Anti-mondialisme

relève sinon d'un mythe, du moins d'un abus de langage ». Mondialisme Si la mondialisation est un processus qui se traduit dans les faits, le mondialisme est une idéologie. Celle-ci affirme le caractère inéluctable de la mondialisation et son incompatibilité avec la structure de l'État-nation, son caractère inhérent à vouloir apporter la paix définitive par l'instauration d'un gouvernement mondial passant par un humanisme. Le mondialisme en tant que tel ne constitue cependant pas une idéologie

existe d’autres cultures et nous avons à vivre de plus en plus ensemble, à la fois à l’échelle mondiale et dans le mélange de nos sociétés individuelles » (p. 97). Cette fois, le mot est lâché : « mondiale ». Aveu d’impuissance ou plaidoyer ? Le mondialisme frappe à la porte ; pas question de le laisser attendre. Quelle peut être cette « voie moyenne » pour faire face à un tel déterminisme historique présupposé par Taylor ? L’obsession de l’universitaire revient : « une attitude que nous prenons en

gauche dans le « champ partisan » et la professionnalisation des militants qui en a résulté. Dans la seconde partie, les raisons qui sont à l’origine du basculement dans le champ militant et à la création d’associations se revendiquant de l’alter mondialisme vont être étudiées. I. Les raisons du déclin du militantisme politique traditionnel Les arguments en faveur du déclin du militantisme politique sont multiples. Dans cette partie, il ne sera étudié que la professionnalisation du champ

entre les quartierds des grande metropoles B. une aute mndialisaiton ete eelle posssible? former par ,de smilitains anti dapitamloste pacifiste et éconlofique le movement c praidement elaergit a tosu les rspbloes des civiles. Depuis 2001 il ornganise de sforu!s sociaux mondiaux e reaction au forum eocniqliue mondaiux ; dans c eocntete, les ONG consittue le coeur e lalter mondialisme . ell se structur e,e reseua ^lanetaore forme des groupes de pression azu pres instiution intern; néanmoins, l'altermondialisme

comme un sentiment national plus ou moins répandu et exalté au sein de la population d'un pays, et s'invitant (surtout au XXe siècle) au sein de multiples doctrines ou idéologies politiques, allant du communisme (par exemple le concept de Patriotisme anti-impérialiste de Mao Zedong) et du fascisme (concept de Totalitarisme anticapitaliste de Benito Mussolini) jusqu'aux démocraties parlementaires, en passant par la Troisième Internationale léniniste. Ainsi il a souvent servi de justification aux épurations

classe moyenne vote autant à gauche qu’à droite. Ils seraient même la population la plus fidele à la gauche. C’est parmi la classe moyenne que nait des mouvements contestataires orientés à gauche, comme l’écologie ou la dissidence anti mondialiste, et l’alter mondialisme. D’autres avancent qu’il est impossible de parler de conscience commune, car ce qui caractérise le plus la classe moyenne, c’est l’individualisme. En effet, la facilité d’ascension sociale les met à l’abri de tout déterminisme

On distingue deux dynamiques : de prima-facie, les idéologies politiques influencent le système économique dans un pays en ceci qu’il est la résultante des actions politiques. Ensuite, les décisions politiques agissent sur la politique. Alter-mondialisme : autre mondialisation. BIBLIOGRAPHIE Campagnolo, Gilles : Critique de l’économie politique classique, PUF, Paris, 2004 INTRODUCTION L’économie politique est une subdivision de la science politique relevant de l’interdisciplinarité et vise dans

Pb : Dans cette situation les Etats sont-ils dépassés et les civilisations sont-elles en cours d’effacement ? I. Mondialisation et développement Doc 1 page 36 : Un texte de 2003 Les arguments de l’alter mondialisme. * C’est la bataille contre l’OMC contre le libre-échange, anti capitaliste. * L’action doit privilégier les exclus de la mondialisation. * Les Etats capitalises sont visés, en 1er les E-U. * L’économie capitaliste est qualifiée d’ultra-libérale. La critique

Ils veulent un progrès social et proposent un ensemble de valeurs sociales et soucieuses de l'environnement. Les participants à ce mouvement s'opposent à ce qu'ils appellent « les logiques économiques de la mondialisation néolibérale ». Le terme anti-mondialisation a été le premier utilisé par les journalistes pour désigner le mouvement contestataire. En 1999, le terme « altermondialisme » ou « altermondialisation », d'origine belge, fut introduit dans la francophonie pour mettre en avant le caractère

Altermondialisme Le mouvement altermondialiste ou altermondialisation est un mouvement qui, face à une logique du mondialisme néolibérale, met en avant des valeurs comme la démocratie, la « justice économique », la protection de l'environnement et les droits humains. Il s'agit donc pour les acteurs de ce mouvement de concevoir et d’œuvrer à une mondialisation maîtrisée et solidaire, par opposition à la mondialisation actuelle, jugée selon eux injuste et dangereuse. Assez hétérogène, le mouvement