Anévrisme

paroi libre, d’un pilier de la valve mitrale). Les complications tardives : les patients sont a risques de récidiver un angor résiduel (angor d’effort), e faire une insuffisance cardiaque, faire des trouble du rythme ventriculaire et risquent un anévrisme ventriculaire gauche. Le traitement : c’est la revascularisation en urgence, antalgie si besoin, ces patients doivent être scopés et perfusion. Ans un premier temps on thrombolyse afin de lyser le thrombus ou une angioplastie primaire (en cas d‘échec

bouché, ca donne une TROMBOSE (nécrose des tissus) Dans une artère coronaire => infarctus du myocarde Au cerveau => AVC (accident vasculaire cérébral) Aux jambes => phlébites Il peut y avoir un phénomène de dilatation des capillaires (appelé un anévrisme)  Rupture et saignement interne Les varices surviennent lorsqu’il n’y a pas de rupture, mais une destruction de la paroi rugueuse du au sang qui stagne au lieu de monter (jambes) c) Sang Taux d’hématocrite : pourcentage de globule rouge dans

cocaïne sont l'hypertension artérielle, l'ischémie coronaire et l'infarctus du myocarde, les myocardiopathies aiguës et chroniques, les troubles du rythme et de la conduction, les morts subites, les dissections aortiques, les endocardites et les anévrismes cérébraux. Du fait des modes d'action de cette drogue, la prise en charge des accidents cardiovasculaires est particulière et doit éviter l'administration de bêtabloquants*. * Substance chimique de l’organisme appartenant aux neurotransmetteurs

Artérite oblitérante des MI : Ischémie aigue de jambe : Jambe blanche ou bleu, algique. Zone de nécrose. Absence des pouls. Urgence : risque d’amputation. 2 mécanismes : ➢ Occlusion d’une artère pathologique. ➢ Cause cardio-embolique. Anévrisme de l’aorte : Dilatation anormale de la taille de l’aorte. Risque de rupture. Dépistage difficile. Traitement chirurgical.

aggravant l’HTA initiale = HTA rénovasculaire. – Néphroangiosclérose (dans 30% des cas): • par atteinte des artérioles aboutissant à une insuffisance rénale chronique • Vasculaires: – Atteinte des gros troncs artériels: • dissection aortique, anévrisme de l’aorte thoracique ou abdominale – Atteinte des artères de moyen calibre: • artériopathie oblitérante des membres inférieurs – Atteinte des artères de petit calibre: • rétinopathie hypertensive : risque de cécité Historique : les

traitement par radiofréquence puis d'en surveiller les complications (constitution d'un pneumo ou hémothorax). En urgence, il permet le diagnostic d'une grande variété de pathologies : pneumothorax, hémothorax, embolie pulmonaire, dissection ou anévrisme aortique, atteintes osseuses (fracture de côtes ou du rachis dorsal)… Échographie Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Imagerie par Résonance Magnétique Cette section est vide, insuffisamment

hématome, collection sanguine qui comprime les structures cérébrales normales et les détruit ou les empêche de fonctionner correctement. La rupture d’une malformation artériole-veineuse dans le tissu cérébral a les mêmes conséquences. La rupture d’un anévrisme artériel dans les espaces péri-cérébraux constitue une hémorragie méningée. L’AVC n’est pas douloureux, il peut en outre entraîner d’une minute à l’autre une paralysie, un trouble du langage ou de la conscience qui ôte les capacités d’appeler les

neuronale, due au manque d’apport en oxygène. La récupération n’est possible qu’avec le temps et une rééducation. * 15% des AVC sont hémorragiques. On parle alors d’hématome. * 5% des AVC sont des hémorragies méningées. La cause est un anévrisme artériel d’origine malformative qui provoque des céphalées brutales liées à l’irruption de sang dans les espaces sous arachnoïdiens. Les principaux facteurs de risque des AVC : * L’Hyper Tension Artérielle (la moitié des AVC surviennent

L’ossification avait marché avec une rapidité très-insolite – un mois auparavant on n’en découvrait encore aucun symptôme – et l’adhérence n’avait été remarquée que dans ces trois derniers jours. Indépendamment de la phtisie, on soupçonnait un anévrisme de l’aorte, mais sur ce point les symptômes d’ossification rendaient impossible tout diagnostic exact. L’opinion des deux médecins était que M. Valdemar mourrait le lendemain dimanche vers minuit. Nous étions au samedi, et il était sept heures du

mHG ou 120/80 mmHG La bonne tension arterielle est de 12/8 ; HYPERTENSION : 14/9 HYPOTENSION : 10/6. Contrindication a la prise de tension : patient avec fistule, paralysie, perfusion ANEMIE : diminution de nbrs d’ hematies dans le sang. ANEVRISME :dilatation localisée de la paroi d’1 artere ANTICOAGULANT :médicament qui fluidifie le sang BRADYARYTHMIE : ralentissement et irrégularité du rythme cardiaque HEMATOME : épanchement de sang en dehors des vaisseaux ISCHEMIE : arret ou insufisance