Arrêt 13 Février 2003 Chevrol

0145488217 Bibliographie : Manuel : « Droit Administratif Général 1, 2 » de M. Chapu (2001). Frier et Petit (nouvelle édition, si y’en a une). Manuel de M. DeGoff. Gaudmet. Truchet. Arrêts : « Les grands arrêts de la JP administrative » Lombaille et Bréban. Manuel de M. Chapaume. Arrêts du Conseil d’Etat : le LeBon. Revue d’actualité : JDA. Introduction Dans les pays anglo-saxons, il n’y a pas de droit administratif, c'est-à-dire que les juridictions sont les mêmes. En France

donc supérieure à toutes les autres : Convention de Vienne. Ratifié ni par les USA ni par la France à cause de ce fait là. Lors de l’ouverture du TPI en 1995 pour l’ex-Yougoslavie, le TPI a déclaré que certaines normes étaient supérieures à d’autres. Arrêt Youssouf du 21 septembre 2005 : sur le contrôle de validité des décisions du Conseil de sécurité de l’ONU. Il s’agit d’un conflit de logique entre le respect de la souveraineté et l’existence d’une hiérarchie des normes. Si il existe des normes

ce fait, si la liberté parait importante on va préférer le régime répressif, et pour les autres ont se servira du régime préventif. Le régime de déclaration préalable sous-entend une incertitude : cela peut déboucher sur une interdiction. Selon un arrêt Baldy, du Conseil d’État de 1917, « La liberté est la règle, la restriction l’exception. », cette jurisprudence va entrainer un droit prétorien plus libéral concernant les Libertés Publiques. Il est possible de classifier les Libertés : - Les droits

1996, on assiste à un renforcement du dispositif anti-terroriste français. Par la suite, en 2001, la loi sur la sécurité quotidienne intervient juste après les attentats du 11 septembre 2001. La loi sur la sécurité intérieure apparaît quant à elle en 2003. La loi Perben II ou loi portant adaptation de la justice aux évolutions de la criminalité est également édictée. La loi du 16 juin 2011 relative à l’immigration en France a entrainé un durcissement du régime pénal applicable aux étrangers. La loi

DROIT ADMINISTRATIF Dans l’arrêt Blanco ( 8 Fevrier 1973 Tribunal des Conflits ), un principe selon lequel « la compétence suit le fond » a été mis en avant . Selon ce principe , la compétence juridictionnelle pour trancher un litige découle du droit applicable . Aujourd’hui , ce principe bien qu’encore valable , n’est plus opérationnel à 100 % pour deux raisons : - Il arrive que le juge administratif applique des règles du droit privé pour trancher un litige , éventuellement en les aménageant

considère que toutes les dispositions de la Constitution et du préambule sont applicables et donc invocables. Cette jurisprudence a surtout été développé à propos de certaines dispositions du préambule de la Constitution de 1946 : Ø Conseil d'Etat, arrêt Tallagrand de 1968 : considère que l’alinéa 12 du préambule de la Constitution de 1946 qui pose le principe de solidarité devant les calamités nationales est trop générale et qu’elle ne pouvait être invoquée directement pour fonder une action en

connaissons aujourd'hui. Autre apport est de développer sans l'avoir voulu l'idée que l'administration, lorsqu'elle agit doit être soumise à un droit et pour cette raison est adopté la loi des 16 et 24 août 1790. Un article important, son article 13 qui dit : «  Les fonctions judiciaires sont distinctes et demeureront toujours séparées des fonctions administratives, les juges ne pourront à peine de forfaiture, troubler de quelque manière que ce soit les opérations du corps administratifs, ni citer

Préambule de 1946 pour retrouver un renvoi à la DDHC 1789. Pour que les juges intègrent la DDHC dans le droit positif et la considère comme une norme juridique, ils vont pouvoir l'opposer aux particuliers et à l'administration sous la IVème République, arrêt V c/ Dame B, TGI de la Seine. Il s'agissait de l'annulation d'une clause testamentaire qui déshéritait son bénéficiaire s'il avait le malheur d'épouser une personne d'origine juive. Le juge va considérer que ce type de clause testamentaire est contraire

se délier de ses engagements internationaux à l'égard d'un autre Etat ou d'un sujet international en invoquant les obstacles de son droit interne. Principe confirmé jptiellement dans « l'affaire du traitement des nationaux à Danzig », arrêt de la CPJI du 4 février 1932: il s'agissait d'invoquer la Constitution de l'Etat pour se délier de ses engagements internationaux. La Cour a appliqué la solution précitée. Récemment, le principe a été réitéré en 1988 dans l'avis consultatif de la CIJ du 26 avril