Analyse Sketch Desproges

Développement sur le Rire « On peut rire de tout mais pas avec tout le monde » Desproges. Les erreurs qui ont été faites : • ne pas prendre en compte le sujet et plaquer des idées toutes faites : énumérer , par exemple, toutes les fonctions du rire sans les rattacher au sujet. • « raconter » les exemples sans les analyser c’est-à-dire sans expliquer en quoi ils illustrent l’idée ou la complètent. • Dire des banalités, c’est-à-dire formuler de manière vague des phrases « passe-partout » comme

par rapport à l'univers qui l'englobe c'est parce qu'il peut triompher au moins verbalement de ce qui l'écrase. C'est la pensée qui permet cette liberté par rapport à la nature. . le rire est le propre de l'homme car lui seul peut s'abstraire et analyser d'une situation, se mettre à distance des urgences, se déprendre d'un rapport immédiat au monde . pour rire il faut avoir l'aptitude (que n'a pas l'animal) de regarder les choses du dehors . il n'y a pas de circonstance, de scène, d'objet ou de

Évolution de son entourage 5.1.1 Rencontre avec Alain Soral 5.1.2 Autres membres de son entourage 5.1.3 Rapprochement avec les milieux islamistes 5.1.4 Relations avec les communautaristes noirs 5.1.5 Rapprochement avec le Front national 5.1.6 Analyses de l'évolution politique de Dieudonné 5.2 Relations avec les milieux négationnistes 5.3 Liste antisioniste aux élections européennes de 2009 5.4 Prises de position internationales 5.5 Actualités et nouvelles polémiques de 2009 à 2013 5.5.1

Antique 3) Le Moyen Age 4) Jusqu’à nos jours B. Historique de la caricature 1) Chronologie C. Les humoristes et la politique 1) Coluche président ! 2) Pierre Desproges 3) Thierry Le Luron II. L'HUMOUR, VECTEUR D’INFORMATION A. L’impact de l’humour 1) La presse 2) La télévision 3) La radio et Internet B. La question délicate de l’éthique

Réflexion sur le thème « Rire, pourquoi faire ? » I. Analyse lexicale 1. Le substantif « rire » Le verbe « rire » est attesté en français depuis le XI ème siècle. Dès son apparition, il signifie « rire », puis « sourire » dans le sens moderne que nous lui connaissons. Le substantif « rire » est attesté depuis le XIII ème siècle et traduit l’action de rire. Le verbe « rire » fait l’objet d’une multiplicité d’emplois ce qui traduit l’omniprésence du rire dans notre vie mais aussi le souci

époque que ce début de siècle anxiogène qui grisaille nos quotidiens et charbonne notre joie de vivre. Pour résister à l'adversité, le rire s'impose comme un réflexe naturel, un exutoire nécessaire. Nul besoin d'être prix Nobel de médecine pour analyser les effets bénéfiques (renforcement du système immunitaire et réduction du stress) que procurent à l'organisme quelques bouffées d'hilarité : les endomorphines cérébrales que libère l'action de nos zygomatiques agissent comme une arme anti-déprime

détendre, naturellement, évidemment. Si on se pose la question « le rire : pour quoi faire ? », chacun répondrait la même chose : pour se détendre, pour oublier les mauvaise côté de la vie, pour s’évader, pour alléger le quotidien. Voilà pourquoi les sketchs, les émissions, les séries télés sont là. 4. Le rire contre l’esprit du sérieux. EX : La photo la plus célèbre du plus célèbre des savants du XXe siècle, Einstein tirant la langue, ou encore un cliché de Cohn Bendit en 68 face au CRS. Platon

Rire et écrire Analyse de pratique Diplôme Universitaire d’Animateur d’Atelier d’Ecriture S.U.F.C.O. Université Paul Valéry – Monique Nicque – 2000/2001 Qu’est-ce que le rire ? Dans l’Encyclopédie, Voltaire en a rédigé l’article ainsi : " Le rire est le signe de la joie, comme les pleurs sont le symptôme de la douleur. " Il ajoute qu’il est le résultat de l’étirement vers les oreilles du muscle zygomatique, l'un des treize muscles de la bouche. " Les animaux ont ce muscle

Le plus important est de synthétiser les documents. L’idée est de confronter les documents, pas de les résumer un à un. Les compétences requises sont l’analyse et la reformulation. On doit faire une première lecture du corpus, dite active. Il faut analyser le paratexte, définir la nature du document, dégager l’idée générale, hiérarchiser les idées, etc. La première lecture correspond environ à 15 min. Le deuxième lecture est une lecture approfondie, on s’interroge sur le genre du texte (4 genres littéraire :

la comédie ne fait pas toujours rire. La registre comique dont nous parlons ici correspond au second sens, même si certains extraits qui l'illustrent sont eux-mêmes issus du théâtre. Analyser les raisons pour lesquelles rient l'auditeur d'une histoire drôle, le lecteur d'un texte humoristique, le spectateur d'un sketch est une tâche difficile: parfois, ce qui fait rire les uns ne fait pas du tout rire les autres... On peut donc considérer qu'il y a des conditions favorables à la naissance du rire,