Apologue Les Souris

L’impartialité de l’auteur  équilibre argumentatif, inversion dans la distribution de la parole ;  aucune conclusion de l’auteur, pas de modalisation, pas de narrateur « juge » . b. Deux stratégies argumentatives solides  argumentation par persuasion (apologue = induction, lexique du sentiment) : MOI ;  argumentation par référence à l’expérience (conventions sociales, autodépréciation mais justification claire et riche en arguments) : LUI ; c. Un texte délibératif  jeu des pronoms (« moi »/ « lui » =

passer, il prend d’ailleurs l’exemple d’un enfant qui comprendrait plus facilement l’aventure du bouc et du renard dans le puits que celle des Dieux et de la guerre. Il insiste donc bien sur le rôle didactique de la fable, et considère que dans un apologue : « le corps est la fable ; l’âme, la moralité ». Les animaux sont aussi associés à leurs images et à leurs caractères, caractères qui sont facilement reconnaissables à ceux de l’Homme, ainsi chaque animal a ses défauts et on peut clairement établir

de vivre, d’occuper le monde mais aussi de tisser des liens entre eux (aspect philosophique). Il s’agit d’une réflexion philosophique basée sur des expériences concrètes, repérables dans la biographie de l’auteur. L’œuvre peutêtre assimilée à un apologue. L’expérience de pilote de Saint-Exupéry est moderne et nouvelle à l’époque. Peu d’hommes peuvent alors se vanter de vivre ce qu’il a connu. La réflexion sur la condition de l’homme , la morale humaniste qui se dégage de l’œuvre sont intimement liés

grands. 52 La Chauve-souris et les deux Belettes Une Chauve-souris donna tête baissée Dans un nid de Belette ; et sitôt qu’elle y fut, L’autre, envers les Souris de longtemps courroucée, Pour la dévorer accourut. « Quoi ! vous osez, dit-elle, à mes yeux vous produire, Après que votre race a tâché de me nuire ! N’êtes-vous pas souris ? Parlez sans fiction. Oui, vous l’êtes ; ou bien je ne suis pas belette. – Pardonnez-moi, dit la pauvrette, Ce n’est pas ma profession. Moi souris ! des méchants vous

livre et fait partie du second recueil de l’auteur. Elle traite le thème de la guerre, et plus particulièrement le thème de l’homme face à la guerre. Lecture et explication du texte : Une fable est un récit duquel on tire une morale (c’est un apologue) L’auteur, en écrivant une fable, a l’intention de convaincre son lecteur d’adopter ou ne pas adopter tel ou tel comportement. Il va donc mettre en place une stratégie argumentative. Dans cette fable, la fontaine a choisi d’abord de nous raconter

reprend ici son nom, qui représente pour moi l'essence du secret, - le pied droit est refait, mais le coffre est bien intact, - cette gravure de Rousseau à Ermenonville, - tu as mis tes enfants à l'Assistance publique, décevant Helvète3, mais à moi tu souris, - et ce porte-liqueurs où l'eau de coing impatiente attend l'heure du dimanche qui la portera à ses lèvres... Du vrai baccarat4... Du vrai coing... Car tout est vrai, chez elle, et sans mélange. ISABELLE. — Monsieur le Contrôleur, je ne sais vraiment

beurre à l’auberge … - l’histoire du petit tailleur Bilissi (que Fédorine racontait à Brd petit, puis à Poupchette) – (apologue) [« la fille dont tu crois être le père n’est qu’une chimère, et tu es tout désemparé. Crois-tu vraiment que les songes sont plus précieux que la vie ? » dit le chevalier à Bilissi].  XXXIX / pp 364 – 370 : Hier, Brd a remis le rapport à Orschwir – la souris a appris à ne plus faire attention aux chats => détachement et indifférence – à sa demande, le Maire lit le rapport

beurre à l’auberge … - l’histoire du petit tailleur Bilissi (que Fédorine racontait à Brd petit, puis à Poupchette) – (apologue) [« la fille dont tu crois être le père n’est qu’une chimère, et tu es tout désemparé. Crois-tu vraiment que les songes sont plus précieux que la vie ? » dit le chevalier à Bilissi]. XXXIX / pp 364 – 370 : Hier, Brd a remis le rapport à Orschwir – la souris a appris à ne plus faire attention aux chats => détachement et indifférence – à sa demande, le Maire lit le rapport

49 La Chauve-souris et les deux Belettes Une Chauve-souris donna tête baissée Dans un nid de Belette ; et sitôt qu’elle y fut, L’autre, envers les Souris de longtemps courroucée, Pour la dévorer accourut. « Quoi ! vous osez, dit-elle, à mes yeux vous produire, Après que votre race a tâché de me nuire ! N’êtes-vous pas souris ? Parlez sans fiction. Oui, vous l’êtes ; ou bien je ne suis pas belette. – Pardonnez-moi, dit la pauvrette, Ce n’est pas ma profession. Moi souris ! des méchants vous

22 Le Chêne et le Roseau35 LIVRE II37 II, 1 Contre ceux qui ont le goût difficile38 II, 2 Conseil tenu par les Rats40 II, 3 Le Loup plaidant contre le Renard par-devant le Singe41 II, 4 Les Deux Taureaux et une Grenouille42 II, 5 La Chauve-souris et les deux Belettes43 II, 6 L'Oiseau blessé d'une flèche44 II, 7 La Lice et sa Compagne45 II, 8 L'Aigle et l'Escarbot46 II, 9 Le Lion et le Moucheron47 II, 10 L'Ane chargé d'éponges, et l'Ane chargé de sel48 II, 11 Le Lion et le Rat49 II,