Article 6 Ddhc

mais ne s’intéresse qu’au droit. Depuis le 1er mars 2010, en vertu du nouvel article 61-1 de la Constitution tout justiciable, peut invoquer l’inconstitutionnalité de la loi applicable au litige, lorsqu’il apparaît que celle-ci porte atteinte aux droits et libertés garantis par la constitution. Il s’agit d’un contrôle de constitutionnalité de la loi par voie d’exception. Dispositions mises en cause en l’espèce : articles 62, 63, 63-1, 63-4, 77, 706-73 du code de procédure pénale. Les quatre griefs

 prenant  des  dispositions  spécifiques  contractuelles  expresses.       «  Les  contrats  régulièrement  formés  tiennent  lieu  de  loi  à  ceux  qui  les  ont  fait  »   (article  1  134  du  Code  civil)  »       +  Ces  lois  supplétives  s’opposent  radicalement  aux  lois  d’ordre  public  :  on  ne  peut  en   aucune  manière  échapper

"droit public". Article 12 de la DDHC de 1789 : "La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée" On retrouve l'idée fondamentale de l'édifice juridique: la nécessité de faire intervenir l'Etat, et sa "violence légitime", pour mettre fin aux conflits entre les hommes. Mais une idée supplémentaire est introduite par cet article : la nécessité

vraiment encadrée), cet arbitraire a été aboli sous la révolution (DDHC ; articles 7 : la légalité de la peine & 8 : la non-rétroactivité de la loi pénale plus sévère – peine strictement et évidemment nécessaires). On va donc révéler certains principes qui doivent encadrer la peine. Ces principes ont été rappelés par les différentes constitutions. Depuis 71, contrôle constitutionnel, le conseil s’arroge le bloc de la constitution et la DDHC, le conseil constitutionnel a multiplié les décisions consacrant

et plus tard il le rattache a l’article 16 de la DDHC Le bloc de constitutionnalité contient des articles qui peuvent constituer la matière pénale : L’art. 7 de la DDHC la légalité en matière procédurale L’art 8 nécessité des peines et légalité des délits et des peines L’art. 9 la présomption d’innocence et de la proportionnalité des sanctions Au-delà elle contient également des principes qui vont pv s’appliquer en matière pénale L’art 6 égalité devant la loi L’art 16 la >< (séparation)

de la défense (protégés par l'art 7 de a DDHC), porte atteinte au principe d'égalité devant la loi (art 1 et art 6 de la DDHC), méconnaît la présomption d'innocence (art 9 de la DDHC). QUESTION 2 : le C constit a refusé de contrôler certaines dispositions et a contrôlé des dispositions déjà contrôlées car changements de droit et de faits. GAD = banalisation de la GAV = changements de circonstances de faits et de droits => réexamen. Les articles 63, 63-1 et 77 du code de procédure pénale

mouvement : le bref échange : l. 5 – 93e mouvement : le discours de l’héroïne : l. 10 - 214e mouvement : la réaction de M. de Clèves : l. 22 - 28Olympe de Gouges – Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791)LL4 – « Préambule et premiers articles »Etude linéaireGenre : Texte juridique, pamphlet,

Commentaire d’arrêt doc 6 – fiche TD 19 Intro Cet arrêt de la Cour d’appel de Versailles du 11 février 2004 est relatif à l’utilisation du droit de propriété. Deux voisins se sont mis d’accord pour construire une clôture séparant leurs terrains mitoyens mais une fois construite, celle ci ne respecte pas la limite de propriété entre les terrains puisque l’arrière de celle ci empiète sur le terrain d’un des voisins et que un de ses piliers empiète sur le terrain de l’autre des voisins, tout

République Titre 2 – Les sources des libertés publiques Chapitre 1 – La « Constitution » Section 1 – La Constitution stricto sensu Section 2 – Le Préambule de la Constitution § 1 – Le contenu du Préambule A) La DDHC de 1789 B) Le Préambule de la Constitution de 1946 C) Les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République § 2 – La valeur de ce contenu A) Une valeur longtemps incertaine B) La reconnaissance

Chapitre I : L’application de la loi dans le temps Article premier du Code civil. La loi est promulguée par le Président de la République, elle est ensuite publiée au JO et rentre en vigueur un jour franc après sa publication. De plus en plus le législateur fixe des dispositions transitoires. Article deux du Code civil: « La loi ne dispose que pour l’avenir. Elle n’a point d’effet rétroactif ». Le législateur peut cependant rendre une loi rétroactive. Une loi nouvelle peut abroger une loi