Autrui Ambivalence Des Relations Humaines

nouvelles maladies et de nouveaux traitementsLa disparition de la variole : le vaccin Les vachers anglais étaient réfractaires à la variole humaine, on expliqua ce phénomène par le fait que la transmission de la variole bovine lors de la traite les protégeait. Un médecin anglais décida d’inoculer la variole bovine aux humains pour les protéger de la variole humaine, Entre le 18eme et le 19eme siècle, les médecins réclament l’obligation de subir cette vaccination, on évoque le fait que tous les individus

travail autour d'un bureau alors que celle ci sera rendue beaucoup plus difficile pour une personne atteinte de bégaiement. Il faudra également tenir compte du "foyer apparent" du stigmate : trouble-t-il les relations dans quelques situations précises ou remet il en cause l'ensemble des relations de l'individu ? Ainsi le fait d' être amputé d'un doigt ne sera gênant que pour des interactions précises alors qu' une extrême laideur remet en cause l'ensemble des interactions. Le stigmate peut aussi être

méthode sociologique, Plon, 1965. 2. É. Durkheim, Les Règles de la méthode sociologique, Puf, 17e édition, 1968. 3. H. S. Becker, Outsiders, éd. Métailler, 1985. 4. A. Coulon, L’École de Chicago, Puf, 1992. 5. Robert Murphy, Vivre à corps perdu, Terre humaine, Plon, 1990. DEES 107 / MARS 1997 . 53 LA NOTION DE STIGMATISATION Pour Gofmann, le stigmate correspond à toute caractéristique propre à l’individu qui, si elle est connue, le discrédite aux yeux des autres ou le fait passer pour une personne

n’est pas la reprise de celle de Husserl, car elle accepte l’attitude transcendantale sans sujet transcendantal pur, le moi percevant et philosophant ne peut oublier son ancrage au monde, il demeure un « égo-homme », un « corps propre », un sujet humain. L’égo-pur serait une perfection toujours visée mais jamais atteint, la réduction phénoménologique n’est jamais complète. L’idée de philosophie est celle qui prône l’éloge de la philosophie, la pertinence de la philosophie parmi les sciences enseignées

présente comme un pur moyen. Un marteau, par exemple, n’est ni bon ni mauvais : tout dépend de l’usage (bon ou mauvais) que l’on en fait (construire une maison ou crucifier un homme). En tant que pur moyen, qui facilite la réalisation de la volonté humaine, il peut sembler bon « en soi ». Mais, en vérité, cette possibilité d’utiliser la technique à des fins radicalement différentes (produire des médicaments ou produire des armes) la rend foncièrement ambivalente. De plus, on pourrait critiquer cette

y a deux catégories juridiques de personnes : • Les personnes physiques (l’être humain) • La personne morale (c’est un groupement qui a une vie juridique calquée sur celle de la personne physique par une sorte d’anthropomorphisme juridique) TITRE 1er : LES PERSONNES PHYSIQUES A priori la personne physique considérée par le droit c’est tout être humain vivant, ce qui limitera la réflexion à la personne humaine uniquement, on va donc exclure l’animal de la réflexion sur les personnes. Cependant

fois une structure inégalitaire et un système de rapports sociaux qui unissent et séparent les individus. Comment les définir ? 3. Pourquoi les sociétés tiennent-elles ? Les sociétés sont des ensembles organisés dans lesquels s’exercent des relations de pouvoir reposant sur des formes de domination plus ou moins légitimes. Comment fonctionnent les organisations ? 4. Pourquoi des individus singuliers et « libres » forment-ils une société ? Les sociétés sont composées par des individus agissant

avant ? :- l’homme appartenant à un cosmos (= monde ordonné et harmonieux où chaque chose a une place/sens), l’homme est malheureux tant qu’il n’a pas trouvé sa place dans ce « tout ».- le sage : celui qui a compris ce monde (spécialiste de la nature humaine, intellectuellement supérieur), il vit en harmonie, goûte au bonheur qui dure une éternité (= il échappe au temps). Tout le monde n’est pas sage donc il donne des conseils. Le sage n’a pas peur de la mort (= LE signe de sagesse). - ≠ fou : il vit

sur la brutalit du personnage travers les termes brutalement et laccumulation de participes prsents heurtant (), poussant. Le complment circonstanciel de but pour ne point se dranger de sa route est rvlateur de son manque absolu de considration pour autrui mais il a aussi une vocation symbolique et programmatique dans le reste du roman, on verra comment, pour arriver satisfaire son ambition, Duroy se proccupera peu des dgts quil provoque. -Cette ambition et cette arrogance sont dj audibles dans le

ne s’en étonne pas… II. — Un puissant symbole. Un motif ambigu. La porte est un objet ambivalent : elle est à la fois ce qui ferme et ce qui ouvre, et Franz Kafka joue admirablement de cette ambivalence. Du côté de l’ouverture, la porte représente le contact avec autrui, l’espoir d’autre chose, la promesse d’autres mondes, voire le chemin d’une révélation (c’est exactement ce que cherche l'homme qui attend devant les portes de la Loi, attiré par « la lumière qui brille »)