Après la répétition

regrets du fils sont bien explicite dans le texte. En effet après avoir reproché de nombreuses choses à son père le fils va maintenant faire part de ces souhaits et notamment sur ce qu’il souhaite pour sa vie future. Tout d’abord, à la ligne 17 il y a du conditionnel : « j’aimerais ». Ici, le conditionnel permet d’exprimer un souhait. Le fils souhaite en effet se débarrasser d’une peur qui la ronge et qui l’épuise. Ensuite, il y a une répétition de « j’aimerais tellement » au ligne 17-19-20-21 et 22.

Introduction: On ne badine pas avec l’amour a été écrit par Alfred de Musset, grand poète et dramaturge du 19ème, en 1834. La pièce On ne badine pas avec l’amour n’était pas destinée à être jouée au départ. Sa première représentation a été faite après la mort de Musset en 1861. Elle raconte sur un ton tragi-comique les amours compliqués de Perdican, jeune homme sorti des études, et de Camille, jeune fille sortie du couvent. Le passage étudie se situe à la toute fin de l’acte II, au milieu de la

en vers régulier. Mais à partir du 19e siècle, certaines de ces règles ne seront plus respectées par les poètes.Le vers est l’unité de base du texte poétique. Il a trois caractéristiques fondamentales : · le nombre de syllabe ou la mesure · une répétition d’un ou de plusieurs sons à la fin de deux ou de plusieurs vers: la rime · des pauses, des accents ou une certaine sonorité : le rythmeI - LA MESURE DES VERS1 - Le compte des syllabes Toutes les syllabes d’un mot comptent. Le « e » muet ne compte

d'autre part exprimé par l'omniprésence de la notion de répétition et de circularité. Le protagoniste se retrouve par exemple "entre deux fumiers". Cet encerclement est également psychologique, et le discours du personnage en témoigne: le texte est jalonné par les répétitions lexicales, telles que la répétition anaphorique de l'expression "à coups de" l.11-12, à laquelle fait écho le nom "coup" (l.13). Dans le même paragraphe, on trouve la répétition de l'adverbe "encore", qui est mis en valeur par un

de « story » : amorce la mise en abîme par l’énonciation même de l’histoire, dans l’histoire, à travers le discours direct, marqué par l’incise, elle, dans la narration.* Parallélisme entre l’entente et la vue, qui joue sur la thématique, dans la répétition de la même expression « with my own… ».* Jeu sur le doute, emploi de mécaniques de suspens, avec un effet de nuance : « if », le conditionnel, le rebondissement sur le propos précédent (ce n’est pas le village en entier qui a été tué, car il reste

utilise la rhétorique de la répétition qui rythmera tout son discours de formules chocs. 1er répétition : « 100 plus tard » est répété plusieurs fois pour faire le lien entre aujourd’hui et hier. Hier on nous avait promis la liberté et aujourd’hui le Noir n’est toujours pas libre, le Noir « vit à l’écart sur son îlot de pauvreté » « se trouve isolé de son, propre pays »… Après avoir dépeint cette situation actuelle des Noirs, il passe à l’attaque. 2ème répétition : « C’est l’heure de » est

1 200 000 francs. Le même jour, les parties ont signé une convention pour régler le sort des commissions versées par l’AFER au titre des frais de versements concernant ces clients sur les versements effectués par ces derniers sur leur compte AFER après la date du 22 avril 1998 seront partagés par moitié entre les deux parties, sans limitation de durée et que concernant les commissions sur encours que percevra la société les bureaux du patrimoine relativement à ces quatre clients, celle-ci s’engage

un langage par le corps. Pour Freud, il s'agit là d'une représentation, d'une « pantomime » (14), d'un mode de figuration équivalent à celui du rêve. C'est d'ailleurs à propos du rêve (15) qu'il note que la multiplication est une figuration de la répétition - ce qui évoque aussi qu'un élément refoulé est « fréquemment représenté par une série infinie » (16). Ainsi l'hystérie apparaît comme mise en scène. Celle-ci serait-elle donc ravissement pour autant que l'hystérique chercherait à ravir et à être

instant de nostalgie : le poète nous livre finalement ses meilleurs souvenirs : le slam c’est avant tout une rencontre… retour présent. * 7 : Conclusion : le slam comme sensation et manière d’écrire avec effet de boucle car répétition premier mouv mais fin change : répétition expression « j’écris à l’oral » ! Ainsi, nous nous demanderons : Dans quelle mesure le poète, à travers une sorte de témoignage, propose-t-il sa propre définition du slam ? Axes : 1 : Nous verrons comment GCM raconte, témoigne

coordonner mon déplacement avec la conduite du porteur pour être une solution dans mon couloir. Mise en place : 6 joueurs par atelier. (un défenseur en attente) Matériel : coupelles pour délimiter les couloirs et les zones des défenseurs. Séries/Répétitions: 10 passages pour l’équipe qui attaque. Changer de couloir à chaque passage. Simplification : Le défenseur défend mains dans le dos ou ne recherche que l’interception. Complexification : Imposer un temps pour traverser les deux zones.