Autorité Parentale Dans Les Relations Sociales

la famille et ce, en ces termes. «  Chacun connait souvent le caractère très idéologique du débat opposant de façon récurrente, d’un côté une interprétation des changements comme crise de la famille, indice et facteur d’une décadence morale et sociale, et de l’autre, une interprétation symétrique de la même évolution comme progrès des valeurs de liberté individuelle, d’authenticité et d’égalité. Prise entre ces deux pôles, l’opinion parvient d’autant moins à s’y retrouver, que la plupart de nos

disposition d'un patrimoine collectif ou social à une seule personne qui n'existe pas. Ainsi, des personnes physiques ou d'autres personnes morales sont mandatées pour constituer l'organe de gestion et de disposition de son patrimoine. Il existe ainsi deux types de personnes morales : la personne moral de droit public et la personne moral de droit privé. Les premières sont les institutions publiques d'intérêt général et nécessaires au fonctionnement de la vie sociale. Les secondes comprennent les associations

largement autorisé mais selon des règles. * Le code civil de 1804 : Autorité du mari, le divorce est autorisé mais dans des conditions strictes. La femme est, elle, frappée d’incapacité dans la gestion des biens et dans les choix d’éducation. * Depuis 1965 : Des lois ont fait évoluer la famille : 1965 : égalité des époux et réformes des régimes matrimoniaux 1970 : autorité paternelle se transforme en autorité parentale 1975 & 2004 : assouplissement du divorce. * AUJOURD’HUI L’enfant

la désapprobation sociale, alors qu'en d'autres circonstances, c'est la société dans son ensemble qui n'apporte pas à la loi le soutien nécessaire à son application. Le sort de la prohibition de l'alcool aux États-Unis, les nouveaux enjeux relatifs à la protection de l'environnement et l'attention accrue portée depuis une décennie à la violence faite aux femmes et aux enfants sont, de façon différente, des exemples de ces relations complexes entre le droit et les valeurs sociales. La notion de ce

d'origine. Quels sont les conséquences de l'adoption plénière ? D'abord, l'enfant est considéré comme un enfant issu du mariage du couple qui l'adopte. Il a donc les mêmes droits et les mêmes obligations qu'un enfant légitime (succession, autorité parentale, etc.). Ensuite, l'enfant prend le nom du mari (si ce sont deux époux qui l'adoptent) ou le nom de l'adoptant (si c'est une seule personne qui l'adopte). Enfin, l'enfant n'a plus aucun lien avec sa famille par le sang (les parents qui l'ont

territoire français. Si un ou une homosexuel (le) parvient à adopter en ne faisant pas état de son orientation sexuelle et de l’existence d’une compagne ou d’un compagnon, son conjoint n’aura aucune autorité parentale sur les enfants aux yeux de la loi. Toutefois un avant-projet de loi « relatif à l’autorité parentale et aux droits des tiers » est né en 2009. Il s’agit de e que l’on pourrait appeler « le statut du beau-parent ». Cet avant-projet de loi inclut les familles homoparentales, ce pour quoi se sont

sanitaire, social et humain De toutes les violences, les violences envers les enfants sont certainement les plus cachées. La loi du silence y règne en maître. Et c'est particulièrement vrai pour les maltraitances, c'est à dire les violences subies par des enfants alors qu'ils sont sous la garde d'une personne de confiance ou dont ils dépendent, comme un parent, un frère ou une sœur plus âgé, un autre membre de la famille, une nourrice, un baby-sitter, ou par une personne ayant une autorité sur l'enfant

I-Présentation du contexte institutionnel L’intervention sociale d’intérêt collectif exposée est issue de mon stage de deuxième année effectué de septembre 2010 à avril 2011 au sein d’un service social départemental implanté dans une commune de plus de 15 000 habitants. Le SSD est un service du Conseil général caractérisé par la polyvalence de ses missions et la diversité des problématiques et des publics rencontrés. Depuis les lois de décentralisation de 1982, 1983, 1986 et 2004 visant à renforcer

    LES LIENS SOCIAUX INVISIBLES      Introduction :     Il  est  impératif de commencer par définir ce qu’est un lien  social : le lien social désigne  l'ensemble  des  relations  qui  unissent  des  individus  faisant  partie  d'un  même  groupe   social  et/ou qui établissent des règles sociales entre individus ou groupes sociaux différents.    Comment  la  société  est­elle possible ? Comment la vie sociale  ne débouche­t­elle pas  sur  «  une  guerre  de  chacun  contre  chacun  »  ?  selon 

adoption,…..). On le qualifie d’objectif car il est défini par son objet, c’est à dire l’organisation de la vie sociale. - les droits : conçus comme des prérogatives qui en résulte. On les appelle les droits subjectifs car ils sont envisagés par leur sujet (exemple : droit du travail). 1) le droit (objectif) Il désigne l’ensemble des règles qui régissent les relations de personne vivant en société. A) la règle de droit C’est une règle de conduite humaine à l’observation