend pourtant bien qu'il n'y a pas de droit sans limites; cela n'est pas possible, à moins que l'on ne se place dans l'état de liberté et de guerre, où l'on peut bien dire que l'on se donne tous les droits, mais où, aussi, l'on ne possède que ceux que l'on peut maintenir par sa propre force. Mais dès que l'on fait société avec d'autres, les

Le principe responsabilité de Hans Jonas et la responsabilité socialeUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LE PRINCIPE RESPONSABILITÉ DE HANS JONAS ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTlELLE DE LA MAÎTRlSE EN PHILOSOPHIE PAR FANCHON SOPHIE BÉRUBÉ FÉVRIER 2007 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé le formulaire Autorisation de reproduire

la manipulation…Notre univers médiatique n’utilise-t-il pas, n’abuse-t-il pas de cette possibilité, en monopolisant l’information, par la publicité etc ? De manière cachée et insidieuse, le langage n’est-il pas surtout un outil de domination sur autrui et sur les consciences en général ? Parler, n’est-ce qu’un prolongement plus secret du rapport de force entre les hommes ? Nous verrons d’abord que les fonctions du langage semblent bien être l’expression, l’information et la communication et que

laquelle la liberté consisterait dans une absence totale de contrainte et affirme que la contrainte exercée par la loi est nécessaire afin de garantir la liberté. Mais comment comprendre, alors, que l'on puisse en même temps être libre et soumis aux lois ? C'est la notion même de liberté qu'il faut interroger : être libre, est-ce pouvoir faire tout ce qur l'on veut, contrairement à ce qu'affirme Locke ? [La liberté comme pouvoir de faire ce qu'on veut] [A. La loi, contrainte formelle, limite la liberté]

Introduction : Nous nous sommes toujours posé des questions sur la liberté, ce qu’elle signifie, et ce que cela représente, sans jamais avoir de réponses concrètes. La définition la plus simple que l’on puisse y donner c’est de faire ce que l’on veut, et d’agir que par notre volonté. Depuis plusieurs siècles, chaque individu appartient à un peuple qui sous plusieurs angles différents est dirigé en quelque sorte par un Etat, un roi, ou toutes autres formes de pouvoir. Un Etat par définition est une

nature, c'est donc plutôt une manière de gagner sa liberté en se libérant de son ignorance. Donc sans loi et sans règles, l'homme serait-il vraiment libre ? L'obéissance aux lois implique-t-elle nécessairement que l'on perde notre liberté ? Nous tenterons, tout d'abord, d’étudier ce que signifie vraiment " liberté ". Puis nous tâcherons de montrer si l'obéissance aux lois implique ou non un renoncement à sa liberté. Dans le langage courant, la liberté renvoie au pouvoir que possède tout homme de n’obéir

la formation des contrats : la liberté contractuelle et le consensualisme. La liberté contractuelle comporte trois aspects qui sont : · la liberté de contracter ou de ne pas contracter, · la liberté de choisir son cocontractant, · celle de choisir les clauses de son contrat. Le consensualisme est un principe selon lequel le contrat étant formé par la seule rencontre des volontés, l’écrit n’est pas nécessaire à la formation du contrat. b) Les limites à la liberté contractuelle 1. L’ordre Public

: certaines personnes sont capables, après avoir vu une seule fois un document, de s’en rappeler parfaitement. Mémoire immédiate/à court terme : capacité à se rappeler de ce qui vient de se produire, pas gardé en mémoire longtemps. Présent : limite entre passé et avenir, instant infime qui sépare passé et avenir. Réunion du passé immédiat et du futur imminent. Avenir : caractère subjectif, personnel. Futur : terme neutre, hypothèse, parait loin dans le temps. Freud ; le ça : il est

815 C. civ. : « Nul ne peut être contraint à demeurer dans l’indivision et le partage peut toujours être provoqué, à moins qu’il n'y ait été sursis par jugement ou convention ». - Art. 1382 C. civ. : « Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer ». - Art. 1832 C. civ. : « La société est instituée par deux ou plusieurs personnes qui conviennent par un contrat d’affecter à une entreprise commune des biens ou leur industrie