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Antigone (Anouilh) Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Antigone. Antigone est une pièce en un acte de Jean Anouilh représentée pour la première fois dans une mise en scène, des décors et des costumes d'André Barsacq au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944, en pleine Occupation allemande. Elle fait partie des Nouvelles pièces noires avec Jézabel (1932), Roméo et Jeannette (1946) et Médée (1953). L’Antigone d’Anouilh est inspirée du mythe antique, en

peuple. Imls sont deux co-souverains. Modèle français : A la même époque, au 17eme siècle, il y a une identification du monarque à l’État, c'est à la fois une forme traditionnelle et individualisée du pouvoir, «  L’État c'est moi » , Louis XIV. Le roi est titulaire, détenteur de la souveraineté et il en a aussi l'exercice. On justifie ce dispositif par la doctrine du droit divin naturel, c'est Dieu qui établit le pouvoir d’État, et celle lui qui choisit la personne ou la dynastie qui détiendra le

Michel de Montaigne, né et mort (28 février 1533 - 13 septembre 1592) au château de Montaigne à Saint-Michel-de-Montaigne en Périgord, écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français de la Renaissance, est l’auteur d’un livre, les Essais, qui a influencé toute la culture occidentale. Fondateur de l’introspection, il en vient peu à peu à l’unique projet de faire son propre portrait : « Je n’ai d’autre objet que de me peindre moi-même » Mais il dépeint principalement ses pensées, il veut

hommes à la barbe blanche avec un gros bouquin sous le bras ? Non, bien sûr ! Nous allons ici nous intéresser aux philosophes français tels que Voltaire, Diderot, Rousseau et j’en passe. Nous sommes bien sûr en France au 18éme siècle, période où le roi a une monarchie absolue de droit divin. Il fait pression sur tout le monde avec son pouvoir absolu émanent de Dieu. Ceci ne plait évidement pas au peuple, c’est pourquoi certaines personnes, les philosophes des lumières, critiquent ce système au moyen

esclaves noirs dans les îles françaises, en particulier l'ordonnance de soixante articles, portant statut civil et pénal, donné en mars 1685 par Louis XIV, complétée par des déclarations et des règlements postérieurs. Il existe deux versions du Code Noir. La première est préparée par le ministre Colbert (1616 - 1683) et terminée par son fils Marquis de Seignelay (1651-1690). Elle est promulguée en mars 1685 par le roi Louis XIV et inscrite au conseil Souverain de Saint Domingue le 6 mai 1687, après

réactionnaires antirévolutionnaires. Une série d’abrogations du code en Europe : En 1815, le Code civil a été abrogé en France et dans l'Europe : - En Autriche, on appliquait le code civil autrichien à la place de celui de Napoléon car le roi de Prusse a abrogé le code civil français ; - en Russie, le tsar a agit de la même façon sauf pour la Pologne où il redoute des troubles politiques ; - En Espagne, en 1851 un projet de code civil est abordé dans les Cortes (chambre

divine, la lumière et la dignité ont été à mon époque rendues aux lettres, et j'y vois de tels changements qu'il me serait aujourd'hui difficile d'être reçu dans la première classe des petits gamins, moi qui étais réputé (non à tort) comme le jeune homme le plus savant du siècle. « Maintenant toutes les disciplines sont restituées, les langues instaurées, le grec sans lequel il est honteux qu'une personne se dise savante, l'hébreu, le chaldéen, le latin. Des impressions fort élégantes et correctes

Mérovingiens Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Les Mérovingiens par Évariste-Vital Luminais. Galerie d'art de la Nouvelle-Galles du Sud, Sydney. Les Mérovingiens constituent une dynastie de rois qui régna sur une très grande partie de la France et de la Belgique actuelles, ainsi que sur une partie de l'Allemagne et de la Suisse, entre Antiquité et Moyen Âge, du Ve siècle jusqu'au VIIIe siècle, immédiatement après l'occupation romaine de la Gaule

inconnu avant d'avouer avoir retrouvé le jeune homme pendu. Ils auraient maquillé le suicide en meurtre afin d'épargner au défunt les obsèques infâmantes prévues en cas de crime contre soi-même. Mais les Calas sont protestants et la rumeur attribue le meurtre à Jean Calas et à sa fureur contre un fils qui désirait se convertir au catholicisme. David de Beaudrigue exige un complément d'enquête et le fait passer à la question : sous la torture, le vieil homme avoue le crime avant de se rétracter. Condamné

étendent légèrement un peu de carmin5 sur leurs joues fraîches seront l'objet éternel des vengeances éternelles de l'Éternel; que Polyeucte et Athalie6 sont les ouvrages du démon ; qu'un homme qui fait servir sur sa table pour deux cents écus de marée un jour de carême fait immanquablement son salut, et qu'un pauvre homme qui mange pour deux sous et demi de mouton va pour jamais à tous les diables. […] Misérables médecins des âmes, vous criez pendant cinq quarts d'heure sur quelques piqûres d'épingle