Arrêt 28 Mars 1997 Chambre Mixte Accidents De La Route

personne publique et une personne privée. Pour ces contrats conclus, entre personnes publiques le critère organique est rempli, mais ce critère n’est pas suffisant. Les choses vont changer avec une décision de principe du Tribunal des Conflit, 21 Mars 1983 « UAP ». Cette décision va modifier la méthode de qualification des contrats passés entre personnes publiques. En effet le tribunal des conflits va juger « qu’un contrat conclu entre 2 personnes publiques revêt en principe un caractère administratif

peut engager sa responsabilité pénale que si elle est dotée d'une liberté qui lui permet de comprendre et de vouloir son acte. Il faut donc s'assurer de son existence. Arrêt de la chambre criminelle donne définition : liberté de comprendre et de vouloir = l'intelligence = possibilité de comprendre, possibilité de vouloir. Arrêt du 13 décembre 1956 toute personne pénalement responsable même dans le cadre d’une infraction non intentionnelle, la personne doit être doté d’intelligence et de volonté

trouver dans les contrats, par interprétation, des obligations qui n’y figuraient pas Trbnx interprètent les clauses et découvrent des obligations svt non voulues par les parties Obligation de sécurité ou de conseil Pb de l’indemnisation des accidents de travail Au début raisonnement avec responsabilité délictuelle : Art 1382 Ouvrier devait prouver la faute pour être indemnisé On a pensé à la responsabilité contractuelle Dans un premier temps employeur responsable systématiquement mais assurance

...................................................................... 28 Chapitre 1 S1. L’élément matériel de l’infraction ............................................................................................................................... 28 Le fait matériel constitutif de l’infraction ............................................................................................................................ 28 §1. La nécessité d’un fait matériel ...................................

de droit) à la mineure (faits) on est arrivé à la conclusion (solution). (Syllogisme). → On doit donc expliquer l'arrêt, tout ce que l'arrêt dit implicitement, tout ce qui a conduit à l'arrêt, tout ce qui a suivi cet arrêt ainsi que ce qu'on aurait du dire et pourquoi dans cet arrêt. → Niveau descriptif : description de l'arrêt. → Critique : bien fondé de l'arrêt. → Intro fonda. → Chapeau, faits (pertinents, juridiques), annonce introductive, pb, annonce de plan (2 parties avec 2 sous-parties

différente définition de la justice montre des distinctions entre justice commutative et distributive. La justice commutative est celle qui préside aux échanges dans les relations entre individu comme le contrat, échange involontaire comme dans un accident de voiture. Cette justice tente de maintenir l'équilibre intérieur entre les patrimoines elle est fondée sur les réalités arithmétique. Le vendeur doit recevoir l'équivalent de ce qu’il a fourni, l'employer son salaire. Il n'est pas facile d'établir

avec l’Etat, les entreprises… Pensons à « hiérarchisation » et « décentralisation » par exemple .. Pour la seconde question, celle-ci est plus délicate. Tout d’abord il s’agit, à 1ere vue,, d’activités de 2 sortes : soit juridiques (ex : code de la route, réglementation d’examens). Soit matérielles (ex : la réalisation d’une maison de l’Etudiant). Plus précisément les activités tendent à maintenir l’ordre public et la satisfaction des autres besoins d’intérêt général. Le problème se pose car ça ne

conditions de travail et aux agents du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé. Conception et rédaction Direction générale du travail Collaboration rédactionnelle et mise en page Publicis Activ Paris En application de la loi du 11 mars 1957 (article 41) et du Code de la propriété intellectuelle du 1er juillet 1992, complétés par la loi du 3 janvier 1995, toute reproduction partielle ou totale à usage collectif de la présente publication est strictement interdite sans l’autorisation

modifier la portée du droit pénal serait nulle. 10 Voy. C. HENNAU et J. VERHAEGEN, Droit pénal général, Bruxelles, Bruylant, 3ème éd., 2003, p. 27. Voy. C. HENNAU et J. VERHAEGEN, Droit pénal général, Bruxelles, Bruylant, 3ème éd., 2003, p. 28. 12 Cass., 15 mars 1968, Pas., 1968, p. 884. 13 Cass., 6 septembre 2006, Rev. dr. pén., 2007, p. 77 14 Cass., 30 octobre 1924, Pas., 1924, p. 561 11 4 De même, sous réserve de l’hypothèse de la délégation (voir infra), il n’est guère possible pour le délinquant

communiquer des documents ou à donner connaissance de document sans que pour autant ces documents ne soient de véritables décisions. Exemple : × La correspondance interne entre 2 services administratifs. (Ce n’est pas un acte administratif décisoire) CE, 28 avril 1986, Nephtali. × Une lettre énoncant des intentions ou des mesures préparations. (Ce n’est pas un acte administratif décisoire) CE, 17 avril 1992, Morriset. × Une lettre dans laquelle l’administration donne des informations ou formule des