Apollinaire La Porte

« A la lueur d’une bougie Je t’écris ces quelques mots… » La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. paul valery …et de ces combats jaillirent les mots… Guillaume Apollinaire Première guerre mondiale A.Contexte historique La Première Guerre mondiale est un conflit qui eut lieu entre 1914 et 1918. Il impliqua la plupart des grands pays de l’époque (France, Angleterre, Russie, Japon, Empire ottoman) et leur colonie.

poèmes de cette première partie : Les Colchiques, de Guillaume Apollinaire, que j'ai choisi car je trouve qu'il montre parfaitement la douleur que peut causer l'amour. Duellum, de Charles Baudelaire, choisit pour la vision des amants qui s'entre-déchirent. Amour binaire, de Sybille Rembard, pour l'angoisse du à l'amour. A Georges Sand VI, d'Alfred Musset, pour le désespoir lié à l'amour. Je t'écris ô mon Lou, de Guillaume Apollinaire, qui montre le déchirement de deux amants, quand l'homme doit partir

classification de ces titres au rang de mythes suscite de l’étonnement. Une question subsiste néanmoins pourquoi Apollinaire aurait-il donné aux titres de ces poèmes des noms de mythes ? d) Les lieux Certains titres d’alcools renvoient à une place ou un lieu. On peut citer : « Zone, Le pont Mirabeau, Palais, A la santé, Hôtels » e)La mort Dans ce thème, notre classification porte uniquement sur trois poèmes : « La maison des morts, Le brasier, L’Adieu » f) Le temps et les saisons On note ici : « 1909

Objet d’étude : La poésie Texte A : Joachim Du Bellay (1522-1560) – Les Regrets (1558) – Sonnet XII Texte B : Alfred de Musset (1810-1857) – Poésies nouvelles – « La mie prigioni » Texte C : Guillaume Apollinaire (1880-1918) – Alcools (1913) – « A la Santé » Texte D : Albertine Sarrazin (1937-1967) – Poèmes (1969) Texte A : Joachim Du Bellay (1522-1560) – Les Regrets (1558) – Sonnet XII [En 1553, Joachim Du Bellay accompagne à Rome son cousin, le cardinal Jean Du Bellay, parti négocier

juillet 2004 Sanglots de Guillaume Apollinaire, mis en musique pas Francis Poulenc Notre amour est réglé par les calmes étoiles Or nous savons qu'en nous beaucoup d'hommes respirent Qui vinrent de très loin et sont un sous nos fronts C'est la chanson des rêveurs Qui s'étaient arraché le coeur Et le portaient dans la main droite Souviens-t'en cher orgueil de tous ces souvenirs Des marins qui chantaient comme des

le définit comme « une dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale ». Ce mouvement s’oppose donc aux nouvelles idées du siècle, annoncées notamment par Guillaume Apollinaire, célèbre poète toujours en quête de diversité et de nouveauté. Il déclare dans sa conférence l’Esprit nouveau et les poètes, « Le moindre fait est pour le poète le postulat, le point de départ d’une immensité inconnue où flambent les feux de joie

demande si elle aime s'en souvenir. Il décrit le passé à travers le champs léxical de la vieillesse. Ce poème est donc construit sur cette idée de souvenir. Le troisième poème : "Cors de chasse", est écrit par Guillaume Apollinaire. Guillaume Apollinaire utilise une allégorie afin de comparer le souvenir à un cors de chasse ; Il raconte l'histoire de Thomas de Guincey, qui, en songeant à sa defunte Anne, décide de se suicider. Ce personnage décrit l'auteur. Le thème du souvenirs

ZONE d'APOLLINAIRE (1912) Compose en 1912, ZONE est chronologiquement le dernier poeme ecrit par l'auteur avant la publication de l'oeuvre. Il est pourtant en tete du recueil, et cette situation temoigne de l'interet que porte l'auteur sur ce texte. Si l'on part de l'etymologie du mot grec « zoné » qui signifie ceinture, le sens du titre suggérait ainsi, sur le plan de la forme la « composition circulaire », « en boucle » du receuil. Ainsi ZONE c'est le recit d'une dehembulation a la fois dans

d’Ulysse, pour l’attirance et la mort qu’elles provoquent chez les marins et chez le poète. Font référence à Annie • « Un vin trembleur comme une flamme » : ici, trois mots clés : * Vin = alcool : maître mots du recueil puisque ce dernier en porte le titre ; * Trembleur = frayeur, peur… de la femme maléfique ; attribué au vin = hypallage. - Flamme = feu avec toutes ses déclinaisons symboliques (enfer,…) ; 2) La femme, un être bienfaisant, une fée : Pour lutter contre l’emprise

 Calligrammes, Guillaume Apollinaire « Il y a » Il y a un vaisseau qui a emporté ma bien-aimée Il y a dans le ciel six saucisses et la nuit venue on dirait des asticots dont naîtraient les étoiles Il y a un sous-marin ennemi qui en voulait à mon amour Il y a mille petits sapins brisés par les éclats d'obus autour de moi Il y a un fantassin qui passe aveuglé par les gaz asphyxiants Il y a que nous avons tout haché dans les boyaux de Nietzsche de Goethe et de Cologne