Apologue Et Rousseau

moderne peut être identifiée à deux autres segments : l’humanisme et l’individualisme, produits par la révolution cartésienne. A. L’humanisme « l’homme apparaît comme le seul être, ni l’histoire ni la nature ne saurait constituer des codes » (Rousseau) on ne peut pas se tourner vers ces deux sources de vérité pour savoir comment se comporter, cela signifie que l’humanité est absolument libre. L’humanisme va essayer de recentrer le monde, le savoir autour de l’homme, c’est la philosophie qui va

Jean-Jacques Rousseau LES RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE (1817) [pic] Table des matières Préface 3 PREMIÈRE PROMENADE 4 SECONDE PROMENADE 12 TROISIÈME PROMENADE 22 QUATRIÈME PROMENADE 36 CINQUIÈME PROMENADE 53 SIXIÈME PROMENADE 63 SEPTIÈME PROMENADE 73 HUITIÈME PROMENADE 88 NEUVIÈME PROMENADE 100 DIXIÈME PROMENADE 113 Jean-Jacques Rousseau sur Internet

pose en introduction, et auquel le développement permettra de répondre. Problématique et projet de lecture sont synonymes ici. Il s’agit, dans cette problématique, de mettre l’accent sur ce qui paraît contradictoire dans le texte : par exemple, un apologue propose une histoire particulière et il prétend pourtant donner une leçon de portée générale. Voici deux aspects contradictoires sur lesquels la problématique mettra l’accent : « comment un texte qui raconte une anecdote particulière peut-il en même

Candide TEXTE 3 Beccaria, Des délits et des peines D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 R. Badinter, Discours à l’Assemblée nationale ANALYSE D’IMAGE W. Ronis, Rose Zehner TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS M. Luther King, I have a dream J.-J. Rousseau, Discours sur les sciences et les arts 77 78 79 80 81 84 85 86 86 87 87 87 88 89 Les maîtres du discours en sculpture Exercices d’approfondissement 1 Cicéron, Première Catilinaire 2 Saint-Just, Discours à la Convention 3 J.-M. G. Le Clézio

culturels (livre de l’élève, chap. 2 et 3, pp. 24-37). *2. Situer auteurs et œuvres dans différents mouvements L’humanisme  : Montaigne, Essais – Le classicisme : Molière, Tartuffe ; Racine, Andromaque ; La Bruyère, Les Caractères – Les Lumières : Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal – Le surréalisme  : Aragon, Le Paysan de Paris – Le Théâtre de l’absurde : Ionesco

entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. ». « Le génie n’a qu’un siècle, après quoi il faut qu’il dégénère » « Les chefs-d'œuvre du passé sont bons pour le passé : ils ne sont pas bons pour nous. » 5. Rousseau (1712-178) Rousseau affirme qu’il veut « montrer à [ses semblables] un homme dans toute la vérité de la nature » et qu’il « a dit le bien et le mal avec la même franchise »: «Je n'ai rien tu de mauvais, rien ajouté de bon ». 6. Diderot (1713-1784) a.

étaient confisqués, les journaux pouvaient être suspendus. Les auteurs pouvaient être internés à la Bastille, comme Voltaire en 1717 . Parmi les écrivains du XVIIIème siècle dont les livres furent les plus saisis par les autorités figurent Jean-Jacques Rousseau ou encore Beaumarchais et son "Mariage de Figaro". En 1810, un décret de Napoléon rétablit officiellement la censure. Les articles ou dessins censurés étaient alors remplacés par des « blancs ». La censure disparaît officiellement lors de la promulgation de

1742. Il est employé dans l'administration de la marine et envoyé en 1747 à la Martinique comme contrôleur des Îles du Vent ; par la suite il se retire pour se consacrer à ses goûts littéraires. En 1763, il publie L'Aventure du pèlerin, un court apologue dénonçant l'hypocrisie de la cour, puis en 1772 Le Diable amoureux, qui lui vaut d’être considéré comme l’un des pionniers de la littérature fantastique française. En rédigeant Voltairiade en 1783, il critique la philosophie des Lumières. Il publie

deux premiers vers constituent ce qu’il est convenu d’appeler la morale de la fable, le deuxième vers servant d’ailleurs surtout à introduire le récit qu’occupent les vers 3 à 29, et à insister sur sa valeur illustrative. Ce récit est en effet un apologue : il présente tous les agréments du discours narratif, mais il doit aussi être lu au second degré puisque c’est lui qui sert en quelque sorte d’argument à la thèse présentée dans la morale. Le récit présente deux personnages : - un agneau (et non

d’un sonnet. - au mouvement du texte : évolution d’un raisonnement, progression d’une argumentation, développement d’une métaphore filée. - à la visée du texte (implicite, intentions cachées, double sens) et à ses enjeux : En quoi ce texte est-il un apologue ? Quelles sont les valeurs morales qui sous-tendent ce texte ? En quoi ce texte est-il une forme d’art poétique ? En quoi tel portrait a-t-il une valeur argumentative ? Quel est l’enjeu de cette lettre ? - à la réception du texte par le candidat