Analyse Kronenbourg

à 80% entre 3 groupes européens : * Heineken (via le holding Sogebra) avec 28% de part de marché. Cette holding détient entre autre la brasserie Fisher. * InBev (Artois, Leffe, Hoegaarden, Boomerang) avec 9% de part de marché. * Kronenbourg (Grimbergen, Bud, Foster’s, Beamish…) avec 43% de part de marché. Les petites brasseries représentent environ 20% de part de marché. La brasserie Duyck (Jenlain), par exemple, fait figure d'irréductible sur le marché de la bière, bien qu'elle

De mémoire de brasseur, cela ne s'était jamais vu... Au lendemain du vote à l'Assemblée nationale de cette taxe, LSA a réuni le 26 octobre quatre brasseurs - Pascal Sabrié, PDG d'Heineken France ; Jean Hansmaennel, vice-président des Brasseries Kronenbourg ; José Lafuente, responsable France d'AB InBev ; Raymond Duyck, président de la PME Jenlain ; ainsi que Gérard Laloi, président de l'Association des Brasseurs de France (ABF) depuis 2005 - afin d'évoquer les conséquences d'une telle mesure. Des

à 2005) Grandes surfaces Les grandes surfaces représentent les 2/3 des ventes du circuit alimentaire avec 11,8 millions d’hectolitres vendus en 2006. On trouve généralement en grande surface les grandes marques de bière comme Heineken, Kronenbourg, 1664 ou encore des cocktails à base de bière comme la Desperados ou le Panaché et le Monaco de la marque Panach’ filiale du groupe Heineken. Il existe depuis début 2007 des tireuses à bière disponibles sur Internet ou en GMS. Les recharges

Spéciales » et de « Spécialités » regroupent quant à elles 45% des ventes. Les bières « Classiques » sont les bières qui possèdent 4,5 ° à 5,5 °d’alcool. Ce sont les bières les plus consommées en France. Quelques exemples de bières Classiques: Kronenbourg, Kanterbräu, Obernai et Kanterpils. Les bières « Spéciales » sont à densité élevés avec undegré d’alcool supérieur à 5,5 %. Elles sont en générale de type fermentation haute. Elles représentent environ un tiers de la consommation des français

nette augmentation depuis une dizaine d’années. * La diversité des offreurs On constate actuellement de nombreuses structures qui coexistent sur le marché de la bière. Tout d’abord les grands groupes internationaux tels que les brasseries Kronenbourg ou Heineken. Apparus dans les années 1880, ces deux géants contrôlent 80% du marché français. Vient ensuite les grandes brasseries familiales (Meteor en alsace par exemple) qui allient traditionalisme et techniques industrielles. On retrouve également

Large", nom d'un établissement breton, afin de communiquer à travers une enseigne. Mais Kronenbourg à débaptisé des bistros en leur donnant des noms plus ludiques, pour donner plus de relief à leur communication. Ainsi le Bacchus de Chatelaudren est devenu "Aux bons moments, mais aussi aux autres", la brasserie de Paris à Tarbes a été rebaptisé "Aux copines qui ont de la conversation"... La brasserie Kronenbourg a donc concilié la création et les lieux de distribution. De plus, en limitant l'expression

bières : Les bières sont classées selon leur degré densimétrique d’alcool Les bières sans alcool Moins de 1,2° d’alcool (Tourtel, Buckler...) Elles représentent moins de 8%des ventes en volume. Les bières “de luxe” Entre 4 et 5 ° d’alcool (Kronenbourg, Stella Artois...) Le coeur du marché : 60% des ventes mais en régression (- 3,4 % en volume, - 2,6 % en valeur en N-2). Avec ses 4,7°, la Cagole se place dans cette catégorie. Les bières spéciales (18% des ventes) A partir de 5° d’alcool

bouteilles de Kronenbourg représente la moitié des ventes de la marque en magasin Photo © Kronenbourg "Nous sommes meilleurs chez les jeunes et les hommes de plus de 35 ans" Gros et petits buveurs, réguliers et occasionnels, Nord et Sud de la France : les consommateurs de Kronenbourg et de Heineken présentent des caractéristiques bien différentes. Les hommes et les jeunes chez Kronenbourg Plus chère que les marques de distributeurs ou les premiers prix, la bière Kronenbourg n'en demeure pas

premières position (32,3% de part de marché), suivi des bières spéciales (31,6% de pdm), et enfin des bières de luxe (29.5% de pdm). Avec cette baisse des bières de luxe, des marques comme Kronenbourg, Kanterbrau ou encore 33 export ont vu leur vente diminué (respectivement -8,2%, -15,4% et -4,5%). Kronenbourg, afin de revaloriser la marque, a choisi la stratégie par image : le packaging met en avant le célèbre damier blanc et rouge, et une nouvelle bouteille plus élancée. Un slogan a été mis en

3/4 des ventes en grande distribution : Moins de 1,2° d’alcool (Tourtel, Buckler...) Elles représentent moins de 8 % des ventes en volume. les bières “de luxe” - les brasseries Kronenbourg avec 9,9 millions d’hectolitres produits, soit près de 50 % du marché, Entre 4 et 5 ° d’alcool (Kronenbourg, Stella Artois...) Le coeur du marché : 60 % des ventes mais en régression (- 3,4 % en volume, - 2,6 % en valeur en 2001). - la Sogebra (Heineken) avec 5,1 millions d’hectolitres produits