Arrêt 26 Octobre 2006

Lazerges-Cousquer, Traité de procédure pénale, Economica, 2009 E. Vergès, Procédure pénale, Litec, coll. Objectif droit, 2° éd. 2007 E. Verny, Procédure pénale, Dalloz, coll. « Cours », 2° éd. 2008 - Les Grands arrêts J. Pradel et A. Varinard, Les grands arrêts de la procédure pénale, Dalloz, 5° éd. 2006. - Les chroniques d’actualité Droit du procès L. Cadiet, J. Normand et S. Amrani Mekki, Théorie générale du procès, PUF, coll. Thémis, 2010 S. Guinchard et alii, Droit commun du procès équitable

principe de nécessité des peines prévu par l’article 8 de la DDHC : «  la loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaire ». La valeur conventionnelle, la DDHC ne prévoit pas la rétroactivité et pourtant un arrêt de la CEDH du 17 septembre 2009 arrêt Scopola contre Italie que la rétroactivité des lois pénales plus douces découpe du principe de prééminence du droit et aussi de la non rétroactivité des lois plus sévère. Principe également reconnu par la CJUE : cour de justice européenne

2 FEVRIER 2006 1er moyen 1ère branche : question de l'existence du contrat 1er moyen 3e branche : est-ce que l'on est en présence de l'inexécution d'une obligation contractuelle ? FAITS : En août 2002, M. AFONSO dépose une pellicule photo dans une borne libre-service. Pellicule acheminée par Monoprix qui devait l'envoyer à Kodak. Au retour, la pochette est perdue et cela empêche M. ALFONSO d'illustrer ses travaux universitaires. Pochette retrouvée deux moins après. Le 8 octobre M. AFONSO est

12 juillet 2006, précise qu’un acte isolé, même grave, ne peut conduire à la qualification de harcèlement moral. Un arrêt de la chambre sociale de la Cour de cassation du 27 octobre 2004 précise que c’est la « conjonction et la répétition de certains faits perpétrés à l’encontre d’un salarié qui constituent un harcèlement moral ». Ainsi des insultes quotidiennes ou des critiques incessantes peuvent constituer des actes de harcèlement moral. De plus, un arrêt de la Cour de cassation du 26 mai 2010 précise

: Civ 18 octobre 1950 D 1950 p.773 - Le meuble n’a été conçu que pour l’orientation de l’immeuble. Ex : une bibliothèque très imposante conçue précisément aux tailles de la pièce : Civ 1ère 5 mars 1991 D 1991 Informations rapides p.96 Remarque : d’une façon générale, les règles de qualification de biens meubles et immeubles sont des règles d’ordre public. Les parties ne peuvent modifier par leur seule volonté la qualification des biens : Civ 5 août 1887 S[irey] 1889 I p.387 et Civ 3e 26 juin 1991

Béchillon, « Plaidoyer pour l’attribution aux juges ordinaires du pouvoir de contrôler la constitutionnalité des lois et la transformation du Conseil constitutionnel en Cour suprême », in Mélanges L. Favoreu, Dalloz, 2007, p. 109; J. Gicquel, « L’article 26 », LPA, 14 mai 2008, n°97, p. 77 ; A. Roux, « Le nouveau Conseil constitutionnel. Vers la fin de l’exception française ? », JCP, G, 2008, n°31, I, 175. 2 conventionnalité des lois sont indissociables, c’est principalement du fait qu’une même

effet qu'une partie se reserve le droit de former un contrat qui ne lui tienne pas lieu de loi. En effet, la jurisprudence s'est tout dabord montrée hostile face à ces clauses. C'est le cas dans la décision de la cour de cassation du 26 Janvier 1859. Cependant dans un arrêt du 24 janvier 1874, la jurisprudence a affirmé le principe de validité selon lequel les parties sont libres de créer des obligations, et donc dans un même temps de décider que le débiteur ne devra pas de dommages et intérêts. Néanmoins

conventionalité (B) A. La reconnaissance de la supériorité des traités internationaux sur les lois En haut de la pyramide, le bloc constitutionnel comprend la Constitution (celle du 4 octobre 1958 fondant la Ve République), le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 ainsi que les lois organiques destinées à organiser certaines institutions de l’Etat et à compléter la constitution. Avant la constitution de 1946, les traités et accords

l'une des obligations familiales prévues par le titre IX du livre Ier du code civil, en demeurant plus de deux mois sans s'acquitter intégralement de cette obligation, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. 1 Juillet 2006 Le fait, pour une personne, de ne pas exécuter une décision judiciaire ou une convention judiciairement homologuée lui imposant de verser au profit d'un enfant mineur, d'un descendant, d'un ascendant ou du conjoint une pension, une contribution, des

Commentaire de l'arrêt du 7 octobre 2009 Ouahrirou L'arrêt du Conseil d'Etat du 7 octobre 2009 a été rendu en matière de prorogation du délai de recours contentieux, au visa de l'article 761-1 du Code de Justice Administrative relatif aux frais et dépends. En l'espèce, l'association Vacances Voyages Loisirs (VVL) a demandé l'autorisation de licencier un délégué syndical de l'association mais cette demande a été rejetée par une décision de l'inspecteur du travail le 4 avril 2003. Dès lors l'association