Arrestation De Vautrin

personnage nommé Vautrin, qui est un personnage clé de l’œuvre, c’est clairement un texte descriptif. L’intérêt de ce texte est de présenter Vautrin, personnage aux allures sympathiques mais à la figure inquiétante. En quoi Vautrin, malgré ses allures franches et amicales, est-il un personnage inquiétant et sombre ? Mon plan comporte un axe composé de deux sous parties : une description clairement méliorative, pourtant assombrie par des éléments inquiétants sur cet homme. I/Vautrin, un personnage

pensons que son œuvre peut être qualifiée de réaliste ! Résumé Le roman débute à Paris, en automne 1819, dans une pension minable de la rue Neuve-Sainte Geneviève où se côtoient plusieurs résidents dont le jeune Eugène de Rastignac, Vautrin et le père Goriot. Rastignac est un jeune étudiant en droit, venant d’une famille provinciale modeste, qui s’émerveille devant la vie parisienne. Eugène préfère rejoindre la haute société à l’aide de sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, aux

Vautrin La puissance corporelle :       Vautrin est d’abord un homme impressionnant par son apparence physique, qui rend immédiatement perceptible sa force et laisse deviner un passé intensément vécu.       La force du personnage est manifeste dès l’expression initiale, « Vautrin, l’homme de quarante ans », qui dénote la plénitude de la maturité, en contraste avec Eugène et Victorine, qui sont de tendres jeunes gens, presque adolescents, et avec Poiret et Goriot, tous deux sur le déclin de

heureux à ma manière. » -Rastignac : « Avoir une maîtresse est une position quasi royale, c’est le signe de la puissance ! » -Riches ou pauvres, ils n’ont jamais d’argent pour les nécessités de la vie, tandis qu’ils en trouvent pour leurs caprices. -Vautrin : « Nous avons moins d’infamie sur l’épaule que vous n’en avez dans le cœur, membres flasques d’une société gangrenée ! » -Delphine était capable de marcher sur le corps de son père pour aller au bal. - L’amour n’est peut-être que la reconnaissance

à Paris, pension Vauquer… • Déséquilibre: rencontre de Goriot et Vautrin, réalité sociale différente. • Manque: réussite sociale (argent). • Destinateur: Quête de l'apprentissage du 19e siècle. Situation de Transformation • Objet: devenir adulte • Epreuve qualifiante: Goriot et Vautrin le désignent • Héros: Rastignac • Etapes: Pension Vauquer; Taillefer; Langeais, Restaud, Bauséant, Nucingen; Arrestation de Vautrin; fils de goriot. • Epreuve glorifiante: reconnu par Goriot • Marque:

l'intensité d'une tragédie. -Le père Goriot 1835 Honoré de Balzac (1799-1850), français Romanesque et réaliste Roman d'apprentissage Vautrin est un personnage massif, visuellement présent dans sa force. Il est doté d’une configuration physique qui est un spectacle et que l’on gardera en mémoire pour bien « voir » la grande scène de son arrestation. Ce portrait remplit donc une fonction essentielle du roman, donner l’impression de la réalité.Force physique et détermination morale. Cette présence

1850 à Paris, laissant derrière lui une œuvre colossale. Consulter également le syllabus et les notes de cours pour plus d’informations. Résumé : Rastignac passe par 3 étapes initiatiques : Mme de Beauséant , qui lui apprend le grand monde ; Vautrin, qui lui dévoile la dureté des rapports sociaux et la loi de l’intérêt ; Goriot, qui, par sa mort, lui prouve le danger des passions. La description qui inaugure le roman apparait comme un coup de force, et utilise la technique du dévoilement progressif

côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de Rastignac, fils d'une famille noble et désargentée de Charente venu faire son droit

roman Le Père Goriot met en scènes plusieurs personnages récurrents de La Comédie humaine, présente à la fois l'évolution tragique du père Goriot, l'itinéraire d'apprentissage d'un jeune romantique, Rastignac, la présence inquiétante du tentateur, Vautrin, et dresse un tableau extrêmement sombre de la société parisienne en 1819. Tous ces personnages se retrouvent dans la pension Vauquer. Le passage qui nous intéresse ici se situe au début du roman. Y est fait le portrait de Madame de Vauquer, étroitement

dit-il, d'un fait divers, et met au point alors, pour la première fois, à l'occasion de ce roman, le principe de récurrence des personnages de La Comédie humaine. Mme de Bauséant, qui fut jadis La Femme abandonnée, réapparait ici, et Rastignac et Vautrin, nouveaux venus de l'univers balzacien, reviendront fréquemment dans les romans ultérieurs. cc Un brave homme, - pension bourgeoise, 600 fr. de rente, - s'étant dépouillé pour ses filles qui toutes deux ont 50.000 fr. de rente, mourant comme un