Apologue Et Rousseau

------------------------------------------------- -« L’invitation au voyage » LIII 2ème séquence : Vérité et mensonge Objet d’étude : Convaincre, délibérer, persuader Perspectives d’étude : L’argumentation Les genres : apologue, essai, dialogue L’utopie PROBLEMATIQUE : Dangers de la vérité, dangers du mensonge… fables, utopies, contes philosophiques : pourquoi un tel choix ? ------------------------------------------------- Lectures analytiques : -------------------------------------------------

la guerre. Ses Lettres philosophiques sont autant d'informations contre les mauvaises réformes politiques et sociales qui oppriment le « peuple ». Il milite pour un monde meilleur avec son Traité sur la tolérance et ses contes (comme Candide). Rousseau manifeste, lui, un souci d'égalité et de justice sociale. L'homme doit apprendre à se connaître et à s'aimer pour mieux comprendre les autres et la société. Il ne faut rien imposer, mais laisser se développer la curiosité. Selon Condorcet, dans

En lui supposant réellement l'objet d'être entendue des enfants, de leur plaire et de les instruire, cette fable est assurément son chef-d'oeuvre : qu'on me permette donc de la suivre et de l'examiner en peu de mots. Rousseau analyse ensuite « à la manière d'un enfant » Le Corbeau et le Renard de La Fontaine et conclut qu' « on leur apprend moins à ne pas le laisser tomber de leur bec qu'à le faire tomber du bec d'un autre ». La fable opère donc sur l'enfant l'effet inverse de celui escompté : Suivez

injustices, qu'il s'agisse des fables, des apologues ou du roman réaliste, historique ou autobiographique. Dans un deuxième temps, au-delà des distinctions entre les nombreux genres littéraires, nous montrerons que l'expression des sentiments et des convictions, tout comme le rire satirique contribuent, de la même façon, à la dénonciation des maux de la société. Les ressources multiples de la fiction A. Le didactisme des fables, apologues et autres contes... *l'apologue, récit contenant

courtisans, à qui cette fois, il reproche leur hypocrisie dont ils font preuve pour avoir une place auprès du roi. En effet, Jean de la Fontaine remet complètement en cause l'absolutisme royal et les principes de Louis XIV et de sa Cour. Jean-Jacques ROUSSEAU dans ses fables présentent souvent une vision pessimiste de la vie, qui n’a rien de merveilleux contrairement à la vision de la fable chez l’enfant : Dans ce monde, les Animaux contractent la peste qui les décime, le Cerf tombe malade dans Le

s´adresse autant à la raison qu´aux sentiments, le récit s´avère donc un moyen particulièrement efficace de faire passer ses idées. Il est par ailleurs très varié et s´inscrit dans de nombreux genres : le récit à valeur de témoignage (Texte B), l´apologue, récit concentré et donc particulièrement efficace (fables de La Fontaine, fabliaux, contes philosophiques...) mais aussi passages de romans (chez Hugo ou Zola par exemple), scènes de théâtre et même poèmes (Texte C). &9679; Le dialogue enfin est

avant la critique de la peine de mort par Hugo, Rousseau fustigeait déjà l’inégalité des hommes à travers un essai : Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes. En effet, il décrit tout d’abord l’homme primitif dans un monde naturel, voire utopique, pour mieux dénoncer dans la seconde partie de l’ouvrage l’inégalité des hommes, engendrée par la propriété. De même, dans son Discours sur les sciences et les arts, Rousseau soutient que les sciences et les arts sont responsables

lettres et de se présenter comme un simple traducteur. Artifice bien connu de l'époque par lequel Montesquieu prévient les accusations de légèreté ou d'invraisemblance et excuse l'audace de la satire. XI - XIV Histoire des Troglodytes. Voici le premier apologue. La narration s'étale sur quatre lettres, ce qui permet de l'émailler d'un discours où le philosophe pose et illustre la notion fondamentale de vertu : « l'intérêt des particuliers se trouve toujours dans l'intérêt commun ». A la critique sévère

s´adresse autant à la raison qu´aux sentiments, le récit s´avère donc un moyen particulièrement efficace de faire passer ses idées. Il est par ailleurs très varié et s´inscrit dans de nombreux genres : le récit à valeur de témoignage (Texte B), l´apologue, récit concentré et donc particulièrement efficace (fables de La Fontaine, fabliaux, contes philosophiques...) mais aussi passages de romans (chez Hugo ou Zola par exemple), scènes de théâtre et même poèmes (Texte C). ● Le dialogue enfin

L'argumentation Convaincre = essayer de rallier l'autre à sa cause par le biais de la RAISON (avec des arg directes.) Persuader = essayer de rallier l'autre à sa thèse par le biais des SENTIMENTS et des EMOTIONS. Apologue = fiction courte qui vise à nous faire réfléchir. *Les Essais, Montaigne (1595) thème = la monstruosité Montaigne = humaniste du XVIe siècle (mvt littéraire = humanisme) Les références des humanistes = auteurs ANTIQUES (Platon, Socrate) humanisme = valorisation