Arthur Laffer

 La courbe de Laffer est une représentation graphique qui met en relief le lien existant entre les recettes fiscales et le taux d’imposition. Cette représentation a été illustrée par Arthur Laffer, un économiste américain en 1974 au cours d’un dîner. Laffer part de l’idée qu’à un moment donné, l’impôt tue la confiance d’où sa fameuse formule « trop d’impôt tue l’impôt ».Ainsi la courbe d'Arthur Laffer représente une relation négative entre les recettes fiscales de l'État et le taux marginal d'imposition

années quatre-vingt-dix. La courbe de Laffer, du nom de l’économiste américain Arthur Laffer, vise à expliquer les relations entre le taux de l’impôt et le montant des recettes fiscales.Lorsque le taux de l’impôt est nul, son rendement est évidemment nul ; mais lorsque le taux de l’impôt atteint 100 %, son rendement est également nul, plus personne n’ayant intérêt à produire. La question est de savoir ce qui se passe entre les deux : la thèse de Laffer est la suivante. Dans un premier temps, lorsque

travail, donc le produit et l'emploi en considération d'hypothèses sur le comportement des agents et, en particulier, sur le régime des incitations. Effet arithmétique et effet économique travaillent toujours dans une direction opposée. La courbe de Laffer a pour objet d'illustrer la thèse selon laquelle "trop d'impôt tue l'impôt" ou "le taux mange l'assiette" en décourageant le travail et à l'épargne. En tant que telle, la courbe est une tautologie. Il est nécessairement vrai que lorsque le taux d'imposition

cadre d’une politique structurelle, l’économie risque touchée de manière très négative : -Les agents économiques seront incités à éviter l’impôt de quelque manière que ce soit (exode des riches) -Les contribuables, seraient, selon la courbe de Laffer, découragés et effectueraient moins de temps de travail. -Une hausse d’impôt trop durable sur le revenu des classes moyennes les inciteraient à moins consommer et donc moins de TVA pour l’Etat, moins de bénéfices pour les entreprises (moins d’impôts

Développement du capital humain, LUCAS - Répartition des richesses Mais l’impôt connaît aussi de nombreuses limites 1 Un frein à la croissance économique et au développement d’un pays. 1. Les effets pervers de l’impôt - Courbe de Laffer - Effet Revenu - Effet de substitution - Hayek 1 L’endettement de l’Etat - Augmentation des dépenses publiques - Augmentation des dettes - Déficit budgétaire des caisses de l’Etat 2 La loi du plus fort (du plus

la production soit «taxée» au fur et à mesure par les créanciers au titre du service de la dette, les investisseurs potentiels hésiteront à supporter des coûts immédiats pour accroître la production à venir. C’est la thèse qu’illustre la courbe de Laffer (graphique 2), qui montre que plus l’encours de la dette est élevé, plus la probabilité de son remboursement devient faible. Sur la partie ascendante (la «bonne» section) de la courbe, la hausse de la valeur nominale de la dette va de pair avec l’augmentation

des critères en matière de finances publiques. [...] [...] La notion d'équilibre budgétaire est par bien des aspects artificielle Equilibrer strictement un budget n'est pas aisé: On ne peut pas augmenter sans cesse les impôts. Selon la courbe de Laffer, on s'aperçoit que les recettes fiscales admettent un optimum. Mais au-delà d'un certain niveau d'imposition, les recettes tendent à diminuer, car les prélèvements obligatoires ont atteint un volume jugé inadmissible. La hausse des impôts pour contre-balancer

production soit «taxée» au fur et à mesure par les créanciers au titre du service de la dette, les investisseurs potentiels hésiteront à supporter des coûts immédiats pour accroître la production à venir. C’est la thèse qu’illustre la courbe de Laffer (graphique 2), qui montre que plus l’encours de la dette est élevé, plus la probabilité de son remboursement devient faible. Sur la partie ascendante (la «bonne» section) de la courbe, la hausse de la valeur nominale de la dette va de pair avec

proportion jugée excessive des revenus. Pour ses détracteurs, le bouclier fiscal est une mesure coûteuse pour les finances publiques, qui profite aux plus riches. logique influencée par l'économie de l'offre de Robert Mundell et d'Arthur Laffer. La courbe de Laffer développe l'idée que « trop d'impôt tue l'impôt » en soutenant qu'au-delà d'un certain seuil d'imposition, le revenu de l'impôt pour l'État décroît. Le bouclier fiscal est une mesure instituée en France en 2006 par le gouvernement Villepin

trois concepts d'équité 6.4. De la théorie à la pratique 6.5. Enseignements et limites du modèle Chapitre 7 Les effets économiques des impôts 7.1. Le choix entre travail et loisirs 7.2. Le choix entre consommation et épargne 7.3. La courbe de Laffer Semestre d'automne Chapitre 8 Les impôts sur les activités économiques 8.1. L'impôt sur le bénéfice des sociétés 8.2. La TVA 8.3. Les impôts sur les ventes sont-ils équitables? Chapitre 9 Le critère de neutralité 9.1. Exposition du critère