Arts libéraux

"belles-lettres" (les lettres et les humanités par rapport aux sciences qui s'autonomisent) : a) c'est l'art de l'expression intellectuelle (éloquence, poésie); b) c'est l'art d'écrire des oeuvres qui durent; c) c'est l'art d'écrire par rapport aux autres arts; d) c'est l'art d'écrire par rapport aux autres techniques d'écriture (théologie, philosophie, science, etc.). D'une part, c'est une activité (une existence technique); d'autre part, c'est un être (une essence esthétique) plutôt qu'un état (la condition

ecclésiastique (abbaye, cathédrale, paroisses) doit entretenir une école. Au XIème s (1079), le pape Grégoire VII rejoint à chaque évêque d’entretenir une école où seront enseignées les arts littéraires. Les programmes sont des programmes qui concilient la culture antique et le christianisme. Les 7 arts libéraux : Trivium et quadrivium Trivium : grammaire, rhétorique et la dialectique Quadrivium : sciences (arithmétique, géométrie, astronomie, musique). Toutes les écoles vont être sous le contrôle

de s'implanter en Italie (comme un peu partout en Occident de-puis l'effondrement de l'Empire romain). Théodoric le Grand (455-526), roi des Ostrogoths, entend se poser en digne héritier de la civilisation romaine, en protégeant les lettres et les arts, en imposant le droit romain et en s'entourant de conseillers latins, notamment, Boèce et Cassiodore. Boèce est l'un des derniers intellectuels classiques de l'antiquité, c'est-à-dire intégrant les deux cultures, latine et grecque. L'époque voit en

Orientales. Cet enseignement permet de donner une valeur scientifique à cet art et en limite l’accès au charlatan. Le médecin doit être un homme érudit que doit savoir lire, comprendre et commenter les textes. L’art médical ne fait pas parti des sept arts libéraux mais est considéré comme un art mécanique «  c'est-à-dire comme une activité humaine orienté vers l’utilité et la pratique ». Cette une discipline qui est perçu comme étant très proche de la philosophie, pour Isidore de Séville (560 – 636), la

de ce grand mouvement de renaissance appelé âge d'or de la civilisation arabo-musulmane. Article détaillé : Civilisation islamique. voir aussi L'age d'or des sciences arabes. Saint Bède le Vénérable au VIIIe siècle développa en occident les arts libéraux (trivium et quadrivium). Il établit les règles du comput pour le calcul des fêtes mobiles, et pour le calcul du temps, qui nécessitaient des éléments d'astronomie. D'autres éléments furent introduits en occident par l'intermédiaire de Gerbert

ETUDE DE CAS : PARIS, ESSOR D’UNE CAPITALE 1. L’essor urbain à partir du XIIème siècle. 1) L'essor de Paris se traduit dans l'espace par l'extension de la ville au-delà des fortifications. Ily a des hôpitaux et des abbayes au-delà de celles-ci, par exemple, le bourg de Saint Germain ainsi que le musée du Louvre ont été construit derrière les remparts. 2) Les causes qui peuvent expliquéesl’attractivité de Paris sont : Les Halles parisiennes sur la rive droite où règnent de nombreux commerces

I) Un bouleversement de la hiérarchie des charges. A) La faiblesse de la papauté B) La vacance de la dignité impériale en orient. II) La royauté franque (carolingienne), rempart de la chrétienté. A) La dignité royale octroyée par le christ surpassant les deux autres. B) La mission divine de Charlemagne.  À travers cette lettre datant de juin799, alcuin va diffuser son idéologie. Ce dernier est un moine (clerc) anglo-saxon . Conseiller de charlemagne .  expose donc, ici, la conception

différente des signes linguistiques. On peut donc faire de l’art une autre forme de langage. L’art en tant que transformation matérielle et donation de forme a beaucoup à voir avec la technique. Cependant, depuis que l’on a distingué les Beaux-Arts ou arts libéraux des arts mécaniques, on a voulu limiter le domaine de l’art à la recherche esthétique comme moyen d’expression de l’humain. Enfin, cette définition très relative est à nouveau remise en question par l’art contemporain qui s’emploie à déconstruire

En conséquence des divergences sur la définition de l’art et aux difficultés à l’aborder dans sa globalité, les querelles sur la classification des arts ou sur la comparaison (le paragone italien) des arts1 sont une « figure imposée » de l’histoire de l’art et de l’esthétique (comme la querelle des Anciens et des Modernes en littérature). Les termes alors retenus nous renseignent au moins autant sur ceux qui les énoncent (Quand ? Où ? Dans quelle perspective ? Contexte ?) que sur les œuvres qu’ils

deux catégories depuis la période carolingienne : Les arts libéraux, disciplines considérées comme intellectuelles. Comprend le trivium : concentre trois arts liés à l’usage de la langue, la grammaire (art de bien écrire), la logique (art de bien penser), la rhétorique (art de bien parler). Comprend également les disciplines liées à l’usage des nombres : l’arithmétique, la géométrie, l’astronomie, la musique. La particularité des arts libéraux sont qu’il s’agit de toutes les disciplines qui sont