Arrêt 19 Novembre 1991 Cassation

Application dans le temps de la loi du 17 juin 2008 L'entrée en vigueur de la loi est immédiate, soit depuis le 19 juin. Un régime transitoire est prévu : • les dispositions de la loi qui allongent la durée de prescription ne s'appliquent pas si le délai de prescription (applicable avant la loi) était déjà expiré le 19 juin. Les dispositions de la loi qui réduisent un délai s'appliquent à compter du 19 juin aux prescriptions pour leur temps qu'il leur reste à courir, sans qu'il puisse excéder les limites

74052 4 - CE, 30 novembre 1990, Asso les verts, req. n° 103889 Ø Faculté d’abroger 5 - CE, 6 décembre 1907, Compagnie des chemins de fer de l'Est, req. n° 4244 6 - CE, 6 mars 2009, M. Coulibaly, req. n° 306084 7 - CE, 29 novembre 2002, Assistance publique- Hôpitaux de Marseille, req. n° 223027. III/ Le retrait Ø Des actes réglementaires 8 - CE, 14 novembre 1958, Ponard, req. n° 35399 Ø Des actes individuels a) Les décisions explicites 9 - CE, 3 novembre 1922, Dame Cachet

Nature de la responsabilité Il existe un principe de non cumul, de non option, c'est-à-dire que si on peut engager la responsabilité contractuelle d’une personne, on ne peut pas engager sa responsabilité délictuelle (d’après l’arrêt de la cour de cassation ass. Plén du 6 octobre 2006) car la responsabilité contractuelle suppose l’existence un contrat. Et dans un contrat on peut prévoir des clauses limitatives de responsabilités, c’est pour respecter les prévisions des parties. En l’espèce, on envisage

que « les syndicats peuvent se constituer librement ». A cet article, il convient d’ajouter : l’article L2141-5 du CT, qui interdit à l’employeur de prendre en considération l’appartenance à un syndicat, ou l’exercice d’une activité syndicale pour arrêter ces décisions en matière : de recrutement, de rémunération, de licenciement… Interdiction de la discrimination syndicale par cet article. II. le syndicat professionnel : Défini par la loi du 21 mars 1884 : qui dispose qu’un syndicat professionnel

9/04/1898 : loi sur les accidents du travail qui est une loi qui fait peser une responsabilité de plein droit sur l’employeur et qui repose à la fois sur l’idée de risque et de profit. * Loi du 5/07/1985 sur les accidents de la circulation. * Loi du 19/05/1998 sur la responsabilité du fait des produits défectueux. * La théorie du risque a exercé une influence sur l’évolution de la définition de la faute. Aujourd’hui on retient une définition objective de la faute, qui a les conséquences que

CLASSIFICATION DES CONTRATS DE TRAVAIL……………………………………………………………………17 SECTION 1 : LES CONTRATS DE TYPE PARTICULIER……………………………….17 Paragraphe 1 : Le contrat d’apprentissage…………………………………………....17 Paragraphe 2 : L’engagement à l’essai………………………………………………..19 SECTION 2 : LES CONTRATS DE TRAVAIL ORDINAIRE…………………………….20 Paragraphe1 : Les contrats à durée déterminée……………………………………….20 Paragraphe2 : Le contrat à durée indéterminée……………………………………….23 DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DU CONTRAT A DUREE INDETERMINEE…………………………………………………

admis sans difficulté dans son arrêt Obermeier c/ Allemagne du 28 juin 1990. Dès lors, la C'our EDH était en droit de vérifier si la procédure suivie dans ce type de litiges a obéi aux exigences du procès équitable. La première de ces exigences est relative, on le sait, au respect d'un délai raisonnable. En droit du travail. La Cour EDH a déjà eu à se prononcer sur ce point à plusieurs reprises. Pour ce qui est de la France, elle l'a fait par un arrêt Delgado du 14 novembre 2000. L'espèce est intéressante

également la prévention des infractions). Elle relève de la compétence des autorités administratives. Ex : Le ministre, en matière de terrorisme peut placer des personnes sous écoute . La réglementation du stationnement dans une commune .. Crime 18 novembre 2003 police judiciaire (= a pour objet unique de rechercher des auteurs d'infractions), les autorités compétentes en cette matière sont des autorités judiciaires : le procureur et le juge d'instruction. II – Le renvoi de la loi à d'autres

classiques. Dans l’espace de l’UEMOA, cette évolution est perceptible, avec un mimétisme juridique fertile. Le règlement n° 15 de l’UEMOA, en est, en effet, un terreau prospère à travers les dispositions de ses articles 1er et 17 à 30. En effet, l’article 19 dudit règlement dispose que : « L’écrit sous forme électronique est admis en preuve au même titre que l’écrit sur support papier et a la même force probante que celui-ci…». Ces indications nous conduisent, dès à présent, à préciser certaines notions

d’agir alors que le complice avait le devoir d’intervenir, on parle alors d’abstention dans la fonction ou dans l’action. Ex : un comptable qui laisse présenter aux associés un compte inexact, Crim., 9 novembre 1992 , n°92-81.954 ou encore, arrêt PERNOT de la plaquette) * Un acte causal/consommé (ou direct) (mais il existe des atténuations, notamment avec la complicité de complicité