Apports Du Mercantilisme

je rencontre des délégués des pays en développement, ils nous encouragent au contraire à continuer notre travail, à nous exprimer pour dire ce qu’eux sont souvent tenus de taire. Ils nous demandent de plus en plus de produire des analyses, de leur apporter assistance technique...Nous sommes loin de pouvoir répondre à la demande, et je suis souvent dans la position de devoir dire non à des délégations qui vont jusqu’à nous solliciter pour rédiger leurs positions de négociations. Ce n’est pas le rôle

internationaux, préconise la spécialisation internationale et la suppression de toute entrave aux échanges. Au « laisser-faire » du libéralisme concurrentiel correspond ainsi le « laisser passer » du libre-échange. Cette théorie est en réaction au mercantilisme. Le libre-échange est un stimulant puissant du développement économique des nations : • l’augmentation de la taille du marché génère des économies d’échelle qui stimulent la croissance des entreprises ; • la concurrence renforce

dde urbaine qui se forme) . Cette dde va se matérialiser par la création de nouveaux métiers ( l'artisanat et le commerce urbain). 3) Le role éco de l'état: L'état au 17 et 18ème siècle est un agent économique dictée par une doctrine : le mercantilisme. C'est une doctrine qui présente trois caractéristiques. C'est d'abord une doctrine monnétaire parce que l'objectif que s'assigne l'état c'est l'objectif de l'enrichissement monnétaire. On croit à l'époque que la puissance éco de l'Etat est lié

par José Antonio Primo de Rivera dans la mouvance du fascisme italien. Elle se présentait comme une relecture de la pensée traditionaliste qui avait séduit la classe dirigeante après la Restauration bourbonienne de la fin du XIXe siècle. D'autres apports complèteront cette « idéologie franquiste » tels l'évocation mythique d'un passé glorieux (l'esprit de croisade reconquérante des rois catholiques), le réflexe anti-libéral hérité de l'absolutisme de Ferdinand VII ou encore l'hostilité viscérale qu'inspirent

Certains artisans Économique : Activités commerce/production (régional/national) Doc 9 - écrit par Colbert : Homme politique français du XVIIème siècle, bras droit de Louis XIV La puissance d’un état se mesure avec l’argent dans ses caisses  mercantilisme (politique économique) But à cela : La guerre Pour augmenter cet argent : - Limiter les importations et augmenter les exportations (barrières douanières fixées) - Développer les routes/ports - Placer des colonies ailleurs Finalement, peu de liberté

la nécessité = dévalorisé ≠ polis = vie citoyenne = valorisé) - Chute féodalité → état moderne centralisé → économie politique classique = transposition de la bonne gestion au royaume tt entier (volonté de rupture ac la philosophie morale) => mercantilisme qui se divise en 2 groupes sociaux : commis de l'état (Colbert) et marchands, industriels, banquiers. Diversité des préceptes (étatistes ou libéraux) mais raisonnement dans un cadre commun. 1. Au niveau de l'économie tte entière 2. Commerce entre

commerciales, qui sont une véritable interdiction d’ importer (embargo… ), et surtout les contingentements, qui fixent autoritairement le volume d’ importations autorisées. Le protectionnisme ne doit être confondu ni avec le mercantilisme, ni avec l’ autarcie. Le mercantilisme est une doctrine qui a été en vigueur en Europe entre le XVIème et XVIIIème siècle et qui est fondée sur la croyance à la prééminence des métaux précieux. Une nation doit donc les accumuler en vendant plus à l’ étranger qu’

des ports, de l’industrie française pour développer un excédent commercial. HENRI IV : entouré de beaucoup de ministres ayant contribué au développement de l’essor économique. (Le mûrier) => évité d’importer la soie et essayer de l’exporter. Le mercantilisme repose sur le développement des activités et la prospérité des artisans qui sera source de recettes fiscales pour l’état et à partir du moment où le roi recevra des ressources financières il pourra étendre son pouvoir : se payer une armée… Les

révolution industrielle requiert — comme dans les chemins de fer — une importante concentration de capitaux en vue de financer des investissements de plus en plus couteux. Une nouvelle forme juridique d'entreprise, la société anonyme (SA) facilite les apports en capitaux de plusieurs investisseurs : ceux-ci n'engagent leur responsabilité qu'à hauteur des montants investis, ce qui limite les risques. Ainsi en Angleterre, la mise en place des joint stock companies (JSC) fait suite à l'abrogation du «Bubble

néoclassiqueL’APPROCHE KEYNÉSIENNE q Certaines interprétations de la théorie de Keynes ont mis en avant son approche macroéconomique et le rôle du budget de l'État dans la régulation de la conjoncture ; ces aspects importants ne constituent pas cependant son apport le plus original. q Par ailleurs, comme Keynes le signale lui-même, les mercantilistes du XVIIIe siècle ont déjà analysé l'effet stimulant des dépenses de l'État sur l'activité économique. q Le véritable changement de méthode est donc ailleurs (R