Amour défendu

prix Goncourt. C'est un roman autobiographique qui évoque le milieu familial de l'auteur pendant son adolescence en Indochine. Marguerite Duras y raconte son aventure amoureuse et parce que cet amour était contraire aux principes sociaux familiaux et aux traditions de l'époque, il devient en fait l'amour défendu et même impossible. Dans l'analyse nous essaierons de voir ce qui a poussé l'héroine à aller au delà des interdits, comment elle les a transgressées et l'influence de la famille et de la culture

malade Domaines artistiques : Arts du son Thématiques : Arts, mythe et religion Sujet : « Un classique de la littérature transposé de nos jours, dans une cité de la banlieue française. Les protagonistes s’aiment malgré les différences culturelles défendues par leurs familles. Juliette est juive et Roméo musulman» 1) Présentation de l’œuvre * Titre : Romeo kiffe Juliette * Nom du compositeur : Grand Corps Malade, Fabien Marsaud * Date : 2010 * Epoque de composition : XXème siècles

 Roméo et Juliette, adapté et mis en scène par Ned Grujic. PAGE 5 : introduction. PAGE 7 : des personnages et une intrigue similaires. PAGE 13 : un amour impossible tourmenté par des oppositions. PAGE 17 : une fin tragique. PAGE 28 : conclusion. PAGE 29 : bibliographie. William Shakespeare est né le 23 avril 1564, et est mort également un 23 avril, en 1616. Il est considéré comme un des plus

révolution. Dans un premier temps, celui-ci estime que l’action terroriste a comme seule limite l’honneur. Un meurtre diffère d’un acte de justice, car ce dernier est motivé par l’honneur qui est ‘’la dernière richesse des pauvres’’ et qui doit être défendu pour se faire respecter selon Yanek. Puisque la révolution défend l’humain, sa dignité ne doit jamais être atteinte en son nom et donc, l’honneur lui est indissociable, comme le dit Yanek: ‘’Et, si un jour, moi vivant, la révolution devait se séparer

dérèglement de ses sens, lui impose un amour défendu et maudit. On peut d’abord constater l’amour coupable lorsqu’elle dit : « Je m’abhorre » L.49. Ces quelques mots l’obligent à se détester pour le mal fait à Hippolyte dans le but de cacher son amour. Elle hait ce sentiment éprouvé pour un fils, mais c’est une obligeance, une destinée hors de son contrôle. Il y a tant de mots décrivant sa peine tels que « fol amour » et « trouble ma raison » L.46 démontrant cet amour impossible avec elle et contre elle

donne un exemple sur un constat = fait incontestable = argument d'autorité = « l'imagination fait trouver du plaisir...conduit à un terme heureux qu'on espère » et il demande à Tiberge « pourquoi traitez-vous de contradictoire et d’insensée » son amour pour Manon puisque c'est « une disposition semblable » → ça devient un argument logique => Encore une fois il n'a pas besoin de réponse, il sait très bien qu'il a raison. II. Un duel opposant l'amour à la vertu 1. La vertu, un chemin pénible

impuissante .L’amour de Phèdre pour Hyppolyte est un amour défendu, Phèdre a essayé de lui faire céder la place à une passion complémentaire : la haine. Elle nomme des responsables « à peine du fils d’Egée […] je m’étais engagée  » « Athènes me montra mon superbe ennemi » superbe signifie ici « orgueilleux » « je reconnus Vénus ses feux redoutables » « contre moi-même enfin j’osai me révolter » Phèdre s’avoue impuissante à cet amour qui l’aliène : son amour « incurable » Racine présente les plus riches

Alexandra Côté PHÈDRE Examinons d’abord la culpabilité  ressentie par Phèdre. Tout au long de l’extrait de l’œuvre de Jean Racine, Phèdre exprime sa culpabilité par rapport, entre autre, à son amour interdit envers son fils Hippolyte. En effet, l’antithèse «C’est moi qui sur ce fils chaste et respectueux/ Osai  jeter un œil profane, incestueux» démontre bien le contraste entre son fils chaste et ses sentiments profanes. De plus, , plus loin dans l’extrait, on perçoit encore une fois, la notion

échangés sont plein de désir et d’amour. Ces regards ne sont destinés qu’à une autre personne et s’ils sont interceptés, ils ne sont plus cachés et les sentiments dissimulés sont dévoilés. Ce jeu de regards désirants permet de conserver cette relation défendue. La princesse ne peut s’empêcher de regarder le duc lorsqu’elle le voit et lui de même avec elle. Lorsque le duc l’aperçoit pour la première fois, il « fut tellement surpris de sa beauté que, lorsqu’il fut proche d’elle, et qu’elle lui fit la révérence

l’homme et lui dit : Où es-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin et j’ai eu peur, parce que je suis nu ; je me suis donc caché. L’Eternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : C’est la femme que tu as mise auprès de moi qui m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Alors l’Eternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a induite en erreur, et j’en