Apologue Et Rousseau

Dissertation Pensez vous, comme Rousseau, que les fables ne sont pas écrites pour les enfants? Jean-Jacques Rousseau, écrivain et philosophe du XVIIIe siècle évoque dans une partie de sonessai Emile ou De L’éducation son point de vue sur les fables notamment celles de La Fontaine. Il estime que celles-ci ne sont pas adaptées aux enfants et les pense même nuisibles à leur éducation.Nous allons, en un premier temps, développer ci-dessous les raisons de ce jugement. Ensuite, certains, comme la

vérité  La vérité que Rousseau veut servir, à ce moment, est celle qui contribue au «bien public», c’est-à-dire à tous les individus, et de consacrer sa vie au service de la vérité,. On sait que Rousseau emprunte sa devise, vitam impendere vero (« consacrer sa vie à la vérité »), à Juvénal : placée en tête des Lettres sur la montagne, il a écrit déjà dans la Lettre à d’Alembert  : « Vitam impendere vero : voilà la devise que j’ai choisie, et dont je me sens digne » .rousseau revient sur cette proclamation

message de la fiction racontée. (apologue, le conte philosophique) Les genres de l’argumentation : L’Essai : c’est un texte qui expose le point de vue personnel d’un auteur sur un sujet politique, scientifique, historique, de société. Il a pour but d’argumenter (convaincre ou persuader) de façon directe. C’est Montaigne qui a créé le genre de l’essai au 16ème siècle. Puis au 1_ème siècle, l’essai est prisé par le philosophes des Lumières (Voltaire,Rousseau) Au 20ème siècle, l’essai devient

l'utile, n'ayant d'autre mérite et d'autre part à cet ouvrage que le choix. Les personnes de tout état trouveront de quoi s'instruire en s'amusant. ». Dans quelle mesure ces principes peuvent-ils s'appliquer aux essais, contes philosophiques et apologues que vous connaissez ? Voltaire était un auteur classique du siècle des Lumières (XVIIIème siècle) qui a très largement contribué à l'enrichissement de la littérature d'idée au travers de ses contes philosophiques tels que Zadig ou bien l'Ingénu

 ROUSSEAU ET LES FABLES Le texte que je vais vous présenter est un extrait d’Émile écrit par Jean-Jacques Rousseau en 1762. Ce livre décrit l’éducation idéale d’un jeune homme selon Rousseau. L’auteur, pour le situer rapidement, est un écrivain, philosophe français appartenant au siècle des Lumières. Il est contemporain de grands hommes comme Diderot, auteur de La Religieuse, ou encore de Voltaire auteur du conte philosophique Candide. Dans ce texte, Rousseau s’interroge sur le rôle

sait à merveille dissimuler ses critiques derrière des situations banales et rassurantes, parfois même si bien dissimulées que le lecteur peut en rester à un stade où le réel message n’est pas véritablement saisi. Chaque fable ou plus généralement apologue comprend donc un message inquiétant qui tente de déranger le lecteur, mais également dans la forme, tente de le rassurer. Enfin les niveaux de compréhension d’un récit sont conditionnés par le lecteur lui-même, décidant sans le savoir de ce qu’il

type argumentatif, ce sont des apologues. Il s'agit d'une préface aux fables, écrite par le célèbre fabuliste Jean de La Fontaine, d'un extrait d'un traité d'éducation écrit par Rousseau. Ils portent tous les deux a déterminer l'enseignement que l'on tire des fables dans la société et dans l'éducation, ainsi que leur pouvoir d'influence et de conviction sur l'Homme. Elles ont été composées au 17ème siècle ou vers le 18ème. Nous étudierons donc la philosophie de Rousseau, son point de vue sur l'éducation

Dans les jardins du château de Versailles, Jean-Jaques Rousseau alors en pleine conversation avec Denis Diderot, est interpellé par Jean de La Fontaine, assis à quelques mètres de lui sur un banc fait en pierre. LA FONTAINE: (se levant pour se retrouver face à Rousseau) Mon chère monsieur Rousseau, quel plaisir de vous voir en ces lieux. ROUSSEAU: ( surpris ) Monsieur... Me serait-il possible de connaître le nom de l'Homme qui m'interpelle ?  LA FONTAINE: Mais où avais-je l'esprit! ( le

exprimant une vérité morale, ressemblent souvent aux morales de La Fontaine, mais n’ont pas de récit pour les illustrer. De ce fait, elles sont plus complexes à comprendre et s’adressent à un public plus restreint. Ainsi, la présence de récit dans un apologue rend la thèse de l’auteur plus accessible car il illustre le message à faire passer. Par ailleurs, l’accessibilité de ces vérités et le côté plaisant de l’apologue permettent une vulgarisation et du succès. Effectivement, l’apologue est un récit

xviie siècle. Mais elles sont privilégiées au xviiie siècle, essentiellement préoccupé par des questions philosophiques, politiques, morales. Exemples : Fénelon dans son Traité de l’éducation des filles ; Choderlos de Laclos dans De l’éducation des filles ; Rousseau dans l’Émile ou de l’Éducation ; Montesquieu dans L’Esprit des lois ; Voltaire dans son Traité de la tolérance… 2. Leur atout : rigueur de la pensée et de ­l’argumentation Pour mener une réflexion et convaincre, il faut de la rigueur. Ces