Autorité Paternelle Au 17 ème Siècle

la repousser et lui ordonnent de s'approcher d'un autre humain, d'un voisin plus vieux, plus paresseux, certainement plus libertin, voire d'un puissant, sinon d'un plus riche. e Dans l'Entlebuch, les gestes de piété sont restés baroques jusqu’au XX siècle, notamment en raison de l'affirmation d'une lutte confessionnelle tumultueuse avec le reste de l’Emmenthal, passé lui, à la Réforme bernoise. La survivance en est visible dans les ossuaires sauvegardés, mais aussi parmi les ex-votos, dans les costumes

Méditerranée, [c’est] plonger au plus profond des siècles [...] « rencontrer de très vieilles choses, encore vivantes, qui côtoient l’ultra-moderne » ; […] ainsi la Méditerranée est-elle » dans toute la force du terme un espace-mouvement »1. Dans le même ordre d’idées, l’historien Laroui remarque à propos des délimitations du Maghreb que ce terme ne peut avoir « qu’une signification essentiellement historique et dynamique »2. Ce à quoi fait écho, à six siècles de distance, Ibn Khaldoun dans Al Muqaddima

activités/sous-système au sein de l’orga, peut prendre plusieurs dimension (verticale : grand nombre de niveaux ; horizontale : beaucoup de services ; spatiale : beaucoup de lieux) Centralisation : où se trouve pouvoir de décision, niveaux hiérarchique qui a autorité pour prendre décision Professionnalisation : niveau d’instruction formelle de formation et d’apprentissage des salariés Métaphores et images : Machine : image mécanique (dominante venant de Taylor/Fayol…) véhiculée par ingénieur. Correspond aux

auraient ajouté foi en l’assurance d’un gain facile, car La mer promet monts et merveilles. Mais son échec s’explique aussi par sa légèreté : il a pris des risques inutiles dans la mesure où il ne s’est pas assuré. Nous savons en effet que dès le XIVè siècle des mécanismes d’assurance couvraient les risques encourus par le commerce au long cours. Sa cindynophilie initiale s’est ainsi muée en cindynophobie. Certes il refuse de succomber une deuxième fois à la tentation, mais ce n’est pas pour autant

efficace qui existe, ce sont les refuges. Malheureusement, la milice criminelle aux affaires des mineurs fonctionnait selon le principe « post factum » du crime. On a l’impression que le modèle de ce principe a été transporté des années vingt du XX siècle. Aucunes mesures préventives, que des mesures pénales. En 2000, la milice criminelle aux affaires des mineurs est réduite. En 2007, elle renaît sous le nom de la milice Criminelle aux affaires des enfants (la milice "d'enfant"), qui s'occupe essentiellement

refuges restent un système efficace Malheureusement, la milice criminelle aux affaires des mineurs fonctionnait selon le principe « post factum » du crime. On a l’impression que le modèle de ce principe a importé depuis les années vingt du XXe siècle. Aucunes mesures préventives, que des mesures pénales. En 2000, la milice criminelle aux affaires des mineurs est réduite. En 2007, elle renaît sous le nom de la milice Criminelle aux affaires des enfants (la milice "d'enfant"), qui s'occupe

  M.  de  Camors  de  M.  Feuillet  et  Germinal  de  M.  Zola  ?  Laquelle  de  ces  œuvres  est  un  roman  ?  Quelles  sont  ces  fameuses  règles  ?  D'où  viennent­elles  ?  Qui  les  a  établies  ?  En  vertu  de  quel  principe, de quelle autorité et de quels raisonnements ?  Il  semble  cependant  que  ces  critiques  savent  d'une  façon  certaine,  indubitable, ce qui constitue un roman et ce qui le distingue d'un autre,  qui n'en  est pas un. Cela  signifie tout  simplement, que,  sans 

pas distingués l’un de l’autre. Ce sont les Romains qui séparèrent les règles “ données ” par les dieux (fas = fatum = destin) des règles définies par les hommes (jus). Le droit était né. En fait les plus grands philosophes, notamment au 18ème siècle, se sont penchés sur cette distinction. En synthèse, quelles sont les différences évidentes et objectives entre ces deux chapitres capitaux de notre comportement en société ? Très vite, apparaîtra la notion de contrainte, de punition en ce qui

ce qu’on appelle la conquête du pouvoir étatique, l’exercice de ce pouvoir, le maintient au pouvoir et éventuellement sa perte. Il faut distinguer le pouvoir proprement politique (que nous étudierons) et d’autres formes de pouvoir (ex : pouvoir paternel, pouvoir marital, mais aussi pouvoir économique ou culturel, etc…) On distingue dans l’étude du pouvoir politique deux catégories d’acteurs : - Les gens qui sont directement engagés ou intéressés dans la conquête et l’exercice du pouvoir :

 / M. Bira Lô NIANG / M. Daly SENE / BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE POUR LE SECOND SEMESTRE Annick BATTEUR, Droit des personnes et de la famille, LGDJ, 2009. Rémy CABRILLAC, Marie­Anne FRISON­ROCHE, Thierry REVET, Libertés et droits fondamentaux, 16 ème éd., Dalloz, 2010. Jean CARBONNIER. Droit civil. t. 2. La famille, l’enfant, le couple. 21éme éd. Refondue. Paris : PUF, 2002. Gérard CORNU, Droit civil ­ Les personnes, Montchrestien, 13e éd. 2007. Patrick COURBE, Droit civil. Les personnes, la famille