Apports Du Mercantilisme

La vie économiques chez les anciens Le peuple hébreu Les philosophes de la cité Apport de l’empire romain Apport des premiers Pères de l’Eglise Le polycentrisme du Moyen Age Le contexte d’analyse Contributions à l’analyse économique l'économie politique 3.1. 3.2. 3.3. 4.1. 4.2. 4.3. Evolution institutionnelle et philosophique Les grandes lignes de la pensée mercantiliste Les différentes expressions du mercantilisme Les philosophes anglais et écossais : Locke, Hobbes, Hume Les physiocrates Adam Smith

capitaliste basé notamment sur la loi de maximisation de profits (c’est l’idée que l’entrepreneur est motivé par la simple maximisation de ces richesses) Pour créer de la richesse en économie, il n’y a pas 36 000 solutions, il va utiliser son capital (apport en numéraire), le capitaliste a aussi une puissance d’investissement. Remarque : l’entrepreneur investit dans la combinaison productive, il investit dans le matériel et dans le capital humain. La valeur ajoutée : se définit par la richesses réellement

courants de la pensée économique Le mercantilisme (16e, 18e) Doctrine et politique économiques fondées sur la croyance en la prééminence des métaux précieux facteurs de puissance et qu’il faut accumuler. La puissance des nations est tributaire de leur capacité à accumuler l’or et l’argent. C’est ainsi que les princes s’appuient sur les marchands et favorisent l’essor industriel en vue d’améliorer le solde commercial. Très souvent, la mise en œuvre du mercantilisme débouche sur des choix protectionnistes

2. Les limites du GATT 3. Apports et limites de l’OMC 3. Le verdict ambigu de l’Histoire 1. Paul Bairoch sur le XIXème siècle 2. Point méthodologique : les difficultés de la vérification historique des théories économiques 3. Travaux sur le XXème siècle, analyses récentes 2. Les enseignements complexes de la théorie économique 1. Le commerce : un jeu à somme positive 1. Rappels sur le mercantilisme 2. Commerce et gains de productivité

autres peuples F.Braudel : le capitalisme n’est pas né avec le protestantisme mais bien avant même si apport considérable. Les wébériens répondent que Weber a étudié l’esprit du capitalisme et non pas son système. Les princes et les marchands ont des intérêts communs à partir du 11ème et 12ème siècle => association vertueuse qui ne se fait plus avec l’Eglise à partir du 15ème siècle 1.2 Mercantilismes et physiocratie Les théories de l’Etat moderne (16ème-17ème siècles) « Le prince » de Machiavel

Montchretien J.b Colbert (colbertisme ou mercantilisme français pour designer l’intervention de l’état dans l’économie). Le mercantilisme est l’opposé d’une doctrine libérale. C’est l’intervention musclée de l’Etat dans l’économie. Il va orienter la répartition des ressources dans la société. A propos du Com international, les mercantilistes pensaient que le commerce extérieur doit participer à l’enrichissement du royaume sans appauvrir les sujets. a- Le mercantilisme espagnol  Au début du 16e siècle

technologique, la recherche scientifique, la recherche artistique, la recherche des idées, à un niveau jamais atteint auparavant. C'est aussi surtout le siècle des révolutions industrielles, le RU en tête, qui vont bouleverser le paysage européen et apporter d'immenses richesses, mais aussi casser les anciennes structures sociales. Comment ce siècle a t-il marqué le tournant de la modification sociale et économique qui a amené le RU et l’Europe jusqu'à la veille de la 1ere guerre mondiale ? Il conviendra

l’obscurantisme religieux qui donne naissance à des réformes (celles de Luther et de Calvin) en Suisse. Dans ce contexte va naître la 1ère forme d’économie, dont l’objectif n’est pas inspiré par la défense d’une religion quelle qu’elle soit. Ce mercantilisme va être à l’origine d’un enrichissement de l’Etat. I / La doctrine mercantiliste : Il y avait une conception dominante contre laquelle les mercantilistes vont s’élever, c’est celle de Machiavel, qui dit que « Dans un gouvernement bien

naturels va préserver les pays des problèmes poltiiques - des guerres. Un plaidoyer contre la liberté du commerce (en faveur du mercantilisme) Colbert Le commerce est une autre manière de faire la guerre. Le commerce ne relie pas les économies et de favoriser la paix mais au contraire ce serait une arme de ‘‘guerre’’. L’objectif selon les auteur partisans du mercantilisme, c’est pour un pays d’accumuler le plus possible de métaux précieux notamment en vendant plus de marchandises de l’étranger

Laon, et y exerça les fonctions de procureur du roi. En 1589, il fit déclarer cette ville pour les Ligueurs ; mais bientôt après, il en détermina les habitants à reconnaître Henri IV. Il meurt de la peste à Laon en 1596. La Méthode de l’Histoire apporte à l’humanisme juridique, un véritable fondement, et l’ouvrage doit être classé parmi les grands classiques de la Renaissance. Avec l'autre grand livre de Jean Bodin - les Six Livres de la République - il forme un ensemble cohérent. Ce sont les deux