Analyse De La Préface De Cromwell

la Révolution de 1789 dont l'un des acquis a été la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. L'expression "mal du siècle" fut utilisée pour la première fois par Musset en 1836 dans La Confession d'un enfant du siècle. Dans cette œuvre, il analyse le désarrois de la jeune génération face à leur rêve de liberté et d’ascension sociale qui sera brisée par le retour de la monarchie , l’épopée révolue de Napoléon. À cause de ce désenchantement, cette génération recherche un ailleurs et se retrouve

métamorphosé en don César (I, 5) . ✔ On notera enfin l'originalité de l'ouverture de ce drame : « classique » par certaines aspects, mais qui s'inscrit résolument dans la forme révolutionnaire du « drame romantique », exposée par Victor Hugo dans la préface de Cromwell. Problématique : Dans quelle mesure cette scène d'exposition s'écarte-t-elle de la tradition classique ? I) Une exposition qui par certains aspects se rapproche de la tradition classique a) L'efficacité dramatique de l'exposition – Force est

revenant, privé de son identité. Son arresta- tion le replonge dans le néant, et permet à Ruy Blas de prendre son nom, ce qui constitue une deuxième mort. On conçoit enfin que le démasquage devra intervenir au moment dramatique le plus fort. Dès Cromwell, Hugo donne un titre aux actes de ses drames. Leur liste indique la hiérarchie des person- nages. Nous en relevons bien quatre principaux, don- nant leur nom aux actes I à IV. Le cinquième rassemble le trio des survivants. Acte II. « La Reine d’Espagne

probablement le plus grand poète du XIXe siècle. Il voit le poète comme un guide qui doit mener l’home à la vérité. Il sent le être dans une mission humanitaire et religieuse : «car le Mot c'est le Verbe, et le Verbe c'est Dieu ». L’œuvre Préface de Cromwell expose la théorie romantique telle qu’il la sent et expose la liberté dans l’art. Une des ses premières pièces, Hermani, a devenu célèbre pour la bataille supposait entre l’esthétique classique et le romantisme. Il est un auteur qui dénonce

incipit du Pilon de Ph. Desalmand ; le portrait de Mme Bouvillon dans Le roman comique de Scarron, p. 68, extrait de la préface des Liaisons dangereuses ; lecture cursive au choix : David Levithan, Dictionnaire d’un amour OU Mitch Albom Les cinq personnes que j’ai rencontrées là-haut OU Jasper Fforde La tyrannie de l’arc en ciel Autres travaux et activités personnelles : analyse du générique de la série télé Dexter SÉQUENCE N° 2 : étude d’un groupement de textes La poésie amoureuse du Moyen

créateur et écrit un théâtre nouveau, à lire en petit comité ,qui dépasse toutes les contraintes dramatiques de l’époque et se concentre sur le texte lui-même et se projette vers un au-delà temporel. Dans ce cadre-ci on situe la pièce objet de notre analyse Mangeront-ils ?: Une pièce privée elle aussi de représentation théâtral et qui en ne souciant pas des contraintes liées à ce type de représentation devient une pièce libératrice du genre qui crée un univers féerique ou toutes les mélanges sont possibles

métamorphosé en don César (I, 5) . On notera enfin l'originalité de l'ouverture de ce drame : « classique » par certaines aspects, mais qui s'inscrit résolument dans la forme révolutionnaire du « drame romantique », exposée par Victor Hugo dans la préface de Cromwell. ✔ ✔ Problématique : Dans quelle mesure cette scène d'exposition s'écarte-t-elle de la tradition classique ? I) Une exposition qui par certains aspects se rapproche de la tradition classique a) L'efficacité dramatique de l'exposition

Proposition de lecture analytique pour l'exposition de Ruy Blas (acte I, scène 1) ✔ La fonction d'une exposition est d'abord d'informer (mise en place de l'intrigue, présentation des personnages, ancrage dans un lieu et une époque), mais aussi de séduire : il faudra étudier comment cette première scène s'articule autour de ce double objectif d'information et de séduction. ✔ Notons qu'en réalité l'exposition à proprement parler s'étend sur tout le premier acte : mise en place du motif de la vengeance

du romantisme d’Iéna de 1797 à 1801. Elle s’organise notamment autour des frères Schlegel et de la revue Athenäum. Pour les auteurs d’Iéna, l’œuvre romantique mêlait la représentation naïve à la représentation réfléchie, tout art dans devait être analysé et/ou remis en question. La deuxième période est celle du romantisme d’Heidelberg (également appelé Hochromantik), « Heidelberg » du nom d’un des deux grands cercles de ce mouvement de 1804 à 1809 (le deuxième cercle d’artiste étant celui de

que les baroques mais ils perdent leur liberté dans les tragédies. Idéal de l’honnête homme (sociable, conversation, simplicité, savoir). Croient en l’existence d’une nature humaine, permanente et universelle. Imitent les auteurs de l’antiquité, analyses psychologiques, moralistes. But : plaire et instruire. Doctrines (abbé d’Aubignac) mises en forme par Boileau dans « art poétique ». Distinction et hiérarchie des genres, vraisemblance (3 unités), bienséance. Les lumières XVIIIe, courant européen